Malgré des pistes d’élucidation, le pôle de Nanterre refuse de rouvrir le dossier du meurtre d’un retraité sans histoire de Sarcelles. Incompréhensible.
Malgré des pistes d’élucidation, le pôle de Nanterre refuse de rouvrir le dossier du meurtre d’un retraité sans histoire de Sarcelles. Incompréhensible.
Une association a réalisé ce que refuse de faire le pôle de Nanterre : une carte des 369 homicides non élucidés. Un total sûrement sous-estimé.
À la traîne au plan international, le pôle « cold cases » vient de diffuser une vidéo pour identifier un violeur en série. Une première encore bancale.
Les succès d’élucidation du pôle de Nanterre, créé il y a deux ans, révèlent les défaillances du passé. Et le manque de moyens d’aujourd’hui.
Grâce à une nouvelle expertise génétique, un suspect a été arrêté quinze ans après un meurtre. Un succès du pôle « cold cases » qui en appelle d’autres.
Au terme d’un procès qui a mis en lumière sa responsabilité dans les crimes de son ex-mari, elle a écopé de la perpétuité, avec vingt ans de sûreté.
Les policiers ont tout fait pour défendre leur enquête bâclée, finalement résolue par la gendarmerie. Jusqu’à tenter d’innocenter le tueur.
Point-clé du procès, les 35 meurtres que Fourniret aurait pu commettre, au lieu des 11 connus. « Peut-être vrai ou pas vrai », dit la complice.
Jugée pour la troisième fois pour trois des meurtres commis avec Michel Fourniret, Monique Olivier s’est présentée en femme soumise et apeurée.
Les ratés judiciaires sur le parcours criminel du couple seront au cœur du procès de Monique Olivier, le premier du pôle « cold cases », mardi.
Le meurtre non-résolu d’une lycéenne en 1993 a été confié au pôle « cold cases ». Ce cas soulève la question des féminicides par auteur inconnu.
Introuvable depuis 2003, elle était inhumée dans un cimetière voisin. Une faute ahurissante enfin rectifiée par le pôle « cold cases ».
Après trente-six ans d’enquêtes ratées, les juges de Nanterre héritent de quatre crimes non résolus aux modes opératoires très proches.
Huit mois après le drame et dans l’attente d’un procès, le village voudrait oublier, passer à autre chose. Pas les proches de Jérémy Dasylva.
Reportage à l’Office central pour la répression des violences aux personnes, qui veut bâtir une mémoire criminelle des « cold cases ».
Omerta, crime raciste… Soudain, la mort de Jérémy Dasylva fait l’objet de toutes les théories et les regards convergent vers le village.
Le 12 octobre 2022, un homme est passé à tabac dans son village. Il meurt deux jours plus tard. Que s’est-il passé ?
Ex-enquêteur de terrain à la PJ, Raphaël Nedilko a résolu deux « cold cases ». Il fustige les lacunes de la police face aux crimes complexes.
Neuf ans après ses premières lettres, le corbeau reste dans la nature. Les pistes s’amenuisent, l’enquête croupit. À moins que…
Le pôle « cold cases » sonde le parcours criminel du violeur et meurtrier d’enfants Willy van Coppernolle pour élucider d‘anciennes affaires.
Les tribunaux continuent à détruire les scellés dans les affaires de crimes irrésolus. Le pôle « cold cases » doit remédier à ce scandale.
La première mise en examen du pôle de Nanterre tente de rattraper les dysfonctionnements de la justice, notamment du fichage génétique.
Cinq ans et une série Netflix plus tard, l’ombre du corbeau continue de planer sur Westfield et la famille Broaddus.
Deux ans après sa dernière lettre, le corbeau de Westfield réapparaît, vengeur. Son nouveau courrier est plus menaçant que jamais.
Quand les Broaddus envisagent de démolir le 657 Boulevard pour qu’un promoteur construise deux nouvelles maisons, leurs voisins s’enflamment.
Sur internet et à Westfield, le récit des Broaddus commence à être remis en cause : et si The Watcher était une invention de leur part ?
Après des mois d’enlisement, l’enquête est enfin confiée à un policier expérimenté. Les Broaddus, eux, mènent leur propre investigation.
