Racheté par Vivendi, le groupe de presse goûte aux joies de l’effet Bolloré : départs massifs, « synergies » commerciales et (auto)censure.
Racheté par Vivendi, le groupe de presse goûte aux joies de l’effet Bolloré : départs massifs, « synergies » commerciales et (auto)censure.
Vincent Bolloré l’avait promis : ce jeudi 17 février, pour les 200 ans de son groupe, il devait prendre sa retraite. La bonne blague.
Il a menti comme un arracheur de dents à la commission d’enquête sur la concentration des médias. « Les Jours » débunkent ses mythos.
Zemmour, brutalité, interventionnisme : face à la commission sur la concentration des médias, Vincent Bolloré s'est fait tout petit.
« Les Jours » se sont procuré les images de la fin de la grève à i-Télé, le 16 novembre 2016. Sur ses cendres, Bolloré a édifié CNews.
La décision du CSA de décompter Éric Zemmour parmi les politiques contraint CNews à équilibrer son temps de parole. Ou à le virer.
Des offices catholiques du 15 août en direct sur CNews et C8, un film de propagande anti-avortement : le groupe part en croisade.
Accusée d’être une source des « Jours », une élue du personnel est licenciée. De même que, selon nos infos, quatre autres journalistes.
Des journalistes menacés de licenciement s’ils ne se désolidarisent pas d’un humoriste ? Ce n’est pas un coup de sang, c’est un système.
De sources concordantes, l’homme d’affaires est sur le point de racheter la station du groupe Lagardère pour la rapprocher de CNews.
Soutenu par une manif de journalistes de Canal+ cachés et muets de peur des représailles, le commentateur conteste son licenciement.
Le commentateur vedette est licencié pour « déloyauté » après un message de soutien à Sébastien Thoen, éjecté pour avoir parodié CNews.
Sébastien Thoen et maintenant le commentateur vedette du foot : Canal+ exerce menaces et chantage sur ceux qui les soutiennent.
Jugé pour contestation de crime contre l’humanité, Éric Zemmour n’est pas inquiété par Canal+ qui ne fait rien pour contenir ses saillies.
« Face à l’info ne peut pas continuer à être diffusée sous sa forme actuelle » sur CNews, estime le comité d’éthique de Canal+.
Pressée de virer 20 % des effectifs, la direction a fini par accepter de relever le montant des indemnités de départ.
Le 4 novembre 1984 naissait la chaîne cryptée. 35 ans, un Bolloré et un plan social plus tard, les salariés disent leur désamour.
La chaîne info a inauguré ce lundi son émission autour du polémiste. Au menu : des cris, des faire-valoir et un écrin pour ses idées.
Info « Les Jours ». Dès ce lundi, la chaîne ouvre son antenne au polémiste pour une émission quotidienne présentée par Christine Kelly.
Tollé après les sorties du polémiste à la Convention de la droite. Mais à CNews où il doit débarquer, la contestation reste sourde.
L’éditorialiste va bel et bien débarquer sur la chaîne. Selon les infos des « Jours », ce sera quotidiennement, de 19 à 20 heures : 😱
Face au plan social à Canal+, l’heure était à l’inquiétude ce jeudi. Et au dézingage en règle de la stratégie de la direction.
Un animateur en roue libre, des pigistes maltraités, des tentatives de censure, toujours pas d’argent… Vous êtes bien sur CNews.
Nouvelle conséquence des impitoyables économies menées dans le groupe : dès ce lundi, tous les coiffeurs sont virés.
En sous-effectif, la chaîne a diffusé par erreur des images de 2018. Et viré la pigiste mise en cause, avant de faire volte-face.
À la suite d’une intervention de l’animateur, « Le Parisien » a escamoté un article annonçant son déménagement à C8. Et pourtant…
« Les Jours » se sont procuré un rapport confidentiel qui fait l’autopsie du groupe, saigné par l’homme d’affaires depuis 2015.
Info « Les Jours ». Bolloré les faisait agoniser depuis trois ans. Cette fois, c’est fini : Canal+ supprime « Les Guignols ».
160 des 228 salariés du Centre de relations clients ont décidé de prendre le plan social. Une hécatombe signée Bolloré.
Info « Les Jours ». Une charte d’éthique est mise au vote ce jeudi à CNews mais le texte autorise toutes les dérives.
Il y a un an, Bolloré poussait dehors une centaine de salariés. Ils racontent l’après, les doutes, les questions, les projets.
Invités par Vivendi à une exposition sur le créateur d’Astérix, « Les Jours » sont partis en quête de Vincent Bolloré.
Le 17 octobre 2016, le mouvement débutait, clos un mois après par des engagements de la direction. « Les Jours » font les comptes.
L’homme d’affaires est content : il a créé sa télévision idéale, avec de vieux bouts d’animateurs et des restes de Direct 8.
Replay. Le cirque Canal a fait sa rentrée ce lundi. Une journée cruciale pour « L’Empire » à revivre sur « Les Jours ».
Le CSA inflige à C8 une amende de trois millions d’euros pour le sketch homophobe de « Touche pas à mon poste ».
Info « Les Jours ». Le groupe vient de relancer le processus de rapprochement entre CNews et le gratuit « CNews Matin ».
