Ils ont fui la guerre en Syrie pour tout perdre dans le séisme du 6 février : reportage dans un camp de rescapés à Antakya.
Ils ont fui la guerre en Syrie pour tout perdre dans le séisme du 6 février : reportage dans un camp de rescapés à Antakya.
Un an de guerre, un tremblement de terre, un métal extraordinaire : voici l’épisode 41 des « Dessous des “Jours” ».
En Turquie, la population syrienne qui a fui la guerre dans son pays doit désormais survivre dans les décombres du séisme.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent des disques en miroir. Aujourd’hui, comptines folkloriques et psychédéliques.
Dans notre podcast « Les Jours, le making of », Olivier Bertrand revient sur ses reportages en Turquie, dont il a été expulsé.
Ils comparaissent à partir de ce mardi pour avoir réclamé la paix au Kurdistan turc. Les purges du président continuent.
« Les Jours » publient le récit exclusif du journaliste français, expulsé dimanche de Turquie après 52 jours de détention.
Arrêté en Turquie le 26 juillet, le Français a été libéré. Ses amis et sa famille racontent sa fibre pour le grand reportage.
« Cela commence à être dur pour lui », s’inquiète le père du journaliste français, incarcéré pour « terrorisme » en Turquie.
Le journaliste, placé dans un centre de rétention depuis le 8 mai dernier, devait être expulsé ce vendredi.
Le journaliste français, en grève de la faim, est détenu arbitrairement depuis 18 jours par le régime d’Erdogan.
L’opposition accuse le président turc d’avoir truqué le scrutin qui lui a donné, à une faible majorité, les pleins pouvoirs.
Le référendum du président ne l’emporte qu’à une courte majorité, laissant un espoir à l’opposition démocratique en Turquie.
Ce dimanche, les Turcs ont répondu « oui » au référendum mais à une très courte majorité. Une gifle pour Erdogan.
Cinq mois après sa première arrestation en Turquie, notre journaliste a de nouveau été expulsé ce vendredi. Récit.
Reportage exclusif du photographe Antonin Weber dans la rédaction de « Cumhuriyet », victime des purges d’Erdogan.
Chrono. Dimanche, les Turcs voteront, ou pas, les pleins pouvoirs au Président. Comment en est-on arrivé là ?
Il y a un an, l’Europe transformait la Turquie en garde-frontière. Une entente sur le dos des réfugiés que l’UE n’assume pas.
Citoyens, intellectuels, opposants politiques… Comment expliquer leur silence relatif face à l’ampleur de la répression.
Comptes bloqués, biens saisis, défiance des proches… En Turquie, on passe en quelques jours de la purge à la mort sociale.
Lettres de dénonciation, listes de suspects : en Turquie, des citoyens victimes de la purge sont arbitrairement arrêtés.
Info « Les Jours ». La plainte d’un homme affirmant avoir été battu en garde à vue a été classée sans suite début janvier. Légalement.
Par peur de mourir, Kevin a déserté l’État islamique avec femmes et enfants. Transféré en France vendredi, il a été écroué.
Les amendements à la Constitution votés au Parlement, bientôt soumis à référendum, conféreront les pleins pouvoirs à Erdogan.
Le retour de la torture en Turquie (2/2). Le pouvoir a sciemment fait sauter tous les garde-fous qui protégeaient les détenus.
Retour de la torture en Turquie (1/2). « Les Jours » racontent le calvaire d’Erol, enseignant arrêté après le putsch raté.
Opposants réels ou supposés, gülénistes, syndicalistes, journalistes… Depuis cet été, ils sont tous la cible du pouvoir turc.
Découvrez « La bascule », la série d’Olivier Bertrand dans la Turquie d’Erdogan. Premier épisode en clair.
Retenu depuis trois jours par la police alors qu’il était en reportage à Gaziantep, notre journaliste est de retour en France.
Safya, 23 ans, est rentrée de Syrie pour accoucher en France. Mais elle regrette sa vie au sein de l’EI et rêve de repartir.
À son arrivée en Syrie fin 2013, Zoubeir découvre une ambiance de colo, vantée sur internet à coup de selfies.
Entre le premier contact de Zoubeir avec un jihadiste sur internet et son départ en Syrie, sept mois ont suffi.
Universitaires et réalisateurs se sont retrouvés la semaine dernière au festival de Douarnenez, consacré au cinéma turc.
L’universitaire Maya Arakon est, comme beaucoup de Turcs, victime de la purge qui suit le putsch raté. Elle a choisi de s’exiler.
Fethullah Gülen (4/4). Dès 2011, Erdogan n’a plus besoin de Gülen et ses disciples. Justice, médias : la purge commence en Turquie.
Fethullah Gülen (3/4). Les disciples du prédicateur, aujourd’hui victimes de la purge, ont un temps servi les ambitions du Président turc.