Après six mois de menaces du Watcher, Maria et Derek, poussés à bout, ne voient qu’une issue : mettre en vente la maison du 657 Boulevard.
En 2023, on y croit et on vous promet scoops, sujets inédits et séries essentielles. Voici l’épisode 39 des « Dessous des “Jours” ».
Olivier Le Gall enquête, au sein d’un cabinet d’avocats, sur des crimes non résolus. Une première en France.
Après la troisième lettre du Watcher, Maria et Derek Broaddus se méfient de tout leur quartier. Et n’attendent plus grand-chose de la police.
Dans le New Jersey, la maison de leurs rêves ne l’est restée que trois jours. Ensuite, la première lettre du Watcher est arrivée…
Le mystère Marion Wagon, une famille disparue en 1972… Les dossiers s’accumulent et le tribunal de Nanterre risque de manquer d’effectifs.
Le nouveau pôle de Nanterre dédié aux « cold cases » a détaillé les premières affaires qui vont être réexaminées. Elles datent de 1987.
Le nouveau pôle « cold cases » pourrait hériter de l’affaire Danièle Bernard dont le meurtre, en 1989, a été négligé par la justice.
Des dizaines de familles de disparus demandent que soit disséqué son parcours. Un cas qui devrait atterrir au nouveau pôle « cold cases ».
Le nouveau pôle judiciaire dédié aux « serial killers » fait renaître l’espoir dans des centaines de « cold cases ».
Combattre un virus en prenant de haut la population ? Grande idée. En RDC, c’est même la cause indirecte du meurtre du docteur Mouzoko.
Nouvelles infos des « Jours » sur la mort du médecin Richard Mouzoko : contre Ebola, l’OMS aurait rémunéré des miliciens de la région.
Malversations, mauvaise gestion des fonds de l’OMS… En RDC, l’enquête sur la mort de Richard Mouzoko s’oriente vers la piste économique.
Depuis deux ans, un retraité japonais arpente Nikko à la recherche de la Française, convaincu qu’elle est en vie.
Pour la famille de Tiphaine Véron, la police japonaise n’a pas assez creusé la piste criminelle. Notamment celle de l’hôtelier.
Des docteurs lésés, Ebola qui progresse, des Maï-Maï… En RDC, l’enquête sur le meurtre de l’épidémiologiste Richard Mouzoko avance.
Pression diplomatique, piste de la téléphonie : la famille Véron remue ciel et terre pour pallier les manqués de la police japonaise.
Depuis les premières heures de la disparition de Tiphaine Véron, sa famille reproche aux enquêteurs de ne pas en faire assez.
Sur l’épidémie comme sur le meurtre du docteur Mouzoko, le pouvoir n’a pas communiqué. Et a alimenté le virus de la désinformation.
De la gare à sa chambre d’hôtel, « Les Jours » ont retrouvé les dernières traces de Tiphaine Véron au Japon. Banales, ou presque.
Il y a deux ans, la Française était vue à Nikko, au Japon. Depuis, pas d’indices, pas de corps. Rien. « Les Jours » contre-enquêtent.
Le 19 avril 2019, le médecin Richard Mouzoko est abattu. Après huit mois d’épidémie d’Ebola en RDC… et autant d’arrogance des autorités.
L’épidémie n’aurait pas dû durer, le médecin être assassiné, les coupables difficiles à trouver… Rien ne s’est passé comme prévu.
La trêve après le meurtre a fait long feu. Les cités de Saint-Denis s’affrontent de nouveau et les moyens manquent toujours.
Pourquoi, à son retour de vacances, Luigi n’a-t-il pu réintégrer le centre où il était placé ? Il est mort quelques jours plus tard.
Les services sociaux manquent de tout pour suivre les jeunes en difficulté comme Luigi. Les délais s’allongent, les situations empirent.
Huit mois après la mort de Luigi, l’enquête progresse d’un coup avec la mise en examen de quatre personnes. La famille souffle.
Quelques mois avant sa mort, l’adolescent frôle la délinquance. La justice l’écarte de son quartier de Saint-Denis. Trop tard.
Chéri de ses parents, apprécié de son quartier… Six mois après son décès, « Les Jours » esquissent le portrait de l’adolescent.