Sur les cendres d’un conflit autour d’un menu végétarien éclosent des combats populaires, antiracistes, féministes… Ceux de demain ?
22 septembre 2020 · Épisode n° 1
Photo Katie Orlinsky/The New York Times/Redux/Réa.
Son rôle dans la série.
Certes, ce n’est pas la première, mais celle-ci, c’est du costaud car elle touche de nombreuses espèces, partout dans le monde et à très grande vitesse. La sixième extinction de la biodiversité n’a rien à voir avec une quelconque météorite tueuse de dinosaures… mais tout avec nous. Ou plutôt avec notre savoir-faire en matière de déforestation, d’urbanisation, de surpêche, de pollution, de changement climatique, etc. Résultat : un « anéantissement biologique », pour reprendre le mot de chercheurs de l’université de Stanford, auteurs en 2018 d’une étude sur la disparition massive des espèces de vertébrés, à la fois en nombre d’animaux et en étendue.
Par Cécile Cazenave
Photo Katie Orlinsky/The New York Times/Redux/Réa.
Son rôle dans la série.
Certes, ce n’est pas la première, mais celle-ci, c’est du costaud car elle touche de nombreuses espèces, partout dans le monde et à très grande vitesse. La sixième extinction de la biodiversité n’a rien à voir avec une quelconque météorite tueuse de dinosaures… mais tout avec nous. Ou plutôt avec notre savoir-faire en matière de déforestation, d’urbanisation, de surpêche, de pollution, de changement climatique, etc. Résultat : un « anéantissement biologique », pour reprendre le mot de chercheurs de l’université de Stanford, auteurs en 2018 d’une étude sur la disparition massive des espèces de vertébrés, à la fois en nombre d’animaux et en étendue.
Par Cécile Cazenave
Photo Katie Orlinsky/The New York Times/Redux/Réa.
Son rôle dans la série.
Certes, ce n’est pas la première, mais celle-ci, c’est du costaud car elle touche de nombreuses espèces, partout dans le monde et à très grande vitesse. La sixième extinction de la biodiversité n’a rien à voir avec une quelconque météorite tueuse de dinosaures… mais tout avec nous. Ou plutôt avec notre savoir-faire en matière de déforestation, d’urbanisation, de surpêche, de pollution, de changement climatique, etc. Résultat : un « anéantissement biologique », pour reprendre le mot de chercheurs de l’université de Stanford, auteurs en 2018 d’une étude sur la disparition massive des espèces de vertébrés, à la fois en nombre d’animaux et en étendue.
Par François Meurisse
