Partenaire « premium » des JO, le géant du luxe sponsorise des athlètes. Une opération marketing bien ficelée grâce à une fiscalité complaisante.
Partenaire « premium » des JO, le géant du luxe sponsorise des athlètes. Une opération marketing bien ficelée grâce à une fiscalité complaisante.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le flipper illégal.
Années 1930 ou 2020, superprofits ou pertes… Ça ne change rien : Total distribue de généreux dividendes. Et tant pis pour les investissements.
À la fin des années 1970, le pétrolier a été un pionnier de l’énergie solaire… avant de tout laisser tomber. Enquête dans les archives.
Les profits records annoncés ce mercredi attestent de la complaisance du fisc avec le pétrolier. Une indulgence déjà à l’œuvre en 1977…
Au cours des années 1970, le pétrolier a pu compter sur des hauts fonctionnaires très conciliants pour éviter l’impôt, en toute discrétion.
De Jacques le fondateur à Rodolphe l’héritier, les patrons de la CMA CGM ont toujours su attirer à eux les aides de l’État. L’art du réseau…
Via le ministre des Finances, la compagnie impose le « bénéfice mondial consolidé », qui fait discrètement s’évaporer l’impôt. Le coup parfait.
Prospecter et creuser pour trouver de nouveaux puits, ça coûte cher. Sauf quand on peut déduire de ses impôts ses investissements…
Dès 1955, l’entreprise empile les succursales et les filiales dans de savants montages financiers. Le but : échapper à l’impôt en France.
Dérégulation fiscale, perte de pouvoir des États, destruction du bien commun : entretien avec Guillaume Vuillemey, professeur de finance.
« Les Jours » ont mis la main sur des archives inédites qui détaillent le premier montage offshore du pétrolier pour réduire ses impôts.
Il fut un temps où Total était taxé en France… puis un accord entre États-Unis et Arabie saoudite a chamboulé la fiscalité du pétrole.
Dans la tourmente, l’entreprise se rend compte cette année-là qu’elle a tout intérêt à parler à l’opinion pour imposer ses (contre)vérités.
Cette année-là, une commission parlementaire révèle les avantages fiscaux du pétrolier. Près de 50 ans plus tard, rien ou presque n’a changé.
L’impuissance des politiques à taxer le géant pétrolier en France remonte à… À quand déjà ? « Les Jours » creusent.
À Dubaï, les leaders des formations de trading mènent la grande vie et échappent à l’État français : champagne, Rolls-Royce et… zéro fisc.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, les privilèges de nos dirigeants.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, les objectifs de la classe dominante.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, la dictature et la guerre civile.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, l’école est malade.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, la fuite des riches.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, les paysages de nos régions.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, les fins de mois difficiles.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, les chenapans et les vrais délinquants.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, pourquoi pas « Paris neige » ?
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, l’investissement des riches.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, quarante-sept ans de cotisation.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, il est où, le respect ?
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, taxez les banques, pas les familles.
Comme le gouverneur de la Banque de France, les tenants de la rigueur tentent d’imposer leur agenda pour le monde d’après. Insensé.
Grand collectionneur d’art, il finançait le rapatriement en Afrique d’œuvres spoliées. Les « Luanda Leaks » viennent de le rattraper.
Contre 4,6 millions, l’école va débaptiser une cour de son futur campus. Et une riche Américaine décédée en 2014 aura « son » jardin.
Pour lever des fonds, de plus en plus d’établissements baptisent salles et bâtiments du nom de leurs donateurs. Rien ne les arrête.
Créé par Anne Hidalgo, le Fonds pour Paris pousse au mélange des genres entre l’argent de riches mécènes et le patrimoine public.
L’asso de victimes du 13 Novembre critique le financement par mécénat du « cadeau » de l’artiste, inauguré ce vendredi matin.
Offerte par l’artiste à la ville de Paris, la sculpture, inaugurée le 4 octobre, a été financée par des mécènes pas du tout désintéressés.
Pour ses impôts, l’homme d’affaires a fait sa propre tambouille ; pour sa fondation culturelle, le mécène a dépensé sans compter.
Le secrétaire d’État Gabriel Attal a donné ce jeudi les contours d’une réforme fiscale qui ne devrait pas bouleverser le mécénat.
L’Oréal, Engie ou encore Suez participent au financement du sommet mondial de Biarritz. Une générosité tout à fait intéressée.
L’avantage fiscal offert aux gentils donateurs disparaîtra-t-il ? « Les Jours » décodent les signaux contradictoires de l’exécutif.
Ses investissements dans la culture font de Maja Hoffmann la vraie boss de la capitale camarguaise, éclipsant les politiques.
Visites particulières, privatisations… Les généreux mécènes négocient dur avant de verser leur obole aux causes qu’ils défendent.
La collecte pour Notre-Dame l’a montré, PDG et milliardaires rivalisent pour dégainer leur chéquier. Mais pourquoi tant de bonté ?
Info « Les Jours ». Malgré ses dénégations, le groupe a bien réduit ses impôts grâce à ses holdings luxembourgeoise et belge.