L’incendiaire a été condamnée à passer vingt-cinq ans derrière les barreaux, là où l’état des détenus à l’esprit embué s’aggrave.
Jean-François Desserre est dessinateur. Il vit à Berlin.
Son site internet : jeanfrancoisdesserre.com
L’incendiaire a été condamnée à passer vingt-cinq ans derrière les barreaux, là où l’état des détenus à l’esprit embué s’aggrave.
À l’audience, témoignages et expertises tentent de faire la lumière sur la psyché d’Essia B., entre addictions et troubles mentaux.
L’ouverture du procès d’Essia B. met en lumière le rôle des expertises psychiatriques dans la poursuite, ou non, des procédures criminelles.
En 2019, le feu allumé par Essia B. a tué dix personnes. Malgré son passif psychiatrique, elle comparaît à partir du 6 février.
L’ex-colonel syrien a été condamné à la perpétuité pour crimes contre l’humanité. Un premier pas pour les victimes de Bachar Al-Assad.
Que sont-ils devenus ? Entamé depuis plus d’un an et demi, le procès du Syrien accusé de crimes contre l’humanité arrive à son terme.
En dix épisodes haletants, Brice Andlauer a mené l’enquête sur l’enquête de Lena Bjurström. Découvrez ici les deux premiers.
Une décennie après le début de la guerre civile, des ONG viennent de porter plainte pour des attaques chimiques commises par le régime.
L’ex-sergent syrien Eyad Al-Gharib écope de quatre ans et demi de prison. Un verdict qui reconnaît la nature criminelle du régime.
Que sont-ils devenus ? Le procès d’Anwar Raslan met en lumière le recours systématique aux violences sexuelles par le régime de Damas.
Au procès du colonel Anwar Raslan, les témoignages des survivants et déserteurs mettent au jour la mécanique meurtrière du régime Assad.
Le frère et le neveu d’Obeida Dabbagh sont morts aux mains du régime Assad. Depuis, il se bat pour que leurs bourreaux soient jugés.
Eyad Al-Gharib est jugé pour complicité de crimes contre l’humanité. L’ancien sergent, déserteur, dit n’avoir pas eu le choix.
Éternels activistes, les avocats Anwar Al-Bunni et Mazen Darwish montent désormais des dossiers judiciaires, comme celui d’Anwar Raslan.
Une ONG archive depuis 2012 la machine de répression syrienne. Un trésor inestimable, notamment lors du procès d’Anwar Aslan.
Nuran Al-Ghamian a été détenue au centre d’Al-Khatthib à Damas, où officiait Anwar Raslan. Elle y a survécu mais en suffoque encore.
Pour la première fois depuis le début de son procès, l’ancien colonel syrien a pris la parole par la voix de ses avocats. Il nie tout.
À l’origine de l’arrestation d’Anwar Raslan, il y a le dossier César : 28 000 photos de corps de détenus torturés par le régime Assad.
Depuis le 23 avril, le colonel syrien est jugé pour crimes contre l’humanité en Allemagne. Un symbole pour les rescapés des geôles d’Assad.
C’est grâce à la coopération des justices européennes qu’Anwar Raslan est jugé à partir de ce jeudi pour crimes contre l’humanité.
Pour beaucoup d’exilés syriens, ce n’est pas par conviction qu’Anwar Raslan a fui le régime Assad, dont il était un rouage essentiel.
Selon un ex-détenu syrien, Anwar Raslan, poursuivi pour crimes contre l’humanité, n’est pas le tortionnaire que l’on croit.
Déserteur du régime Assad, le colonel syrien doit être jugé fin avril pour crimes contre l’humanité. « Les Jours » racontent sa traque.
Le témoignage de l’ex-directeur du FBI contre Trump captive les Américains. Pourtant, une partie n’y croit pas, se désole Joe.
Dante, étudiant à Chicago, hait Trump. Mais il déteste encore plus Mike Pence, qui deviendrait Président en cas d’« impeachment ».
Si la mobilisation contre le président lui redonne espoir, Joe, habitant de Chicago, s’inquiète du limogeage du directeur du FBI.
Depuis l’élection de Trump, peur et résistance cohabitent à l’université de Chicago, raconte Aline, écrivaine.
L’incapacité de Donald Trump à abroger l’Obamacare est, pour Dante, le symbole de ce que sera sa présidence : un échec.
À Chicago, les propriétaires d’un magasin disent fermer à cause des anti-Trump. L’occasion pour Joe d’une réflexion politique.
Ils détestaient Bush ; c’est pire avec Trump. Dante, étudiant de Chicago, raconte le calvaire des Africains-Américains.
Depuis Trump, Aline, habitante de Chicago, a peur pour sa famille, ses amis musulmans. Et canalise ses inquiétudes dans la lutte.
Bracelet électronique, DGSI… Depuis son retour et avant son procès, Yassin doit assumer les conséquences de son jihad.
Ça y est, la famille de Yassin, jihadiste blessé, échappe enfin à l’État islamique. Mais rien ne se passe comme prévu.
Afin de soigner Yassin, blessé en faisant le jihad, ses parents, médecins, ont accepté de travailler pour l’État islamique.
Sa femme et ses filles sont retenues dans une madafa, une maison pour femmes ; Fayçal est désormais seul avec pour objectif de retrouver, mort ou vif, son fils blessé en faisant le jihad.
La famille de Yassin, blessé en faisant le jihad, a décidé d’aller le chercher en Syrie. Elle arrive dans l’État islamique.
Parti faire le jihad, Yassin a été blessé. Sa mère raconte la décision inouïe de la famille : aller le chercher en Syrie.