Fethullah Gülen (2/4). Médias, école, industrie : à partir des années 90, les disciples du prédicateur investissent tous les pans de la société turque.
Fethullah Gülen (1/4). Découvrez la saga sur le prédicateur turc exilé, qu’Erdogan accuse d’avoir fomenté le putsch raté.
Partisans d’Erdogan (2/2). Le soutien au Président est nourri par l’essor économique et un fort sentiment nationaliste.
Partisans d’Erdogan (1/2). Depuis la tentative de putsch, ils sont tous les soirs dans la rue pour soutenir le Président turc.
L’éditorialiste libérale de 72 ans, un temps proche du Président turc, fait partie des 42 journalistes ciblés par la purge.
Après le putsch, le président Erdogan a entamé le « grand ménage », avec le soutien inconditionnel de « son » peuple.
Erdogan sur Facetime, l’armée dans les rues, le parlement bombardé et finalement le pouvoir qui revient, conforté. Récit.
Réfugiés temporaires (6/6). L’État va installer 27 000 Syriens sur les terres de 3 000 alévis, qui craignent d’être chassés.
Réfugiés temporaires (5/6). Dans cette ville balnéaire turque, les Syriens sont tolérés tant qu’ils se tiennent loin.
L’attaque d’Istanbul met en lumière les carences des forces de sécurité du pays, focalisées sur les opposants à Erdogan.
Réfugiés temporaires (4/6). Les Turcs des villes du Sud-Est accueillent l’afflux massif de Syriens avec méfiance, parfois violence.
Réfugiés temporaires (3/6). Sous-payés, mal-logés, parfois victimes de violences, les Syriens survivent dans une Turquie dépassée.
Réfugiés temporaires. À Gaziantep, où vivent 325 000 Syriens, beaucoup d’enfants travaillent pour un salaire de misère.
Réfugiés temporaires. « Les Jours » entament une série consacrée aux réfugiés syriens en Turquie. Parmi eux, des enfants au travail.
Des universitaires, réprimés par Erdogan et contraints à l’exil, témoignent ce mercredi soir à Paris.
Esra Mungan, universitaire turque, a été incarcérée pour son soutien à la paix au Kurdistan. Elle raconte sa détention.
Bracelet électronique, DGSI… Depuis son retour et avant son procès, Yassin doit assumer les conséquences de son jihad.
Ça y est, la famille de Yassin, jihadiste blessé, échappe enfin à l’État islamique. Mais rien ne se passe comme prévu.
Le 27 mai 2013, des citoyens décidaient de braver Erdogan. Trois ans plus tard, l’abattement a gagné les militants.
La famille de Yassin, blessé en faisant le jihad, a décidé d’aller le chercher en Syrie. Elle arrive dans l’État islamique.
Le marchandage de l’Union européenne avec la Turquie, levée des visas contre retenue des réfugiés, exaspère les Turcs.
Après les bombardements, des familles kurdes ont récupéré leurs proches dans des sacs. Ils auraient été exécutés. (3/3)
Rumeurs d’exécutions, expropriations… Dans les quartiers détruits de Cizre, au Kurdistan, la vie est suspendue. (2/3)
Depuis cet été, 3 000 Kurdes ont été tués par les forces turques. Reportage à Cizre, dans l’angle mort de l’Europe. (1/3)
Les Kurdes célèbrent « Newroz », leur nouvel an. Reportage au Kurdistan turc, sous pression policière et menace d’attentats.
Samedi, une attaque suicide a causé la mort d’au moins quatre personnes dans le centre-ville. En Turquie, le moral plonge.
En convertissant la Turquie au capitalisme, Erdogan s’est assuré le soutien d’une classe moyenne muselée par l’endettement.
Le 8 mars, les femmes turques ont pris les rues d’Istanbul. Un « souffle de liberté » et une folle nuit.
Vendredi, le quotidien « Zaman » a été mis sous tutelle. Journalistes censurés, détenus : en Turquie, Erdogan contrôle les médias.
Le 13 Novembre a été un « déclic » qui a poussé Bilel à quitter l’État islamique avec femme et enfants.
Tiraillé entre libéralisme et laïcité, le féminisme turc est malmené par la poussée conservatrice.
Bilel décrit le quotidien au sein de l’EI, entre têtes coupées, camps d’entraînement et minibus remplis de nouvelles recrues.
En Turquie, l’islam progresse dans l’espace public, instrumentalisé par Erdogan, et les mœurs sont sous surveillance.
« Les Jours » entament une obsession à la frontière brûlante de l’Europe. Première rencontre avec Izzeddin, Buket et Taner.
Bilel, parti faire le jihad en Syrie, raconte pourquoi après Al Qaeda, il a rejoint l’EI avec un autre Français.
En 2014, Bilel se retrouve d’abord intégré dans une unité jihadiste proche d’Al Qaeda.