Une fois par mois, on juge des flics à Bobigny. En novembre, un gros coup de genou, un « Dry January » qui aurait pu mal tourner et des CD trop vierges.
Une fois par mois, on juge des flics à Bobigny. En novembre, un gros coup de genou, un « Dry January » qui aurait pu mal tourner et des CD trop vierges.
En 2021, deux « baqueux » sans brassard visible ont tiré huit fois en six secondes sur un couple à la suite d’un refus d’obtempérer. Ils étaient jugés ce jeudi.
Le premier jeudi, c’est procès de flics à Bobigny. Chaque mois, « Les Jours » observent comment sont jugés les policiers accusés de transgresser la loi.
Le commissaire n’a « pas commis de faute », sa radio n’a pas marché, tout était imprévisible et un homme est mort : Steve. Jugement en septembre.
À la barre, les policiers présents le soir de la mort de Steve Maia Caniço affirment avoir agi en légitime défense et incriminent « l’effet tunnel ».
Pour la première fois depuis la mort du jeune homme noyé dans la Loire en 2019, la famille s’est exprimée à la barre.
Le commissaire Chassaing est jugé dès ce lundi pour l’homicide involontaire de Steve Maia Caniço. Loïc Sécheresse dessine le procès pour « Les Jours ».
Les familles peinent trop souvent à récupérer le corps de leurs proches disparus à la frontière. Ils sont 44 à y avoir perdu la vie depuis un an.
« Les Jours » publient une nouvelle vidéo et un témoignage qui accréditent la thèse de violences policières sur le passager blessé du scooter.
Peines légères pour les trois agents : un verdict clément qui illustre la laborieuse quête de justice des victimes de violences policières.
La blessure du jeune homme l’handicape-t-elle à vie ? C’est, avec l’attitude des accusés le jour des faits, une des questions centrales du procès.
Sept ans après les faits, trois policiers comparaissent devant les assises à partir de ce mardi. Un procès emblématique.
Des LBD qui éborgnent, des Vivi qui harcèlent, des Wildenstein qui fraudent : voici l’épisode 47 des « Dessous des “Jours” ».
Tous les samedis, Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, il va y avoir du sport de combat.
Nouvelle série. Selon le décompte des « Jours », au moins 57 personnes ont été éborgnées depuis 1999 par l’arme préférée des forces de l’ordre. Enquête.
À chaque mort, proches des victimes, militants et anonymes se rassemblent. Pour refuser l’indifférence, se soutenir et dénoncer un scandale politique.
Les troubles psychologiques aggravent trop souvent le quotidien des exilés. Avant ou après le passage en Angleterre, certains vont jusqu’au suicide.
Partis de Marseille, les débrayages de policiers s’étendent. Entre la base, les syndicats et les huiles, l’heure est à la surenchère. Jusqu’où ?
Violences verbales et physiques, évacuations de camps déshumanisantes et accidents mortels : les exilés sont victimes des forces de l’ordre.
Policiers incontrôlés, ados humiliés, parents méprisés, élus indignés… De Nanterre à Trappes, les vitrines cassées dégueulent d’amertume.
Pas de repos pour nos séries : canicule, Tour de France, Nina Simone, justice de 1973, émeutes.… Voici l’épisode 45 des « Dessous des “Jours” ».
Cinq ans après sa démission, l’ancien maire de Sevran sort de son silence pour dénoncer l’abandon des banlieues et l’inertie politique.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui : des violences policières ? Quelles violences policières ?
Il a été tué à 17 ans par un policier pour un refus d’obtempérer. Sa mort déclenche une vague de colère et de violences urbaines.
Nouvelles séries, nouvelle récompense, nouvelle recrue et oursons en guimauve : voici l’épisode 44 des « Dessous des “Jours” ».
Amnésie et complot : c’est la ligne de défense adoptée par les six policiers accusés de violences volontaires sur des jeunes de Pantin.
Des documents de l’IGPN obtenus par « Les Jours révèlent de nouvelles accusations contre la BTC Quatre-Chemins, dont le procès débute mercredi.
« Les Jours » dévoilent le rapport accablant de l’IGPN sur une brigade dont six ex-membres comparaissent pour « violences volontaires ».
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui, apprenons à faire une pancarte dans le respect de l’État de droit.
L’essentiel de la réforme des retraites a été validé, à commencer par l’âge de départ reporté à 64 ans. Rendez-vous le 1er mai…
Violences et cécité du gouvernement, cortège de tête recomposé et pratiques qui essaiment… L’analyse revigorante du sociologue Michel Kokoreff.
D’habitude, le samedi, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Mais aujourd’hui, il a chopé un truc bizarre, un nouveau virus…
S’ils passent rarement devant la justice, les policiers et leurs comportements peuplent les dossiers de comparution immédiate.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, homme vouloir couper du bois chez lui.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, Gérald et Didier en forme olympique.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, Darm Vador just wants to have fun.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, l’amour est dans le spray.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, vous avez demandé les urgences, ne quittez pas.
Coups, menaces, insultes racistes : les policiers de cette ville de Seine-Saint-Denis recourent à la violence en toute impunité.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, le 25 décembre d’enfer de Marlène et Gérald.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, déconfinement et des goélands.
