Au Sahara, la soif d’or alimente rumeurs, ruées massives et théories complotistes. Comme ce 6 mai 2022, à la base militaire américaine d’Agadez…
Au Sahara, la soif d’or alimente rumeurs, ruées massives et théories complotistes. Comme ce 6 mai 2022, à la base militaire américaine d’Agadez…
Dans le nord du Mali, la fièvre de l’or s’est greffée à des années de conflit. Les sites d’orpaillage sont désormais aux mains des groupes armés.
L’assassinat de Dominique Bernard relance le débat sur l’illusoire prévention totale du crime et les supposées failles de la loi.
La France craint que le retour au pouvoir des talibans n’attire de nouveau les radicalisés, comme dans les années 1990-2000.
Détenus en Syrie, 200 à 300 enfants attendent un rapatriement vers la France qui suscite l’hostilité. Pourtant, la réinsertion fonctionne.
Depuis 2015, la justice s’est durcie au point de prendre des décisions arbitraires envers ceux qu’elle considère comme des « velléitaires ».
S’appuyant sur le profil de l’assaillant de Rambouillet, un énième texte antiterroriste consacre la surveillance de masse indifférenciée.
Opération Serval, opération Barkhane… Depuis 2013, Paris a fait le choix de poursuivre une guerre mouvante et sans issue. Un piège.
La radicalisation de Français issus de la classe moyenne blanche déroute les spécialistes et la justice antiterroriste.
Suite de notre chronique sur l’Amérique, bientôt une série historique, des titres scatologiques : « Les dessous des “Jours” », épisode 18.
Condamné fin 2020, ce chômeur était un cadre de l’organisation… depuis son canapé. « Les Jours » enquêtent sur les nouveaux jihads.
La Cour de cassation met un terme définitif aux poursuites pour diffamation du maire de Nice contre David Thomson des « Jours ».
Pourquoi nous faut-il absolument 2 000 abonnés en plus d’ici au 6 novembre ? Soulevons le capot des « Jours » : voici nos dépenses et nos recettes.
Non, le maire de Nice n’a pas été diffamé dans « Les revenants », la série des « Jours » sur les jihadistes de retour en France.
Notre campagne de recrutement d’abonnés se termine : merci, merci, merci ! Mais « Les Jours » ont toujours besoin de vous.
Prix Albert-Londres (2/2). Ils étaient partis faire le jihad, ils sont revenus en France : David Thomson ausculte leurs parcours.
Il est récompensé pour son enquête, publiée par « Les Jours », sur les jihadistes français de retour en France.
Prix Albert-Londres (1/2). Ils étaient partis faire le jihad, ils sont revenus en France : David Thomson ausculte leurs parcours.
En Syrie, dans la brigade de novices d’Omar Omsen, Quentin n’a pas supporté d’être confronté à la guerre, la vraie (2/2).
Comme beaucoup d’autres jeunes de Nice, il a été endoctriné par un certain Omar. Comme beaucoup, il l’a suivi en Syrie (1/2).
Devenu militaire pour apprendre à manier les armes, Younes est ensuite parti faire le jihad, comme une dizaine d’ex-soldats français.
Par peur de mourir, Kevin a déserté l’État islamique avec femmes et enfants. Transféré en France vendredi, il a été écroué.
Ex-petit dealer, rappeur raté, Abu Mujahid a quitté la France pour l’État islamique. Son projet de vie : mourir vite.
Trois hommes étaient jugés en début de semaine à Paris pour un séjour en Syrie en 2013. Parmi eux, un ancien soldat.
Nouvelles arrivantes, veuves, divorcées passent par ces maisons pour femmes. Seul moyen de s’en échapper : le mariage.
La collection « Les Jours » - Le Seuil se poursuit avec la publication, ce jeudi, des récits exceptionnels de David Thomson sur les jihadistes.
Une cérémonie via Skype, une ceinture d’explosifs en cadeau : Safya et Lena racontent la violence de l’intime dans l’État islamique.
Elles voyaient la France comme une terre d’humiliation des musulmans. L’EI, comme un paradis. Alors elles sont parties.
Rentrée déçue mais pas repentie de l’État islamique, Lena, 22 ans, rêve de nouveaux attentats en France.
Ce lundi devait débuter le procès de quatre hommes soupçonnés d’avoir préparé des braquages pour financer des actes terroristes.
