Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, « Random Access Memories » sans batterie et du rap sans rappeur.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, « Random Access Memories » sans batterie et du rap sans rappeur.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, des Algériens exilés qui chantent l’amour et le mal du pays.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, un tube de l’été 2023 et un morceau qui aurait pu le redevenir.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, du rap inspiré et pas puriste.
Dans son rapport sorti ce lundi, le Centre national de la musique admet que la fraude des plus gros échappe encore aux plateformes.
Face au cercle vicieux des fausses écoutes qui biaise la distribution des revenus, les acteurs de la musique se mobilisent plus ou moins.
Certaines playlists d’utilisateurs monnayent la mise en avant d’artistes en manque de visibilité. Une fraude qui contribue aux fake streams.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, transition sociétale et fluidification musicale.
Fermes à clics, comptes zombies, camouflage… Les techniques des tricheurs se professionnalisent. Les plateformes tentent de suivre.
30 % des écoutes des nouveautés musicales françaises seraient des faux destinés à gonfler les classements. Enquête.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, 1995 et 2002 : chansons mobilisées et accablées.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, rap en sépia et nostalgie nineties.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, deux beaux oubliés de 2021.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent une actualité et un disque en miroir. Aujourd’hui, des chanteuses qui suivent leur voie.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent une actualité et un disque en miroir. Aujourd’hui, cœurs de clasheurs.
Fourre-tout, enfermant, voire stigmatisant, le terme vit ses dernières heures. Mais changer un mot résoudra-t-il tous les problèmes ?
Artistes et salariés racisés s’organisent pour prendre la place qui leur revient dans une industrie qui les écarte du pouvoir.
Méprisé et exotisé, le genre a connu un revirement total de l’industrie depuis l’avènement du streaming. Trop tard pour les artistes.
L’industrie musicale s’est construite sur l’exploitation et l’invisibilisation des artistes noirs, au profit des blancs qui la dirigent.
L’industrie exploite les « musiques noires » mais reste dirigée par des blancs. Les artistes s’organisent pour la faire changer.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent une actualité et un disque en miroir. Aujourd’hui, clameurs pour George Floyd et Rodney King.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent une actualité et un disque en miroir. Aujourd’hui, des artistes qui ne se laissent plus emmerder.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, deux artisans de la pop économe.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, un electrosensible et une étoile filante.
Le samedi, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, Bruxelles, ardent foyer hip-hop.
Le samedi, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, le meilleur disque de 2019 et le plus dingue.
Le samedi, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, des reines entre la France et le Mali.
Le samedi, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, spoken word, fiertés noire et féminine.
Le samedi, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, fantasmes le long du grand Pacifique.
Le samedi, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, balance ton « Angela ».
Petits streams (3/6). Hors du rap, les longs formats ne font pas le poids face aux playlists. Au grand dam des labels indépendants.
Petits streams (2/6). Les plateformes savent manier les tubes, beaucoup moins les musiques underground. Et ça leur va bien comme ça.
Bling-stream (7/7). Dans le système actuel, l’argent des plateformes va aux plus écoutés. Donc au rap, aux dépens de la diversité.
Bling-stream (6/7). Mal médiatisés et contraints à la course aux clics sur Spotify, les petits artistes fraudent pour se lancer.
Bling-stream (5/7). « Les Jours » révèlent que la prétendue triche massive aux fausses écoutes représente moins de 5 % des streams.
Bling-stream (4/7). Face à l’inexorable montée du streaming, le CD résiste mais est mal barré, et le vinyle a un coup à jouer.
Bling-stream (3/7). Spotify a beau vouloir l’enterrer pour imposer ses playlists, le long format reste un passage obligé.
Bling-stream (2/7). Fini, les morceaux choisis par les labels. Connectés à leurs idoles, les fans décident désormais des tubes.
Bling-stream (1/7). Et si le succès du rap sur les plateformes était une réplique du phénomène yéyé dans les années 60 ?
Les musiques d’ambiance aseptisées prennent tant de place sur les plateformes que Spotify en fabriquerait en sous-main.
La gonflette du streaming existe. Mais pour ces rappeurs, c’est un contre-feu des majors pour masquer leurs mauvais résultats.
Ex-petit dealer, rappeur raté, Abu Mujahid a quitté la France pour l’État islamique. Son projet de vie : mourir vite.