Partis de Marseille, les débrayages de policiers s’étendent. Entre la base, les syndicats et les huiles, l’heure est à la surenchère. Jusqu’où ?
Partis de Marseille, les débrayages de policiers s’étendent. Entre la base, les syndicats et les huiles, l’heure est à la surenchère. Jusqu’où ?
Les superprofits de la CMA CGM ont permis à son patron de racheter le quotidien régional. Mais en interne, l’armateur divise.
Les particules fines et autres saletés émises par ce commerce pourrissent la santé de ses riverains, abandonnés par les pouvoirs publics.
Insertion, soutien scolaire, culture… Ce sont les habitants eux-mêmes qui se démènent pour sortir leur cité du trafic de drogue.
En 2016, Rudy, 15 ans, est assassiné dans un règlement de compte sur fond de trafic de drogue à Marseille. « Les Jours » étaient au procès.
Le 25 juin, un « lieutenant » de la drogue est tué, déclenchant une vague d’assassinats. Généalogie d’un règlement de compte.
Chaque jour, les « charbonneurs », petites mains du trafic de drogue, défilent au tribunal correctionnel de Marseille. Reportage.
Dans les cités, les forces de l’ordre tentent d’endiguer le trafic à coups d’interpellations à la pelle et de « pilonnage » de dealers.
Ados, ils font le guet pour les dealers. Et, tel Rayanne, finissent exécutés dans les règlements de comptes entre clans marseillais.
Une flambée de violence dans les quartiers nord et Macron déboule. « Les Jours », eux, remontent la chaîne des stups.
Le proprio débarque le président Jacques-Henri Eyraud, détesté des supporters. Voilà Pablo Longoria livré au « peuple marseillais ».
Le président du club menace d’expulser du Vélodrome les groupes de supporters. Associations et politiques se lèvent comme un seul OM.
Derrière la crise que vit l’OM, il y a l’indigence de la direction… et peut-être l’explosion prochaine de la bulle du foot français.
« Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise et l’après-confinement. En accès libre.
Paris devrait passer en zone d’alerte maximale au Covid-19 ce lundi. Et subir le même sort que Marseille. Récit d’une colère phocéenne.
Marseille au rythme de l’OM : l’obsession des « Jours » signée Michel Henry sort en librairies ce mercredi, publiée par Marabout.
Deux ans après le rachat du club, le proprio doit s’y faire : l’OM reste un nain. Pour grandir, il faudra de l’argent… et regagner.
Employé du diocèse, le « curé de l’Ohème » réconcilie sur le web fidèles et fans. Dimanche, contre Paris, Dieu ne sera pas de trop.
Le club est englué dans un début de saison mi-figue mi-raisin. Heureusement, « Les Jours » ont la solution : Jean-Claude la win.
Le club des quartiers nord marche à peine et veut des bottes de sept lieues. Mais il reste du chemin pour sortir de l’ombre de l’OM.
Le recrutement de l’Italien est tombé à l’eau. La fin du mercato approche, et Marseille n’a toujours pas son grand attaquant.
Pour cette nouvelle saison, l’OM a pris des mesures radicales contre les fumigènes en collant la pression aux clubs de supporters.
La Ligue 1 reprend ce vendredi et Marseille n’a toujours pas signé l’attaquant italien. Les supporters trépignent.
L’OM vient d’éjecter du Vélodrome le club de supporters, accusé d’enrichissement personnel et de vente de faux billets.
La finale européenne perdue ? La quatrième place en France ? Pas grave. Le président Eyraud la joue calme olympien. Mais bien sûr.
Après sa défaite en finale de la Ligue Europa face à l’Atlético Madrid, l’OM se pose des questions. « Les Jours » y répondent.
Deux ans de présidence et son club joue une finale de coupe d’Europe. Mais petit scarabée Jacques-Henri a encore tant à apprendre…
Une page minimum, treize pour la qualification en finale de la Ligue Europa. Entre journal et club, c’est un mariage de (dé)raison.
Bon enfant et voyou, le « peuple de l’OM » a tout donné jeudi, avant même la victoire en demi-finale aller de coupe d’Europe.
Droits télé, loyer du Vélodrome, jackpot de la Ligue des champions… Le club compte ses sous et sur une bonne fin de saison.
L’OM qualifié en demi-finale de coupe d’Europe, Marseille se souvient des jours anciens, se met à rêver… et tacle le PSG. Bonheur.
Michel Tonini a les nerfs : l’OM a porté plainte contre son groupe de supporters. Dernier épisode d’une relation amochée.
Contre Lyon, l’OM promettait castagne et victoire. Raté. Résultat, la ville déprime et les fans craignent une nouvelle saison ratée.
À l’occasion du choc entre l’OM et l’OL dimanche, « Les Jours » inventent l’épisode vidéo en « multilive ». Direct à 18 heures.
Avant le choc OM-OL, « Les Jours » vous ont invités à un épisode vidéo « multilive » depuis Marseille. À revivre ici.
À l’OM, on n’a pas de pétrole, mais on a un camélidé. Même qu’il écrit les meilleurs résumés des matchs. Rencontre au poil.
Fini la défiance, l’Olympique de Marseille se rapproche des petits clubs de la ville. Pour ne pas voir filer les Zidane de demain.
Après deux peignées face au PSG, visite des derniers salons où l’on cause de l’OM : ceux des coiffeurs et des tatoueurs.
Les fans marseillais sont interdits de déplacement à Paris dimanche. Mais pas (encore) pour le remake trois jours après. Ubuesque.
Bridés, parqués, fouillés… Les fans fulminent et gênent. Dimanche encore, les Bordelais sont interdits de déplacement à Marseille.
L’OM va-t-il mettre la main sur le stade largement subventionné par le contribuable marseillais ? Les négos sont serrées.
La nouvelle série des Jours explore une étrange planète, l'OM. Premier épisode en accès libre. Bienvenue au club.
Après la victoire de Mélenchon, son mouvement réfléchit à l’avenir et compte installer à Marseille l’un de ses sièges.
Le leader Insoumis, qui a enfin appréhendé le contexte local cette semaine, l’emporte face à son adversaire En marche.
La candidate En marche défie l’Insoumis au second tour à Marseille. Certains lui prêtent des visées sur la mairie.
Pour Mélenchon, ce quartier frondeur qui combat un projet municipal de réaménagement urbain est un modèle politique à suivre.
Il arrive en tête dans la 4e circonscription des Bouches-du-Rhône, devant la candidate En marche et le sortant socialiste.
Ex-communistes, fidèles Insoumis, adeptes du « dégagisme »… À Marseille, ils font cause commune, malgré les frictions.
Acheter des voix contre un logement, un boulot… Dans la cité de Félix-Pyat, le fléau menace la campagne des législatives.
Dans cette ville de très ancienne immigration, on drague le vote communautaire. Mais la ficelle est désormais trop grosse.
Le député socialiste se voyait déjà réélu à Marseille… jusqu’à ce que le leader des Insoumis vienne le provoquer sur ses terres.
Pendant les législatives, « Les Jours » s’installent dans la circonscription que brigue le leader de La France insoumise.
Dans le quartier très à gauche de la Plaine, à Marseille, ceux qui n’iront pas voter disent sentir une « pression terrible ».
Au meeting de Marine Le Pen, ses partisans assurent que la victoire viendra bientôt, grâce aux « conneries des autres ».