Dans la famille Bolloré, nous demandons le fils, Yannick, qui doit prendre la succession de son père à la tête de « L’empire ».
Grille de rentrée à l’économie, droits d’auteur plus payés depuis six mois : l’homme d’affaires organise la pénurie.
Le présentateur, l’une des dernières figures de CNews, s’en va tandis que Jean-Marc Morandini ferait son retour à la rentrée.
Selon nos informations, la direction de la chaîne a cédé aux pressions du Front national en écartant la journaliste de l’antenne.
Info « Les Jours ». Le Medef reproche à Vincent Bolloré sa mainmise sur Vivendi. Mais il a encore renforcé son emprise ce mardi.
Prof, chômeuse, chanteur… Pendant la campagne, les personnages des séries des « Jours » deviennent « Les électeurs ».
Info « Les Jours ». Un rapport alerte sur la gravité des risques psychosociaux depuis l’arrivée de l’homme d’affaires.
Un mois après le lancement, les syndicats alertent la ministre du Travail : quelque 70 salariés n’ont toujours pas été remplacés.
Venue de nulle part, la numéro 2 d’i-Télé, qui se mue ce lundi en CNews, assouvit enfin son rêve : avoir son émission.
Le groupe enterre l’émission dans la plus stricte intimité et déterre PPDA et Elkabbach pour la nouvelle version d’i-Télé.
Prof, chômeuse, chanteur… Les personnages des « Jours » deviennent « Les électeurs ». Aujourd’hui, l’ex-journaliste d’i‑Télé.
Info « Les Jours ». Le nombre de nouveaux clients a chuté de 21 % en 2016. Mais pas un mot au séminaire de Bolloré à l’Olympia.
Une cinquantaine d’ex-salariés de la chaîne info créent « Explicite », un média sur les réseaux sociaux.
Info « Les Jours ». La chaîne veut recruter l’ex-star du 20 heures mais continue de vivoter sans remplacer les 98 départs.
Près de 95 départs et une rédaction réduite à moins de 30 journalistes : il n’y aura pas d’antenne ce week-end mais des redifs.
Antoine Genton, porte-parole de la rédaction, quitte la chaîne. « Les Jours » se sont mis dans la peau de Bolloré pour l’interviewer.
Après un mois de grève, la chaîne info a repris l’antenne dans la douleur. Les deux tiers des journalistes ont décidé de partir.
« Les Jours » ont raconté la soirée du deuxième tour de la primaire de droite remportée par François Fillon. Replay.
Au 31e jour, face à un Bolloré inflexible, la rédaction a mis fin au mouvement, « la tête haute » et sous une pluie de départs.
« Les Jours » publient le « texte de combat » des salariés d’i-Télé qui met fin à 31 jours de grève.
En direct. Au 30e jour, un « protocole de sortie de crise » est proposé mais sans avancée réelle. Décision ce mercredi.
Soutenant les salariés, la ministre de la Culture exige du directeur qu’il mette fin à ses deux fonctions, incompatibles.
Parent pauvre de Canal+, la chaîne fête son anniversaire avec un 19e jour de grève. Et la direction ne propose toujours rien. Reportage.
La deuxième joute de la droite s’est déroulée sur BFMTV ainsi que sur i-Télé, qui aborde son 19e jour de grève.
Pour ne pas donner la parole aux salariés, le directeur supprime les émissions prévues autour du débat de la primaire de droite.
Portrait. Le président de la SDJ d’i-Télé est en première ligne contre la direction du groupe de Vincent Bolloré.
Info « Les Jours ». Tandis que la direction joue le pourrissement, le banquier se porte candidat.
Alors que le dialogue s’amorçait, la direction a rejeté toutes les demandes de la rédaction. Récit dans les coulisses d’une grève.
Face à la rédaction d’i-Télé, la direction ne présente pas de projet et durcit le ton. Résultat : la grève se poursuit.
Replay. Grève, Morandini… « Les Jours » racontent une nouvelle folle journée de « L’empire ».
I-Télé est prête à payer les journalistes opposés à Morandini pour qu’ils s’en aillent plutôt que de renoncer à le faire venir.
Malgré la fronde de la rédaction d’i-Télé, Canal+ accélère la venue de l’animateur en même temps qu’elle baisse son tarif.
Contre la rédaction d’i-Télé, Bolloré impose l’animateur. Et veut, selon nos infos, rapprocher la chaîne de « Direct Matin ».
Au bout de trois jours de grève, la chaîne a repris le travail, mais les problèmes – arrivée de Morandini, suppressions de postes – demeurent.
Fin du « Zapping » et de l’investigation : la conférence de presse de Canal+, sur fond de grève à i-Télé, a été épique.
Plus de 50 postes supprimés, grille au rabais, arrivée de Morandini… Les décisions de Bolloré ulcèrent la rédaction.
Replay. Autorité de la concurrence, élections internes… Jeudi, « Les Jours » ont raconté en live la journée cruciale de Canal+.
Ce jeudi, Maïtena Biraben et Ali Baddou ont sauté ; la défiance a été mise au vote à i-Télé. Signé Bolloré.
Coupes claires, décisions absurdes : c’est la stratégie que le patron de Canal+ doit défendre ce jeudi devant les actionnaires.