La peine prononcée en première instance a été confirmée : trois ans de prison dont un ferme. Une condamnation inédite pour un ex-Président.
La peine prononcée en première instance a été confirmée : trois ans de prison dont un ferme. Une condamnation inédite pour un ex-Président.
Au menu : arrêt dans l’affaire Bismuth, procès en appel Bygmalion et décision sur le renvoi devant un tribunal des financements libyens…
Trois ans de prison avec sursis ont été requis en appel contre Nicolas Sarkozy. Loin de la peine infligée en première instance.
En appel, l’ex-Premier ministre écope de quatre ans de prison dont un seul ferme ; son épouse de deux ans avec sursis. Moins qu’en 2020.
Cinq ans de prison dont un an ferme aménageable ont été requis en appel contre François Fillon. Qui voit s’éloigner l’incarcération.
Empêtré dans les affaires, l’ex-Président multiplie les prises de parole hostiles à la justice. Une stratégie qui se révèle contreproductive.
L’ex-Président est condamné à trois ans de prison, dont un ferme. Un jugement historique. Il va faire appel.
Le procès Bismuth découle de l’affaire libyenne… qui devrait aussi conduire Sarkozy au tribunal. Un dossier plus explosif encore.
Pas de corruption, pas de trafic d’influence, juste de l’amitié : les avocats des prévenus ont balayé toutes les accusations.
Pendant plus de quatre heures, le parquet a chargé l’ex-Président et ses deux coprévenus. Il a requis quatre ans de prison, dont deux ferme.
Au procès des écoutes, l’ex-Président, fidèle à lui-même et à son ego, s’est défendu en bloc de tout ce dont il est accusé.
Gilbert Azibert ? Captivé par des points de droit. Thierry Herzog ? Dingue de procédure pénale. Les prévenus réfutent toute corruption.
Après une charge des avocats de la défense contre l’enquête du Parquet national financier, le procès commence enfin.
L’ex-Président affronte son ennemi juré : le Parquet national financier. Une institution légitime mais pourfendue par ses proches.
Enchâssée dans les affaires libyenne et Bettencourt, il y a celle des écoutes. C’est elle qui conduit Nicolas Sarkozy au tribunal ce lundi.
Cinq ans de prison dont deux ferme pour lui ; trois ans avec sursis pour son épouse. Condamnés à rendre plus d’un million, ils font appel.
Les avocats du couple ont été plus en verve pour charger l’enquête que pour étayer le fond de l’affaire. Jugement attendu le 29 juin.
Cinq ans de prison dont trois avec sursis ont été demandés contre l’ex-Premier ministre, au terme d’un réquisitoire implacable.
Interrogé par le tribunal sur un emprunt de 50 000 euros qu’il n’a pas déclaré, l’ex-Premier ministre a plaidé l’« erreur honnête ».
En fin de procès, Fillon a tenté des coups. Mais le tribunal a attendu en vain des preuves tangibles du travail de sa femme.
Sur le gril, l’ex-suppléant de François Fillon a évoqué une collaboration « orale et immatérielle » avec son ancienne assistante.
Un manoir sans boîte aux lettres, un circuit du courrier opaque… Le tribunal a cherché, et cherche encore, les traces d’un travail.
Il espérait l’Élysée mais, rattrapé par les présumés emplois fictifs de sa femme et son goût pour l’argent, il termine au tribunal.
Révélés par « Les Jours », les manquements de la banque en matière de financement du terrorisme lui valent une amende astronomique.
Quiz. Balkany ? Cahuzac ? Sarkozy ? « Les Jours » vous proposent de découvrir le magouilleur qui est en vous.
Le juge anti-corruption part aujourd’hui à la retraite. Retrouvez l’interview de Renaud Van Ruymbeke publiée par « Les Jours ».
Serge Dassault est mort. Son procès en appel pour blanchiment de fraude fiscale, prévu la semaine prochaine, n’aura pas lieu.
Le rapport parlementaire remis ce mercredi préconise de donner plus d’autonomie à la justice en matière de fraude fiscale.
Les flux d’argent dans le sport sont massifs, mondiaux… et parfois troubles. Le Parquet national financier entre sur la pelouse.
Devant les députés, des ONG ont désigné les fraudeurs habiles, capables d’échapper à la justice. Comme les grandes entreprises.
Les citoyens défendent la procureure anticorruption, bête noire des puissants… et partenaire du Parquet national financier français.
L’ex-ministre ira-t-il en prison ? La défense « supplie » la cour d’y renoncer, l’accusation invoque « l’équilibre social ».
Lors de la première semaine de son procès en appel, l’ex-ministre a joué la carte du regret et de l’humilité.
Le scandale avait provoqué la création du Parquet national financier. Ce lundi s’ouvre le procès en appel de l’ex-ministre.
Lors de l’audience de rentrée, Éliane Houlette a réaffirmé la stratégie du Parquet national financier : frapper au portefeuille.
Pour poursuivre la fraude fiscale, il faut une plainte du ministère des Finances. Une exception française discutée à l’Assemblée.
Pour « Les Jours », des magistrats du Parquet national financier racontent leur enquête sur la fraude aux quotas carbone.
Favoritisme, corruption… Les policiers de la répression de la délinquance économique traquent entreprises et élus indélicats.
Entretien. Les policiers de l’OCLCIFF s’occupent des affaires d’argent. « Les Jours » font parler leur patron, Thomas de Ricolfis.
Brouillé avec Anne Hidalgo, poursuivi par la justice, je dois être fixé ce mercredi sur l’avenir de ma grande roue. Je suis…
Au Parquet national financier, ces fonctionnaires suivent les affaires de bout en bout. Elles nous ont ouvert leur porte.
Poursuivie pour blanchiment de fraude fiscale, la banque a signé un accord avec le Parquet national financier. Une première.
Condamné vendredi pour ses « biens mal acquis », le fils du président de Guinée équatoriale perd son hôtel particulier parisien.
Info « Les Jours ». La juridiction a lancé une enquête sur les moyens alloués à la lutte contre la délinquance économique.
Quand ils sont dans le viseur de la justice, les politiques ont une fâcheuse tendance à s’en prendre aux magistrats.
Bygmalion, Cahuzac, Bongo, Balkany… Une appli pour tout comprendre des affaires traitées par le pôle financier.
Crise des vocations, manque de moyens : les enquêteurs spécialisés en délinquance financière n’ont pas trop le moral.