Biden autorise l’envoi de missiles sur le territoire russe, Zelensky cajole Trump et les troupes de Moscou avancent. L’Ukraine retient son souffle.
Biden autorise l’envoi de missiles sur le territoire russe, Zelensky cajole Trump et les troupes de Moscou avancent. L’Ukraine retient son souffle.
Interdiction de l’Unrwa, anéantissement du nord de l’enclave palestinienne : l’État hébreu amorce une stratégie de recolonisation de la bande de Gaza.
Touchés par des frappes israéliennes à Khan Younès, Azza et ses fils se sont réfugiés dans la capitale libanaise désormais visée par Tsahal.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, Gaza au cœur.
La capitale, où les déplacés sud-libanais pensaient être en sécurité, est aussi attaquée par Israël. Reportage au sein des réseaux de solidarité.
Épuisement, situation militaire et pression internationale : le président ukrainien semble envisager un cessez-le-feu négocié plutôt qu’une victoire.
Un an de guerres. Dentiste, S. a permis l’identification de cadavres via leur empreinte dentaire. Au lendemain du 7 Octobre et à Gaza, où il a été blessé.
Un an de guerres. Asma Abu Syam était professeure de français à Gaza City. Aux « Jours », elle raconte son quotidien fait de mort et de destruction.
Des milliers de morts, l’exode de près d’un million de personnes, la décapitation du Hezbollah et maintenant l’invasion israélienne. Le pays bascule.
Après l’attaque aux bipeurs, l’État hébreu a bombardé des sites du Hezbollah, qui riposte avec des tirs de roquettes. Le Moyen-Orient s’embrase.
Les Russes ne sont pas encore entrés dans cette ville, nœud stratégique du Donbass, mais son cimetière le raconte : elle est déjà condamnée.
Malgré les pertes, les forces de Moscou progressent vers la ville-clé de Pokrovsk. Que les troupes ukrainiennes, épuisées, tentent de protéger.
La mort de six otages a attisé la colère des Israéliens envers Netanyahou, tandis que l’armée menait une offensive sanglante en Cisjordanie.
L’offensive ukrainienne en Russie vise notamment à soulager les autres fronts. Mais sur le terrain, les militaires peinent à en voir les effets.
À bout de souffle, d’hommes et de munitions, l’armée ukrainienne est parvenue à contenir l’offensive russe. Sans voir de perspectives à moyen terme.
Le 7 Octobre, le fils de cette Israélo-Américaine a été enlevé par le Hamas. Depuis, elle se bat pour lui et tous les otages. Et pour tous les civils.
Tous les samedis, notre dessinateur aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui à Gaza, quatre consonnes et quatre voyelles.
La frappe israélienne sur le camp de Baraksat à Rafah a fait 45 morts et suscité une vague de condamnations. Mais l’État hébreu poursuit sa guerre.
L’armée de Poutine a lancé un nouvel assaut sur le nord-est du pays. Mais deux ans de guerre sont passés par là et les Ukrainiens sont mieux préparés.
L’un est Israélien, l’autre Palestinien. Les deux ont perdu une fille et militent pour la paix. Entretien croisé avec Rami Elhanan et Bassam Aramin.
Avant l’arrivée de l’aide militaire américaine, Moscou pousse son avantage. Sur le front, on s’attend au mois le plus dur depuis le début de la guerre.
Pris entre Washington et l’extrême droite, le Premier ministre israélien fait le choix d’une réplique mesurée contre l’Iran. Et se tourne vers Rafah.
Érigé en symbole de la résistance du pays, cet engin agile mais fragile est devenu, face au manque de munitions, l’arme de la dernière chance.
Inéluctable pour l’eurodéputé Damien Carême ; pas d’emploi créé, selon le syndicaliste Patrick Haezebrouck. À Bray-Dunes, le parc éolien divise.
Entre les oiseaux migrateurs et les munitions des deux guerres mondiales perdues au fond des eaux, le projet de parc éolien offshore est explosif.
L’épuisement des troupes et le manque de munitions poussent Kyiv à fortifier ses lignes de front. Une course contre la montre. Reportage.
Impopulaire, douloureuse, explosive, inévitable… Deux ans après le début de l’invasion russe, la question de la mobilisation angoisse l’Ukraine.
