
Combattre un virus en prenant de haut la population ? Grande idée. En RDC, c’est même la cause indirecte du meurtre du docteur Mouzoko.
Combattre un virus en prenant de haut la population ? Grande idée. En RDC, c’est même la cause indirecte du meurtre du docteur Mouzoko.
Nouvelles infos des « Jours » sur la mort du médecin Richard Mouzoko : contre Ebola, l’OMS aurait rémunéré des miliciens de la région.
Malversations, mauvaise gestion des fonds de l’OMS… En RDC, l’enquête sur la mort de Richard Mouzoko s’oriente vers la piste économique.
Depuis deux ans, un retraité japonais arpente Nikko à la recherche de la Française, convaincu qu’elle est en vie.
Pour la famille de Tiphaine Véron, la police japonaise n’a pas assez creusé la piste criminelle. Notamment celle de l’hôtelier.
Des docteurs lésés, Ebola qui progresse, des Maï-Maï… En RDC, l’enquête sur le meurtre de l’épidémiologiste Richard Mouzoko avance.
Pression diplomatique, piste de la téléphonie : la famille Véron remue ciel et terre pour pallier les manqués de la police japonaise.
Depuis les premières heures de la disparition de Tiphaine Véron, sa famille reproche aux enquêteurs de ne pas en faire assez.
Sur l’épidémie comme sur le meurtre du docteur Mouzoko, le pouvoir n’a pas communiqué. Et a alimenté le virus de la désinformation.
De la gare à sa chambre d’hôtel, « Les Jours » ont retrouvé les dernières traces de Tiphaine Véron au Japon. Banales, ou presque.
Il y a deux ans, la Française était vue à Nikko, au Japon. Depuis, pas d’indices, pas de corps. Rien. « Les Jours » contre-enquêtent.
Le 19 avril 2019, le médecin Richard Mouzoko est abattu. Après huit mois d’épidémie d’Ebola en RDC… et autant d’arrogance des autorités.
L’épidémie n’aurait pas dû durer, le médecin être assassiné, les coupables difficiles à trouver… Rien ne s’est passé comme prévu.
La trêve après le meurtre a fait long feu. Les cités de Saint-Denis s’affrontent de nouveau et les moyens manquent toujours.
Pourquoi, à son retour de vacances, Luigi n’a-t-il pu réintégrer le centre où il était placé ? Il est mort quelques jours plus tard.
Les services sociaux manquent de tout pour suivre les jeunes en difficulté comme Luigi. Les délais s’allongent, les situations empirent.
Huit mois après la mort de Luigi, l’enquête progresse d’un coup avec la mise en examen de quatre personnes. La famille souffle.
Quelques mois avant sa mort, l’adolescent frôle la délinquance. La justice l’écarte de son quartier de Saint-Denis. Trop tard.
Chéri de ses parents, apprécié de son quartier… Six mois après son décès, « Les Jours » esquissent le portrait de l’adolescent.