Safya, 23 ans, est rentrée de Syrie pour accoucher en France. Mais elle regrette sa vie au sein de l’EI et rêve de repartir.
À son retour de Syrie, Safya, 23 ans, a retrouvé une vie ordinaire malgré des convictions jihadistes toujours bien ancrées.
Sorti de prison, Zoubeir pense à l’après-jihad. Mais son passé pas si lointain le rattrape.
Attaques de gardiens et rapprochement avec les délinquants : l’État islamique prospère en prison, raconte Zoubeir.
Zoubeir et d’autres « revenants » racontent le quotidien en cellule, entre dissimulation et enracinement dans la radicalité.
En prison, Zoubeir est regroupé avec des jihadistes de retour, souvent déçus de leur expérience, mais pas repentis.
À son arrivée en Syrie fin 2013, Zoubeir découvre une ambiance de colo, vantée sur internet à coup de selfies.
Trouver une épouse est l’une des préoccupations des étrangers de l’EI, raconte Zoubeir. Qui a failli « pécho » sur Facebook.
Converti à l’islam lors d’un séjour en hôpital psy, Jean-Claude C. consultait des sites jihadistes dans une bibliothèque. Deux ans de prison.
Entre le premier contact de Zoubeir avec un jihadiste sur internet et son départ en Syrie, sept mois ont suffi.
Zoubeir a grandi dans un HLM de Seine-Saint-Denis. Une adolescence discrète, mais marquée par la religion et l’ennui.
Un an en Syrie, un an en prison : Zoubeir tente de dissuader d’autres jeunes de partir. Il se voit comme un « ex-musulman ».
Après l’arrestation des femmes soupçonnées de préparer un attentat jihadiste à Paris, la justice antiterroriste enquête.
La multiplication des enquêtes liées au terrorisme islamiste bouleverse et engorge l’activité du pôle antiterroriste.
En trente ans, les affaires de terrorisme islamiste ont peu à peu envahi les bureaux des magistrats de la galerie Saint-Éloi.
Enclave impénétrable au cœur du palais de justice de Paris, la galerie Saint-Éloi abrite la machine antiterroriste française.
Tahar Akermi, éducateur depuis près de 30 ans, fait figure de promoteur officiel du vivre-ensemble dans une ville traumatisée.
« Grâce à Allah le très généreux », l’équipe de foot à cinq de La Roquette cartonne. Dans une ambiance parfois étouffante.
À Lunel, les élus instrumentalisent les communautés et les clubs de foot. Et à la fin, c’est la chose publique qui perd.
Ce club est la fierté de la ville. Mais en cette fin d’année, il cristallise aussi une partie de ses maux. Récit en photos.
Compétition, social ou familial ? À Lunel, le foot a plusieurs visages, mais partout la question identitaire affleure.
Pendant l’Euro, « Les Jours » scrutent le foot amateur à Lunel, ville du Sud traumatisée par le départ de jeunes pour le jihad.
Bracelet électronique, DGSI… Depuis son retour et avant son procès, Yassin doit assumer les conséquences de son jihad.
Ça y est, la famille de Yassin, jihadiste blessé, échappe enfin à l’État islamique. Mais rien ne se passe comme prévu.
Afin de soigner Yassin, blessé en faisant le jihad, ses parents, médecins, ont accepté de travailler pour l’État islamique.
Sa femme et ses filles sont retenues dans une madafa, une maison pour femmes ; Fayçal est désormais seul avec pour objectif de retrouver, mort ou vif, son fils blessé en faisant le jihad.
La famille de Yassin, blessé en faisant le jihad, a décidé d’aller le chercher en Syrie. Elle arrive dans l’État islamique.
Parti faire le jihad, Yassin a été blessé. Sa mère raconte la décision inouïe de la famille : aller le chercher en Syrie.
Yassin est rentré en France. Il y a un peu plus d’un an, il était en Syrie, blessé en combattant pour l’EI.
Le 13 Novembre a été un « déclic » qui a poussé Bilel à quitter l’État islamique avec femme et enfants.
Bilel décrit le quotidien au sein de l’EI, entre têtes coupées, camps d’entraînement et minibus remplis de nouvelles recrues.
Bilel, parti faire le jihad en Syrie, raconte pourquoi après Al Qaeda, il a rejoint l’EI avec un autre Français.
En 2014, Bilel se retrouve d’abord intégré dans une unité jihadiste proche d’Al Qaeda.