Une semaine après la présidentielle américaine, militants et sympathisants progressistes dissèquent l’échec de Kamala Harris. Saignant.
Une semaine après la présidentielle américaine, militants et sympathisants progressistes dissèquent l’échec de Kamala Harris. Saignant.
Dans le bastion conservateur de Newnan, les trumpistes jubilent pendant que les électeurs de Harris, accablés, anticipent les quatre années à venir.
Insubmersible, le milliardaire va réintégrer la Maison-Blanche. Le fruit d’une OPA sur le vote des hommes non-diplômés issus des minorités.
Donald Trump est élu président des États-Unis, il a surclassé la démocrate Kamala Harris : revivez l’élection américaine en replay.
Harris, Trump ou un résultat suspendu ? Trois scénarios sont possibles, sans que les sondages ne décèlent de tendance. Réponse dans quelques heures…
Même dans les universités « historiquement noires » d’Atlanta, la démocrate peine à séduire. Certains jeunes afro-américains lui préfèrent même Trump.
Les Amérindiens, dont le vote est crucial dans ce swing state, sont historiquement démocrates. Mais certains sont sensibles aux arguments de Trump.
Entre provocations et insultes, surtout de la part du candidat républicain, jamais une campagne n’aura été aussi violente et les États-Unis, aussi divisés.
Dans cet État conservateur, les classes populaires blanches sont minées par la pauvreté et les drogues dures. Ni Trump ni Harris ne représente un espoir.
Grâce à leurs contributions, les gros donateurs influencent comme jamais la campagne… et les engagements politiques des deux candidats.
L’État redoute des heurts en cas de défaite de Trump. Or le scrutin promet d’être serré et le nouveau décompte manuel des voix va retarder les résultats…
Le racisme du candidat républicain ne rebute pas les Hispano-Américains de Floride. Mais l’espoir de faire basculer l’État grimpe chez les démocrates.
Pour arracher le vote des électeurs indécis de cet État-clé, notamment les femmes, le camp Harris mise sur la défense des droits reproductifs. Reportage.
La démocrate a fait forte impression face à Donald Trump. Mais l’ex-Président, qui ne s’adresse qu’à ses partisans, en a-t-il quelque chose à faire ?
Rural quand elle est urbaine, de gauche quand elle est modérée : avec Walz à la vice-présidence, la candidate démocrate joue la complémentarité.
Lâché par son camp, le président Biden ne vise plus la réélection. Sa vice-présidente est la favorite pour le remplacer, mais sans faire l’unanimité.
La Cour suprême a validé la demande d’immunité de l’ex-Président pour les actes commis pendant son mandat. Un coup dur pour la justice… et les démocrates.
La prestation du Président lors du premier débat face à Trump n’a pas évacué les doutes sur sa santé. Elle pousse même les démocrates à espérer un retrait.
Le Super Tuesday, date-clé des primaires à la présidentielle, a validé un duel évident… dont les Américains ne veulent pas.
Notre spécialiste de la vie politique américaine a répondu à vos questions sur la présidentielle et le duel annoncé entre Donald Trump et Joe Biden.
Après son soutien sans faille à Israël, le président américain demande désormais une « pause » humanitaire. Pour ne pas fâcher son électorat.
Le Président estime être le seul à pouvoir contrer Trump en 2024. Mais ses presque 81 ans et sa santé font douter les démocrates.
Le néocandidat à la primaire républicaine se pose en recours de Donald Trump. Car sur le front des idées, il est juste un peu plus radical.
Malgré son âge, le Président est candidat à sa réélection. Il compte sur sa capacité à lever des fonds… et sur l’épouvantail Trump.
L’inculpation de l’ex-Président est une première dans l’histoire américaine mais son implication dans l’assaut du Capitole reste à juger.
Devant le Congrès, le Président a prêché l’union transpartisane mais les conservateurs, de plus en plus à droite, ne pensent qu’à se venger.
Chômage au plus bas, justice fiscale, parti uni… Voilà qui ferait rêver tout leader de centre-gauche européen. Et pourtant, ça ne prend pas.
Le républicain Kevin McCarthy a été élu après quinze tours de scrutin, mais c’est au prix de lourdes concessions à l’extrême droite.
Des victoires démocrates inattendues aux « midterms », Trump désavoué, des conservateurs qui se déchirent : le président américain respire.
S’il reste des incertitudes, l’hypothèse du raz-de-marée républicain s’éloigne et les candidats trumpistes obtiennent des résultats mitigés.