Premières victimes de l’armée israélienne, les enfants gazaouis vivent l’horreur entre traumatismes, malnutrition et risques de maladies.
Cent jours de guerre (2/2). Or S. a réchappé du festival visé par le Hamas, puis a poursuivi son service militaire. Jusqu’à pénétrer dans Gaza.
Depuis le début de la guerre, ni l’opposition ni la société n’osaient polémiquer avec le président Zelenski. Mais aujourd’hui, l’union sacrée a vécu.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, le choc en deux temps d’un conflit israélo-palestinien sans fin.
Débutée en juin, l’opération n’a pas renversé le cours du conflit. Parce qu’elle répondait dès l’origine au souhait des Occidentaux plus que de Kyiv…
Tous les samedis, Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, regardez, regardez, regardez !
Pendant la guerre, alors que les galeries juives sont aryanisées et les œuvres volées, Georges Wildenstein s’arrange avec l’occupant.
Dans l’est de l’Ukraine, la contre-offensive soulève les espoirs des soldats mais le quotidien est encore fait de tranchées, d’obus, de morts.
Aurélien Goubau remporte le prix « Les Jours » au festival photo Les Boutographies avec « Znamya », projet inspiré d’un programme spatial insensé.
Sur la ligne de front, les habitants coexistent avec les bombardements russes, la peur et la mort. En attendant la contre-offensive.
Pour beaucoup d’Ukrainiens, après un an de conflit, l’engouement du début a laissé place à la peur d’être mobilisés par l’armée.
Un an de guerre (3/3). Barrages, cocktails Molotov, tranchées : dès le 25 février 2022, la capitale ukrainienne se prépare à l’assaut russe.
Ils ont fui la guerre en Syrie pour tout perdre dans le séisme du 6 février : reportage dans un camp de rescapés à Antakya.
Un an de guerre (2/3). C’est le jour J de l’invasion russe. Yaroslav, le député, est convoqué au Parlement. Nastya, la journaliste, quitte Kyiv.
Un an de guerre (1/3). Une reporter, une prof, des oligarques, un Président… Avant le 24 février, personne ne voyait Moscou passer à l’attaque.
Dans les villages récemment libérés, les accusations de complicité avec les Russes sont dures à démêler. Reportage à Yarova, dans le Donbass.
Né juste avant l’invasion russe, le média indépendant est devenu la voix de l’Ukraine à l’étranger et se bat pour la liberté de la presse.
La reprise de la ville est une victoire éclatante pour les Ukrainiens. Mais l’artillerie ennemie est juste derrière l’infranchissable Dniepr…
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, hip-hop anglais, soul d’été et parentalité en temps troublés.
Espérant changer le cours de la guerre, l’armée russe frappe désormais tout le pays. Du jamais vu depuis le début de l’invasion.
Sur le front nord-est, les Ukrainiens ont été stupéfiés par la contre-offensive des leurs. Et plus encore par le repli des soldats de Moscou.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, les hirondeaux ne se cachent pas pour mourir.
Olga et Alexander habitaient la ville ukrainienne, aujourd’hui ravagée. Ils racontent le siège, les déplacements forcés en Russie, l’exil.
Comme les Ukrainiens après eux, les Afghans suivis par « Les Jours » ont rapidement obtenu le statut de réfugiés. Une exception.
Boris et Andreï sont russes, mais pas soldats. Pourtant, en 2014, ils ont combattu avec les séparatistes dans le Donbass. Voici leur histoire.
En Ukraine, malgré les risques, des justiciers de l’ombre s’affairent à récolter témoignages et preuves des exactions des soldats russes.
À Boutcha et Borodianka, les survivants recherchent les corps de leurs proches et racontent l’horreur de l’occupation russe. Reportage.
Dans la ville, seuls sont restés les plus pauvres. Qui s’entraident malgré les Russes à leurs portes et les bombardements incessants.
Après l’horreur de Boutcha vient le temps de l’enquête. Un travail long et minutieux, explique le colonel Éric Emeraux. Entretien.
Écologie, Ukraine, Constitution, mégalomanie, lutte contre l’extrême droite… Les témoins des « Jours » débattent vote utile à gauche.
