« Les Jours » dévoilent les dessous du grand numéro de prosélytisme en couverture de « Match » et comment « Le JDD » réécrit le wokisme.
« Les Jours » dévoilent les dessous du grand numéro de prosélytisme en couverture de « Match » et comment « Le JDD » réécrit le wokisme.
Info « Les Jours ». Plus de 60 journalistes ont déjà annoncé leur départ. Lejeune tente de sortir un journal en recrutant à « Valeurs actuelles ».
Refusant, selon nos infos, une charte éthique bannissant le racisme, Lagardère rompt les négociations. Geoffroy Lejeune sera là dès le 1er août.
Une proposition législative transpartisane veut donner aux rédactions le droit d’agréer leur directeur. Trop tard pour Geoffroy Lejeune…
La rédaction refuse toujours de servir un projet politique en étant dirigée par Geoffroy Lejeune. Gouvernement et droite, eux, composent.
L’ancien ingénieur a écopé de la peine maximale ce mercredi. Mais son mutisme durant l’audience laisse beaucoup trop de questions sans réponse.
Ancien flirt, avocats décevants, procureur insensible… Ils étaient couchés dans les notes de Gabriel Fortin. Ils ont sans doute échappé au pire.
Désormais détenu par Vincent Bolloré, le journal sera dirigé par l’ancien de « Valeurs actuelles ». La rédaction a illico voté la grève.
Gabriel Fortin comparaît pour assassinats, impliquant une préméditation. Or, ses voyages ressemblent justement à une surveillance de ses cibles…
Le tribunal va tenter de comprendre ce qui aurait poussé cet ingénieur à tuer trois DRH en janvier 2021. Son procès s’ouvre ce mardi à Valence.
Fin janvier 2021, trois femmes sont tuées par balle. Leurs points communs : leur domaine d’activité et leur lien avec un certain Gabriel Fortin.
Éjecté en 2020, l’humoriste est en passe de revenir sur Canal+. Pas les trente journalistes qui ont été virés pour l’avoir soutenu…
Une élue de la Société des journalistes qui défend l’indépendance du journal est en passe d’être virée. Du pur Bolloré.
La Commission européenne enquête chez « Paris Match », soupçonnant Vivendi de faire déjà sa loi chez Lagardère avant l’autorisation de l’OPA.
Depuis la rentrée, les bugs et les écrans noirs se multiplient. Le résultat des économies décrétées par Vincent Bolloré. Enquête.
Vincent Bolloré l’avait promis : ce jeudi 17 février, pour les 200 ans de son groupe, il devait prendre sa retraite. La bonne blague.
Décalquée de CNews, la radio voit s’enfuir toujours plus d’auditeurs tandis qu’un habitué de la chaîne est nommé à la tête du journal.
Une centaine de salariées seront licenciées fin décembre. Les indemnités et le ras-le bol leur ont fait renoncer à un reclassement.
Ça y est, c’est fait. 41 boutiques du parfumeur sont passées sous enseigne April. Pour les salariées, la transition est douce-amère.
Le décrié directeur de « Paris Match » et du « JDD » est viré. Après Europe 1 dévorée par CNews, Bolloré s’attaque à la presse Lagardère.
Info « Les Jours ». 98, c’est le chiffre des départs au sein de la radio à l’issue de l’ultime plan. Restent Bolloré et une antenne CNewsisée.
À force de harcèlement et de burn-out, certaines vendeuses Nocibé sont devenues syndicalistes. Et ont dû affronter le plan social.
Rachetant les parts d’Amber, Vivendi engloutit le groupe Lagardère donnant naissance à un ogre des médias. Qui est surpris ? Arnaud.
Trois semaines seulement après son installation, la nouvelle matinale du week-end est remplacée par celle… de la chaîne info.
Grille vampirisée par CNews, départs en masse, anciens salariés piétinés : la radio a fait sa triste rentrée sous l’emprise de Bolloré.
Tandis que débute la grille made in Bolloré, les nouveaux venus de CNews se félicitent sur WhatsApp et la radio se vide.
Info « Les Jours ». La station est en train de voir partir une centaine de salariés, virés ou démissionnés. À la rentrée, place à Bolloré !
Travailler en parfumerie était leur fantasme. Mais le travail éreintant, les objectifs commerciaux et un plan social sont passés par là…
Le matinalier de CNews, celui du week-end, Mouloud Achour, Laurie Cholewa… Ils débarquent tous à la radio, Bollo est dans la bergerie.
Malgré le plan social massif qui touche l’enseigne de parfumerie, les grévistes sont rares. Mais elles ont la rage pour plusieurs.
Deux salles, deux ambiances : l’AG qui a vu l’entrée de Vivendi et la manifestation à Europe 1 contre l’« emprise » de CNews. Récit croisé.
Dans la radio aux mains de Bolloré, le mouvement s'achève, entre fierté et amertume, sur la promesse d'une « simili clause de conscience ».
Arrivée de Laurence Ferrari, antenne partagée avec CNews… Les annonces de Lagardère, télécommandées depuis Canal+, ulcèrent la rédaction.
Info « Les Jours ». Le rapport de l’inspection du travail sur le service des sports est sanglant : terreur, violence, droit social piétiné…
62 boutiques fermées, 350 employées sur le carreau… Le propriétaire de l’enseigne, largement bénéficiaire, met le feu aux poudres.
Info « Les Jours ». La « rupture conventionnelle » est ouverte, visant 39 postes. Mais déjà plusieurs voix sont écartées de la station.
