Une fois par mois, on juge des flics à Bobigny. En novembre, un gros coup de genou, un « Dry January » qui aurait pu mal tourner et des CD trop vierges.
Une fois par mois, on juge des flics à Bobigny. En novembre, un gros coup de genou, un « Dry January » qui aurait pu mal tourner et des CD trop vierges.
Mathias Vicherat, ex-directeur de Sciences-Po, et Anissa Bonnefont étaient jugés pour violences réciproques. Six mois avec sursis ont été requis pour chacun.
Allyssia Davaine a échappé de peu à la mort en 2020. Jugé du 3 au 8 octobre, Johnny Verslype, son ex-conjoint, a été condamné à quinze ans de prison.
En 2021, deux « baqueux » sans brassard visible ont tiré huit fois en six secondes sur un couple à la suite d’un refus d’obtempérer. Ils étaient jugés ce jeudi.
Le premier jeudi, c’est procès de flics à Bobigny. Chaque mois, « Les Jours » observent comment sont jugés les policiers accusés de transgresser la loi.
Cinq arrêts pris par la cour d’appel de Poitiers consacrent ce schéma de contraintes en tant que notion juridique. Historique.
Avocats et magistrats en témoignent, l’appréhension des violences conjugales dans les tribunaux a connu une révolution en quinze ans.
Il a été journaliste, escroc, faux neveu de Brigitte Macron… il a un nouveau terrain de jeu : EELV, où il est prêt à tout pour gravir les échelons.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la constipation et la galvanothérapie.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, fatigue fatale au volant.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, deux gifles à sa femme.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le livre pornographique.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, du chanvre indien au Golf Drouot.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les billets SNCF gratuits.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les motocyclettes soustraites.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le piéton renversé.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les 21 kilos de haschich.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le ferrailleur et les Portugais.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la dette évaporée.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le flipper illégal.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le radiateur à gaz défectueux.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, des pavés sur la police.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la violence du proxénète.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le faux conducteur.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, l’arcade et le « sale étranger ».
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, passion pastis.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les « manœuvres abortives ».
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la demande d’expertise psychiatrique.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les filles de la rue Quincampoix.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le squatteur de chambres.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, 120 km/h dans Le Kremlin-Bicêtre.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, morsure sur policier.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les policiers ivres.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la maîtresse iranienne.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, l’importation d’« Orgy for Two ».
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le numéraire dérobé.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, 3,00 grammes par litre de sang.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, l’absence d’occupation salariée.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les colliers de perles japonais.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, coït buccal dans la R16.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la mauvaise foi.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les faiseuses d’anges.
Chaque jour, « Les Jours » plongent un demi-siècle en arrière et publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris.
Le piège tendu à Damien Rieu a propulsé le journaliste-escroc sous les projecteurs – son rêve – mais a aussi mis ses mensonges en lumière.
Il jure avoir arrêté les arnaques après 2019 ; ses faits d’armes en tant que journaliste prouvent le contraire : il a redoublé de culot.
Un job obtenu grâce à un CV beaucoup trop doré et une fausse attestation pour ses loyers : Cory Le Guen était de retour au tribunal ce jeudi.
Entre manque de magistrats et affaires expédiées, « Les Jours » ont sillonné les tribunaux pour raconter les comparutions immédiates.
D’un côté, des audiences de comparutions immédiates qui ne désemplissent pas ; de l’autre, un parquet moins surchargé et qui poursuit moins.
S’ils passent rarement devant la justice, les policiers et leurs comportements peuplent les dossiers de comparution immédiate.
Dans la Creuse, le département le plus âgé de France, le tribunal se donne le temps d’écouter les prévenus violents et alcooliques.
Lors des audiences souvent expéditives de comparution immédiate, des prévenus malades sont parfois jugés comme s’ils ne l’étaient pas.
Prévenu absent, traducteur manquant… Les renvois d’audience allongent les délais d’une procédure censée être rapide.
Devant la justice parfois expéditive des comparutions immédiates défilent, inlassablement, des auteurs de violences conjugales.
Le manque de moyens se ressent aux comparutions immédiates, où des affaires de plus en plus complexes sont jugées. Exemple à Nantes.
« Les Jours » sillonnent les tribunaux pour raconter la comparution immédiate, procédure parfois sévère, souvent expéditive.
Insertion, soutien scolaire, culture… Ce sont les habitants eux-mêmes qui se démènent pour sortir leur cité du trafic de drogue.
En 2016, Rudy, 15 ans, est assassiné dans un règlement de compte sur fond de trafic de drogue à Marseille. « Les Jours » étaient au procès.
Le 25 juin, un « lieutenant » de la drogue est tué, déclenchant une vague d’assassinats. Généalogie d’un règlement de compte.
Chaque jour, les « charbonneurs », petites mains du trafic de drogue, défilent au tribunal correctionnel de Marseille. Reportage.
En 2016, il avait tué son ex-compagne devant leur enfant ; il a écopé de la perpétuité. Sa hiérarchie aurait pu réagir bien avant.
Tout le monde a vu la vidéo : le 1er mai dernier à Paris, un policier a frappé un manifestant. Il a été jugé ce jeudi.
En 2017, le policier Nicolas D. a tué son voisin de bureau Raphaël B. en manipulant son arme. Un accident inexpliqué jugé ce lundi.
Agression sexuelle ou maladresse ? Ce jeudi, un brigadier était jugé à Paris pour un contact physique ambigu avec une subordonnée.
Il photographiait des flics dans un rassemblement pour Rémi Fraisse. Un gardien de la paix l’a tabassé, il vient d’être condamné.
Pour une histoire de famille, deux policiers ont fouillé le Fichier des personnes recherchées. Illégal : ils ont fini au tribunal.
Un portable dans les objets trouvés, la brigadière-cheffe Françoise W. a volé. C’était à la police municipale de Bondy. Poésie.