Près d’Odessa, les agriculteurs cherchent à écouler les récoltes et résistent à leur manière : en continuant à produire du blé.
Maïdan, Crimée, Donbass : 2014 a divisé les prorusses et les partisans d’une souveraineté nationale. C’est l’histoire d’Anna et Ludmila.
Même visés par les Russes, les habitants de la ville de l’Ouest de l’Ukraine continuent à remplir les rues. Et à se préparer au combat.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, un homme. Face à la guerre. Seul.
Plus ou moins inquiets, les jeunes suivis par « Les Jours » ont été happés par la guerre. La militante écolo, elle, est partie sur place.
Dans l’Ouest de l’Ukraine, un bourg de 800 habitants se mobilise pour accueillir les déplacés de l’Est et affronter l’armée de Poutine.
Pour fuir la guerre, ils ont laissé leurs vies derrière eux. Reportage des deux côtés de la frontière polonaise.
Un novice français, un ex de la Légion, un ancien de Blackwater… Rencontre à la frontière polonaise avec les candidats au combat.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, une résistante ukrainienne et un observateur de la Russie.
Olena Hudym, Ukrainienne vivant en France, était à Kyiv avec ses filles quand les premières bombes ont explosé. Elle raconte leur fuite.
La chercheuse Anna Colin Lebedev retrace le parcours des engagés volontaires depuis les manifestations du Maïdan jusqu’à l’invasion russe.
Les rues sûres et l’indifférence générale amortissent leur peine. Les Afghans suivis par « Les Jours » se font peu à peu à l’exil.
Avant leur exil en France, ils vivaient dans un pays encore conservateur, mais de plus en plus libre. Puis les talibans sont revenus.
Mursal, Ishaq Ali, Sami, Jamila et Aqeel ont quitté l’Afghanistan en quelques heures. Ils racontent l’aéroport, l’angoisse, l’abandon.
« Les Jours » suivent cinq Afghans arrivés en France fin août. Derrière eux, les talibans… et de nombreux proches.
Natalia Kepesz a photographié les camps militaires pour jeunes. Elle remporte le prix « Les Jours » au festival Les Boutographies.
Combattre un virus en prenant de haut la population ? Grande idée. En RDC, c’est même la cause indirecte du meurtre du docteur Mouzoko.
Nouvelles infos des « Jours » sur la mort du médecin Richard Mouzoko : contre Ebola, l’OMS aurait rémunéré des miliciens de la région.
Malversations, mauvaise gestion des fonds de l’OMS… En RDC, l’enquête sur la mort de Richard Mouzoko s’oriente vers la piste économique.
Des docteurs lésés, Ebola qui progresse, des Maï-Maï… En RDC, l’enquête sur le meurtre de l’épidémiologiste Richard Mouzoko avance.
Sur l’épidémie comme sur le meurtre du docteur Mouzoko, le pouvoir n’a pas communiqué. Et a alimenté le virus de la désinformation.
Le 19 avril 2019, le médecin Richard Mouzoko est abattu. Après huit mois d’épidémie d’Ebola en RDC… et autant d’arrogance des autorités.
L’épidémie n’aurait pas dû durer, le médecin être assassiné, les coupables difficiles à trouver… Rien ne s’est passé comme prévu.
Le Président laisse Édouard Philippe aller au charbon sur les retraites, mais gaffe, il ne doit pas avoir l’air absent. Dilemme de com.
D’ordinaire avare de sa parole, le Président a inauguré à Biarritz une nouvelle posture médiatique : l’omniprésence.
Après la Grande Guerre, notre taupe journaliste raconte de l’intérieur l’opération de com, lourdingue, d’Emmanuel Macron en Normandie.
Climat, extinction des espèces… Depuis un siècle, on chante l’apocalypse, du blues à « We Are The World », de Johnny à Radiohead.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, des antilopes un peu trop seules.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une étude explosive.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un pays à sec.
Après les bombardements, des familles kurdes ont récupéré leurs proches dans des sacs. Ils auraient été exécutés. (3/3)
Rumeurs d’exécutions, expropriations… Dans les quartiers détruits de Cizre, au Kurdistan, la vie est suspendue. (2/3)