Info « Les Jours ». Face à l’équipe, la direction a souhaité « des ponts » avec CNews. Et invite ceux qui ne sont pas d’accord à partir.
Trente-huit postes supprimés, le PDG d’Hachette Livre évincé : tout lien avec les ambitions d’un certain Bolloré n’est que pure coïncidence…
De sources concordantes, l’homme d’affaires est sur le point de racheter la station du groupe Lagardère pour la rapprocher de CNews.
Largué dans la course au vaccin contre le Covid, le labo externalise à tour de bras et devrait encore supprimer des postes en France.
Sébastien Thoen et maintenant le commentateur vedette du foot : Canal+ exerce menaces et chantage sur ceux qui les soutiennent.
Info « Les Jours ». Contre l’avis du gouvernement, Vivendi va verser des dividendes alors que Canal+ recourt au chômage partiel.
« Les Jours » se sont procuré un rapport interne et confidentiel qui atomise le plan de départs volontaires élaboré par la direction.
Pressée de virer 20 % des effectifs, la direction a fini par accepter de relever le montant des indemnités de départ.
Le 4 novembre 1984 naissait la chaîne cryptée. 35 ans, un Bolloré et un plan social plus tard, les salariés disent leur désamour.
Nouvelle AG à Canal+ après l’interruption des négociations avec la direction. En cause : des indemnités de départ insuffisantes.
Il a ressuscité « Les Guignols » ce vendredi pour un best of Chirac. Après les avoir tués car trop politiques. Folie.
Le groupe va distribuer les programmes de la plateforme… qu’il accusait d’être la cause du plan social lancé en juillet. Gné ?
Vendre de nouvelles têtes à 20 heures dans « Clique », quelle bonne idée. Mais moins que refourguer sans vergogne la galaxie Bolloré.
Info « Les Jours ». En plein plan social, il refourgue son vin sur l’intranet de Canal+ : 20 % de salariés en moins, 20 % de réduc !
Face au plan social à Canal+, l’heure était à l’inquiétude ce jeudi. Et au dézingage en règle de la stratégie de la direction.
Info « Les Jours ». Un kit pour les chefs, une interview des patrons par un journaliste maison… La direction vend son plan social.
Info « Les Jours ». Ce mardi, la direction a détaillé le plan de départs qui va amputer le groupe de 20 % de ses effectifs en France.
Info « Les Jours ». Entre 500 et 800 salariés, sur 2 800 en France, sont visés par un plan de départs volontaires.
Ils ont résisté au plan de départs, ont été transférés dans une filiale, Intelcia, et ont vite déchanté, rincés.
Info « Les Jours ». L’opérateur s’est trompé dans le calcul des indemnités d’anciens employés… et exige un remboursement express.
Info « Les Jours ». Des employés risquent le licenciement pour avoir aidé des clients à résilier leur abonnement.
Après SFR. Pour Cédric, le rachat par Patrick Drahi a été une épreuve. Et le plan de départs volontaires, une « libération ».
Après SFR. Ex-manager parti avec le plan de départs volontaires, Marc accuse le contrecoup social de la vie sans feuille de paie.
Replay. Revivez l’émission live des « Jours » sur le plan social à SFR.
Plans de départs volontaires, ruptures conventionnelles collectives… Aujourd’hui, on « choisit » de quitter son CDI. Comme chez SFR.
Les prud’hommes de Marseille ont reçu d’ex-salariés du plan social de 2017. Le marathon judiciaire ne fait que commencer.
Cette semaine, 300 ex-salariés saisissent les prud’hommes. Candidats au départ, ils affirment qu’ils ont aussi été poussés dehors.
Deux vendeurs SFR ont été licenciés après avoir croisé la route de la sœur d’Armando Pereira, le numéro 2 du groupe.
Avec le plan de départs, l’entreprise s’est vidée. Les 10 000 salariés restants tentent de se relever, non sans difficultés.
En moins d’un an et deux plans de départs volontaires, SFR a liquidé son service clients. Récit d’un démantèlement.
Après le démantèlement du service clients de SFR, après la suppression de son poste, Laure a compris qu’elle devait partir.
Info « Les Jours ». Un rapport d’audit confidentiel contrarie la com optimiste de la direction… et la justification du plan social.
À Nantes, en région parisienne… Des dizaines d’anciens salariés se réunissent pour attaquer l’opérateur en justice.
Info « Les Jours ». Les rescapés du plan social reçoivent des vidéos présentées… par une journaliste de la chaîne de Patrick Drahi.
SFR mais aussi Carrefour, Pimkie, Peugeot… Les plans de départs volontaires se multiplient. Volontaires, vraiment ?
Info « Les Jours ». Ils ont décidé d’attaquer la direction pour violation de l’accord qui a permis le départ de 5 000 salariés.
En plus de l’énorme plan social, les syndicats dénoncent une multiplication des licenciements individuels dans les magasins.
Avec 5 000 « départs volontaires » en quelques mois, le groupe SFR se retrouve débordé par son propre plan social.
Des ex-salariés expliquent comment la dégradation des conditions de travail et la « honte » ressentie les ont poussés à partir.
« Les Jours » se sont procuré un rapport alarmant sur la situation à SFR, qui accable la stratégie de Patrick Drahi.
En rachetant SFR en 2014, Patrick Drahi promet de ne pas toucher aux effectifs pendant trois ans. 5 000 départs plus tard…