L’« Elvis Act » ouvre la voie à une interdiction de copier la voix des artistes… sauf quand ça rapporte aux labels et ayants droit, bien sûr.
L’« Elvis Act » ouvre la voie à une interdiction de copier la voix des artistes… sauf quand ça rapporte aux labels et ayants droit, bien sûr.
Que peut revendiquer un artiste dont le timbre a été cloné grâce à l’IA ? La professeure Valérie-Laure Benabou raconte un cadre juridique balbutiant.
Scoop de la mort : Elvis va sortir un nouvel album inédit… grâce à l’IA. Le clonage vocal est au point, le droit et l’éthique devront suivre.
L’industrie musicale ne veut pas laisser le clonage vocal lui échapper, mais reste tétanisée devant cette technologie vertigineuse.
D’Angèle à Édith Piaf, l’intelligence artificielle permet de reproduire une voix à la perfection. Une révolution tentaculaire pour la musique.
L’organisme public sera financé via une contribution obligatoire de tous les acteurs du secteur. Les plateformes enragent, Spotify et Deezer en tête.
Une taxe ou une contribution volontaire ? Controversée, la seconde piste est à l’étude pour boucler le budget du Centre national de la musique.
Injures et règlements de comptes : le financement du CNM vire au vaudeville. Et à la fin, c’est Bercy qui décidera si les plateformes sont taxées.
Soutenue par Universal, la plateforme va changer son mode de rémunération, scrutant le lien avec les fans plus que le pur volume de streams. Une bascule.
Des dizaines d’enregistrements de la chanteuse sont bloqués dans un maelström judiciaire. « Les Jours » ont pu approcher leurs oreilles de ce trésor.
Sous les recommandations (1/4). Tout le monde pense que les machines de Spotify ou Deezer enferment l’auditeur dans ses goûts. On a vérifié.
Dans son rapport sorti ce lundi, le Centre national de la musique admet que la fraude des plus gros échappe encore aux plateformes.
Spotify a suspendu des chansons de Vitaa pour punir son label qui, comme beaucoup, joue un rôle trouble dans la manipulation des écoutes.
Pour dénoncer des propos antivax dans un podcast, le rockeur quitte la plateforme… qui n’en a cure. Le désamour avec les artistes s’aggrave.
À l’écart de Spotify, de nouvelles plateformes réinventent le lien entre les artistes et leur public. Plus proche et plus rémunérateur.
Le système du « user centric » est censé mieux partager le butin des écoutes. Le Centre national de la musique vient de faire les comptes.
Pour exister sur les plateformes de streaming, il faut le temps, l’argent et l’envie. Pas évident pour les petites maisons de disques.
Si les plateformes sont dans le viseur, les labels jouent aussi un rôle majeur dans la rémunération des artistes, jugée trop faible.
Entre musiciens et plateformes, c’était un mariage de raison, c’est désormais la rupture. Les histoires d’argent finissent mal…
Fourre-tout, enfermant, voire stigmatisant, le terme vit ses dernières heures. Mais changer un mot résoudra-t-il tous les problèmes ?
Artistes et salariés racisés s’organisent pour prendre la place qui leur revient dans une industrie qui les écarte du pouvoir.
Méprisé et exotisé, le genre a connu un revirement total de l’industrie depuis l’avènement du streaming. Trop tard pour les artistes.
L’industrie musicale s’est construite sur l’exploitation et l’invisibilisation des artistes noirs, au profit des blancs qui la dirigent.
L’industrie exploite les « musiques noires » mais reste dirigée par des blancs. Les artistes s’organisent pour la faire changer.
La plateforme de streaming veut imposer le « user-centric payment system », un modèle économique jugé plus juste pour les artistes.
La musique a changé d’ère avec l’offre légale ? Qu’importe, l’élue plaide pour la répression contre les téléchargeurs de films.
Bye-bye labels et distributeurs… La plateforme invite tous les amateurs à déposer leur musique sur ses serveurs. C’est un séisme.
La directive qui rééquilibre le rapport de force entre plateformes et labels a été votée. Mais les artistes auront-ils leur part ?
Petits streams (6/6). La logique de la playlist force les labels à privilégier les œuvres courtes… ou à les découper. Une hérésie ?
Petits streams (5/6). Laissée pour compte du streaming, la musique classique tente de se frayer un chemin à l’ombre des hits.
La bataille aura lieu en septembre : le Parlement européen a repoussé le texte sur l’encadrement des plateformes, YouTube en tête.
Petits streams (4/6). Grand public, Spotify et Deezer sont et resteront perdues avec les musiques de niche. Vivement leurs rejetons.
Petits streams (3/6). Hors du rap, les longs formats ne font pas le poids face aux playlists. Au grand dam des labels indépendants.
Petits streams (2/6). Les plateformes savent manier les tubes, beaucoup moins les musiques underground. Et ça leur va bien comme ça.
Petits streams (1/6). Derrière le rap tout-puissant, de nombreux styles musicaux cherchent ce que le stream peut leur rapporter.
Bling-stream (7/7). Dans le système actuel, l’argent des plateformes va aux plus écoutés. Donc au rap, aux dépens de la diversité.
Bling-stream (6/7). Mal médiatisés et contraints à la course aux clics sur Spotify, les petits artistes fraudent pour se lancer.
Bling-stream (5/7). « Les Jours » révèlent que la prétendue triche massive aux fausses écoutes représente moins de 5 % des streams.
Bling-stream (4/7). Face à l’inexorable montée du streaming, le CD résiste mais est mal barré, et le vinyle a un coup à jouer.
Bling-stream (3/7). Spotify a beau vouloir l’enterrer pour imposer ses playlists, le long format reste un passage obligé.
Bling-stream (2/7). Fini, les morceaux choisis par les labels. Connectés à leurs idoles, les fans décident désormais des tubes.
Ondes de choc (4/4). Tenues de diffuser 40 % de chanson francophone, les radios enragent : elles veulent la même règle pour tous.
Ondes de choc (3/4). La FM utilise sa puissance de frappe auprès des foules pour se différencier du streaming. Jusqu’à quand ?
Ondes de choc (2/4). Stations et plateformes sont d’accord : les animateurs fidélisent l’auditeur. Les premières ont de l’avance.
Ondes de choc (1/4). Gros temps pour les stations jeunes : les 15-25 les abandonnent peu à peu pour les plateformes de stream.
Le streaming devenu roi, la filière musicale devait s’entendre sur le partage des revenus. En une nuit, tout a capoté.
Cash-cash (2/2). Exiger son dû à la plateforme prend des airs d’odyssée pour un label. Plongée dans ses entrailles.
Cash-cash (1/2). La plateforme ne reverse que des miettes. Mais beaucoup de maisons de disques ne les réclament même pas.
Sous contrat (3/3). Les majors se surprotègent en tentent de capter une partie des revenus des artistes.