Les images de l’évacuation d’un camp à Paris ont choqué. Mais à Calais, cette brutalité est le quotidien des exilés. Témoignages.
Replay. Violences policières, article 24, laïcité, plateformes partout : pendant plus de deux heures, Emmanuel Macron a parlé aux jeunes.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, miroir, mon beau miroir, qui est le plus Malin ?
Censé chouchouter les forces de l’ordre, l’article 24 crispe ONG, journalistes… et même les députés LREM. Un bel exploit.
« Les Jours » et de nombreuses sociétés de journalistes demandent à Jean Castex le retrait de plusieurs articles de la loi « pour une sécurité globale ».
À Paris, des exilés violentés, des journalistes molestés, un Darmanin faussement choqué, l’article 24 voté… Et quelles responsabilités ?
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, le tonfa spécial journalistes.
Après quatre jours de tensions démocratiques, l’article 24, qui limite la diffusion d’images des policiers, a été adopté ce vendredi soir.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, revendications aviaires et violences policières.
Le 28 septembre 2018, un gitan de 22 ans est abattu par un gendarme qui refuse d’expliquer son geste. La famille demande justice.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, la danse macabre de Christophe Castaner.
Établie par de nombreuses études, la discrimination des contrôles d’identité continue d’être niée par les policiers. Enquête historique.
Depuis le décès de Lamine Dieng lors d’une interpellation en 2007, sa sœur consacre sa vie à lutter contre les violences policières.
En envoyant la police fédérale à Portland et Chicago, le Président s’enfonce dans un mandat et une campagne toujours plus autoritaires.
« Les Jours » enquêtent sur le racisme, les violences policières, et celles et ceux qui en sont victimes au quotidien.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent une actualité et un disque en miroir. Aujourd’hui, clameurs pour George Floyd et Rodney King.
La mort de George Floyd déclenche un mouvement historique de révolte contre le racisme. Donald Trump, lui, attise les inégalités.
« Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise et l’après-confinement. En accès libre.
Tout le monde a vu la vidéo : le 1er mai dernier à Paris, un policier a frappé un manifestant. Il a été jugé ce jeudi.
Un an après le début du mouvement, « Les Jours » retrouvent Élodie et Jacky, du rond-point de Voreppe : désillusion et mobilisation.
Nuits d’ivresse, bagarres, faits divers… Les policiers sont de gros pourvoyeurs de patients à Saint-Denis. Les soignants font avec.
Au « tri », les infirmières doivent orienter les patients qui atterrissent aux urgences. Vite et bien. Tout l’édifice en dépend.
Il photographiait des flics dans un rassemblement pour Rémi Fraisse. Un gardien de la paix l’a tabassé, il vient d’être condamné.
Après le saccage des Champs-Élysées ce samedi, Édouard Philippe dégaine à la va-vite une nouvelle série de mesures sécuritaires.
Jeudi, un policier et un ancien détenu étaient jugés pour s’être tapé dessus. Le procès a tourné à l’avantage du second.
L’adoption des premiers articles à l’Assemblée ouvre la porte à une grande méchante limitation de la liberté de manifester.
L’interdiction administrative de manifester fait un come-back fracassant dans la proposition de loi examinée à l’Assemblée.
Jacky et ses compagnons de Voreppe ont joué le jeu du grand débat avec une députée macroniste. Qui a écouté, pas forcément entendu.
Ivres, deux policiers parisiens ont molesté un chauffeur et l’un d’eux l’a menacé avec son arme de service. Mais tout a été enregistré.
Cible des gilets jaunes, la chaîne est en proie à une crise interne qui voit les journalistes remettre en cause ses pratiques.
« Fichier des casseurs », répression des manifs non déclarées… Édouard Philippe sonne l’heure du tournant sécuritaire.
Le 16 mai 2007, Jean-Paul V., Philippe M., Ivan I. et Richard C. devaient maintenir l’ordre. Une étudiante a perdu un œil.
Chaque samedi, un comédien lit un épisode des « Jours ». Cette semaine, des gardiens de la paix rattrapés par des images amateurs.
Un an après la violente interpellation du jeune homme, trois des quatre policiers impliqués sont réintégrés ou en voie de l’être.
Alexandre T., Jonathan D. et Matthieu F. n’imaginaient pas terminer à la barre. Des images amateurs en ont décidé autrement.
Philippe J., patron des BAC de Rennes, est jugé pour avoir frappé un homme lors de son interpellation puis menti sur les faits.
Sarah L., Arthur L. et Julien C. devaient attraper un gamin qui sillonnait en quad une cité, sans casque. Et puis tout a dérapé.
Julien J. et Julien R., policiers de la brigade des réseaux franciliens, sont jugés pour violences contre un vendeur de maïs.
Au tribunal, entre deux affaires ordinaires, on croise aussi des gardiens de la paix. « Les Jours » racontent leurs procès.
Les policiers d’Aulnay jugent partial le traitement médiatique de l’affaire Théo L. Résultat : ils refusent de s’exprimer.