
Nouvelle série. Fin janvier 2021, trois femmes sont tuées. Leurs points communs : leur travail et leur lien avec un certain Gabriel Fortin.
Nouvelle série. Fin janvier 2021, trois femmes sont tuées. Leurs points communs : leur travail et leur lien avec un certain Gabriel Fortin.
L’incendiaire a été condamnée à passer vingt-cinq ans derrière les barreaux, là où l’état des détenus à l’esprit embué s’aggrave.
À l’audience, témoignages et expertises tentent de faire la lumière sur la psyché d’Essia B., entre addictions et troubles mentaux.
L’ouverture du procès d’Essia B. met en lumière le rôle des expertises psychiatriques dans la poursuite, ou non, des procédures criminelles.
En 2019, le feu allumé par Essia B. a tué dix personnes. Malgré son passif psychiatrique, elle comparaît à partir du 6 février.
Entre manque de magistrats et affaires expédiées, « Les Jours » ont sillonné les tribunaux pour raconter les comparutions immédiates.
D’un côté, des audiences de comparutions immédiates qui ne désemplissent pas ; de l’autre, un parquet moins surchargé et qui poursuit moins.
S’ils passent rarement devant la justice, les policiers et leurs comportements peuplent les dossiers de comparution immédiate.
Dans la Creuse, le département le plus âgé de France, le tribunal se donne le temps d’écouter les prévenus violents et alcooliques.
Lors des audiences souvent expéditives de comparution immédiate, des prévenus malades sont parfois jugés comme s’ils ne l’étaient pas.
Prévenu absent, traducteur manquant… Les renvois d’audience allongent les délais d’une procédure censée être rapide.
Devant la justice parfois expéditive des comparutions immédiates défilent, inlassablement, des auteurs de violences conjugales.
Le manque de moyens se ressent aux comparutions immédiates, où des affaires de plus en plus complexes sont jugées. Exemple à Nantes.
« Les Jours » sillonnent les tribunaux pour raconter la comparution immédiate, procédure parfois sévère, souvent expéditive.
Ce vendredi, les avocats de Salah Abdeslam ont tenté de montrer qu’il avait évolué tout au long du procès. Verdict le 29 juin.
Le parquet demande la perpétuité pour Salah Abdeslam et de la prison ferme pour tous ceux dont la responsabilité reste trouble.
Mères, frères, proches… Ils ne sont pas assez impliqués pour être jugés par la cour d’assises spéciale, trop pour ne pas l’être du tout.
Le grand ami de Salah Abdeslam aurait pu éclairer la cour sur les derniers préparatifs du 13 Novembre… Las, il est détenu en Turquie.
Leurs compagnes les ont suivis, quittés ou ne savaient rien : les histoires sentimentales des accusés émaillent le procès du 13 Novembre.
Radicalisation, voyage en Syrie, mystérieux séjour anglais : ce personnage-clé des attentats de Paris et Bruxelles a fait face aux juges.
Parents, frères et sœurs des kamikazes doivent composer entre la culpabilité, le deuil et la suspicion, parfois justifiée, de la cour.
De 2013 à 2015, Samy Amimour, Foued Mohamed-Aggad et Ismaël Omar Mostefaï ont gravi les échelons au sein de l’État islamique.
Son nom résonne à la cour qui, depuis mardi, retrace le parcours des assaillants. Six ans après, la commune belge tente de se réinventer.
Pour surmonter le traumatisme, beaucoup de rescapés du 13 Novembre ont eu besoin d’aide, de la psychiatrie traditionnelle à l’EMDR.
Les rescapés et proches de victimes du 13 Novembre continuent de se reconstruire peu à peu. À la barre, ils racontent leur vie d’après.
À partir de ce mardi et pendant cinq semaines, plus de 300 victimes vont prendre la parole au tribunal. Et raconter leur vendredi 13.
Les avocats des vingt accusés du 13 Novembre font parfois face à l’incompréhension. La défense est pourtant un droit et une nécessité.
Un travail policier d’une ampleur inédite débute le soir des attentats. Il aboutit, ce mercredi, à l’ouverture du procès du 13 Novembre.
À partir du 8 septembre, vingt hommes sont jugés pour leur rôle présumé dans le 13 Novembre. Des attaques imaginées depuis longtemps.
L’homme a commis deux meurtres et a été condamné en première instance pour un troisième. Y en a-t-il d’autres ? Le trouble est là…
Près de 35 ans après le meurtre d’Isabelle Mesnage, le verdict est tombé. Malgré les interrogations qui entourent ce trop vieux cold case.
Le 3 juillet 1986, un corps de femme est découvert. Ce mardi, Jacques Rançon est dans le box des accusés. Il a failli ne jamais l’être.
À partir du 8 juin, le tueur de la gare de Perpignan comparaît pour le meurtre d’Isabelle Mesnage. Son passé et sa pensée vont être scrutés.
Le 8 juin s’ouvre à Amiens un nouveau procès pour le tueur de Perpignan. Un « cold case » qui dormait depuis 1986, un de plus.