
L’annulation des épreuves de spécialité est un bref répit pour le lycée Mounier, pris dans le casse-tête de la réforme et du coronavirus.
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Photographe indépendant installé à Grenoble, Pablo Chignard travaille pour la presse et réalise parallèlement des projets personnels sur le long terme. Il poursuit notamment depuis quatorze ans un documentaire sur le mode de vie d’un paysan en Auvergne.
L’annulation des épreuves de spécialité est un bref répit pour le lycée Mounier, pris dans le casse-tête de la réforme et du coronavirus.
Bac Blanquer, Parcoursup, enseignement supérieur… Le compte à rebours est lancé pour les terminales du lycée Mounier à Grenoble.
Les lycées restent ouverts, annonce Jean-Michel Blanquer qui garde l’objectif de 50 % de cours à distance. À Grenoble, on tente de suivre…
Face au revirement de Jean-Michel Blanquer, le lycée Mounier a décidé de passer outre les instructions pour son hommage à Samuel Paty.
Au lycée où « Les Jours » sont installés, les profs disent leur désarroi et leur sentiment d’abandon après le meurtre de Samuel Paty.
Platon, esprit critique, notions, Marx, méthodo… Les élèves du lycée Mounier de Grenoble découvrent la sagesse, version bac Blanquer.
Corps changés, visages masqués et la réforme Blanquer toute l’année. « Les Jours » font leur rentrée en terminale G4 au lycée Mounier.
Jeudi, Jean-Michel Blanquer a mis fin au suspense et annulé l’oral de français. Une pilule douce-amère pour le lycée Mounier, à Grenoble.
Les élèves seront évalués seulement en contrôle continu, annonce le ministre. À Grenoble, le lycée Mounier fait de son mieux pour suivre.
Épreuves du bac en suspens, conseil de classe virtuel : le coronavirus s’invite dans une année déjà mouvementée pour la 1ère G4.
Réforme du bac, « devoir de réserve », postes rognés, classes surchargées… Les profs du lycée Mounier à Grenoble ouvrent les vannes.
Réforme du bac, choix de carrière et bavardages : c’est l’heure de la rencontre parents-profs pour la 1ère G4 du lycée Mounier.
Ces nouvelles épreuves cristallisent la colère avec des appels à la grève. Au lycée Mounier, elles débutent ce mardi. Enfin, normalement.
Info « Les Jours ». Ce rituel trimestriel va être réformé pour s’adapter au nouveau bac. Exemple au lycée Mounier, à Grenoble.
Entre choix des options, premiers exams et exercice attentat, les premières du lycée Mounier, à Grenoble, ont l’angoisse au ventre.
Un an après le début du mouvement, « Les Jours » retrouvent Élodie et Jacky, du rond-point de Voreppe : désillusion et mobilisation.
Choisir des cours en plus ? Avec le nouvel examen, ça ne paye plus, constatent parents et élèves du lycée Mounier, à Grenoble.
Le nouveau bac a chamboulé les livres scolaires au point qu’au lycée Mounier, à Grenoble, certains ne sont pas encore arrivés. Galère.
Épreuves, calendrier, coefs : les profs du lycée Mounier, à Grenoble, ont tenté de briefer les familles sur la nébuleuse réforme.
C’est jour d’élection des délégués au lycée Mounier, à Grenoble. Au cœur des préoccupations des candidats : la réforme du bac.
Au lycée Mounier, à Grenoble, Philippe Raspail élabore les plannings. Un casse-tête avec la réforme du bac ? Même pas.
Au lycée Mounier, à Grenoble, les élèves suivis par « Les Jours » apprennent à se connaître et se familiarisent avec le nouveau bac.
Pour raconter la réforme Blanquer de l’intérieur, « Les Jours » font leur rentrée en 1ère G4 au lycée Mounier de Grenoble. Driiiiiing !
Jacky et ses compagnons de Voreppe ont joué le jeu du grand débat avec une députée macroniste. Qui a écouté, pas forcément entendu.
Pour l’« acte X », le pilier du rond-point de Voreppe tractera à Grenoble sa propre missive. Le grand débat ? Il ira, sans illusions.
Pour le sociologue Patrick Cingolani, le mouvement des gilets jaunes remet en cause la verticalité du pouvoir et le néolibéralisme.
Alors qu’a eu lieu l’« acte V » ce samedi, Élodie, gilet jaune à Voreppe, raconte le découvert chronique, la débrouille et le courroux.
« Les Jours » s’installent sur le rond-point de Voreppe, près de Grenoble, où les gilets jaunes partagent la soupe et la colère.
L’état d’urgence se poursuit mais pas pour le maçon grenoblois dont l’assignation à résidence vient d’être levée.