Les démocrates promettent de gagner les « midterms » et vont sans doute les perdre. Mais les républicains pourraient ne pas triompher…
Malgré un bilan positif, le président américain se heurte, à l’approche des élections de mi-mandat, à son impopularité et à l’insécurité.
La commission d’enquête a osé : l’ancien Président est convoqué pour s’expliquer sur son rôle dans l’insurrection du 6 janvier 2021.
Avant les élections de mi-mandat, Joe Biden ne joue plus les conciliateurs, il désigne la menace : le come-back de Donald Trump.
La stratégie de soutien éperdu à l’Ukraine du Président se heurte à son impopularité nationale et aux républicains sur les autres sujets.
La laborieuse nomination de la juge noire Ketanji Brown Jackson révèle l’ampleur de la fracture entre deux Amérique irréconciliables.
L’assaut (3/3). Attisées par un Trump revanchard, les braises de l’insurrection du 6 janvier 2021 restent inflammables.
L’assaut (2/3). Créée pour faire la lumière sur le 6 janvier 2021, la commission parlementaire devient vite l’objet de jeux partisans.
Entravé par des sénateurs républicains toujours acquis à Donald Trump, le président américain réduit fortement l’ambition de ses réformes.
La victoire-éclair des islamistes, qu’il jugeait « hautement improbable », est un revers stratégique pour le président américain.
Le Président voit ses réformes sociales se fracasser au Sénat, où les républicains refusent obstinément sa politique de la main tendue.
Le Président tente de durcir le contrôle des armes mais les républicains bloquent, soutenus par une Cour suprême encore plus conservatrice.
Il dit vouloir rétablir la confiance avec la population, la presse, les républicains… Mais quatre ans de Trump sont passés par là.
Investi ce mercredi, le nouveau Président a la tâche colossale de réparer un pays meurtri par quatre ans de trumpisme.
Illégitime aux yeux des trumpistes, trop modéré pour la gauche des démocrates, le futur Président rame vers la Maison-Blanche.
De plus en plus seul à crier à la fraude, Trump envisage d’accorder par avance le pardon présidentiel à ses proches… et à lui-même.
Alors que la certification des votes confirme l’élection de Joe Biden, le président poursuit sa croisade judiciaire et conspirationniste.
Malgré la victoire de Biden, la transition avec le président sortant, renforcé par de bons résultats électoraux, promet d’être houleuse.
Joe Biden devient le 46e président des États-Unis face à Donald Trump. Une revanche pour cet éternel second couteau.
Déclaration incendiaire, appel à la Cour suprême, recours… Trump tente le tout pour le tout pour retarder la probable victoire de Biden.
Après quatre jours sous tension, l’ex-vice-président d’Obama devient président des États-Unis. Mais Trump n’a pas reconnu sa défaite…
Trump ou Biden président ? Les États-Unis tranchent ce mardi. Corentin Sellin dessine quatre scénarios pour la nuit américaine.
Système oblige, les candidats misent tout sur quelques États. Biden a les minorités avec lui ; Trump, le souvenir du hold-up de 2016.
Les deux candidats à la vice-présidence ont tenu un débat plus présidentiel que Biden et Trump, mais restent tout aussi irréconciliables.
Insultes, attaques personnelles : mardi soir, faute de dialogue possible, chaque candidat s’est adressé à son Amérique.
Trump a nommé une juge ultraconservatrice à la Cour suprême : menace en vue sur l’avortement et le résultat de l’élection présidentielle.
Des sommes astronomiques déferlent sur les campagnes des deux candidats. La faute à un financement électoral totalement dérégulé.
Indispensable avec la pandémie, le vote par correspondance hérisse le Président. Qui l’accuse de favoriser la fraude… et les démocrates.
Le candidat démocrate a fait le choix, historique mais attendu, de cette sénatrice noire de 55 ans pour être sa colistière.
Comme Bill Clinton ou Donald Trump, le candidat démocrate est accusé d’agression sexuelle. Son parti assumera-t-il la vague #MeToo ?
Malgré l’épidémie, le président a tenu à ce que la primaire démocrate du Wisconsin se tienne ce mardi. Insensé ? Non, calculateur.
Pionniers en matière de droits politiques des femmes, les États-Unis n’ont toujours pas élu de présidente. Vous avez dit sexisme ?
On l’avait enterré ; le voilà nouveau favori des démocrates. La suite logique d’une carrière faite de fautes et de résurrections.
Il n’y a jamais eu de tradition socialiste aux États-Unis ? Faux. Le favori de la primaire démocrate en est même l’héritier.
Deux milliardaires en concurrence pour la magistrature suprême ? Du jamais vu aux États-Unis, où la liberté d’expression se paye cash.