Et soudain, la quête kafkaïenne de notre journaliste pour disposer de tous les cahiers de doléances adressés à Emmanuel Macron rebondit…
Et soudain, la quête kafkaïenne de notre journaliste pour disposer de tous les cahiers de doléances adressés à Emmanuel Macron rebondit…
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, le bordel dans le monde.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, les privilèges de nos dirigeants.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, le fils méritant.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, les objectifs de la classe dominante.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, la dictature et la guerre civile.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, la plomberie du gymnase.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, l’école est malade.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, la fuite des riches.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, les paysages de nos régions.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, être prof à Paris.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, les fins de mois difficiles.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, la fracture numérique.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, mobilité et points relais.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, les chenapans et les vrais délinquants.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, nourrir le pays pour une misère.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, les femmes victimes de la vie d’avant.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, le ralentisseur.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, pourquoi pas « Paris neige » ?
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, le marché et la bibliothèque.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, l’investissement des riches.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, la réorganisation des poubelles.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, quarante-sept ans de cotisation.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, le système inadapté.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, la chance de vivre en France.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, il est où, le respect ?
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, les pendules à l’heure.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, les encouragements au Président.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, taxez les banques, pas les familles.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, la moule gauloise.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, un scandale et des sanglots.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, Boris Vian et l’ISF.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, la carte de séjour.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, les 80 km/h et les vrais délinquants.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, l’agriculteur et les fainéants.
Deux ans après le grand débat, « Les Jours » publient des extraits des cahiers citoyens adressés à Emmanuel Macron. Une quête kafkaïenne.
L’établissement va disparaître mais le concours et le classement de sortie demeurent. Reste un changement de nom à visée électorale.
Que sont-ils devenus ? La limitation de vitesse, rembarrée dans plusieurs départements, a été sacrifiée par opportunisme politique.
Pour la première fois, Emmanuel Macron s’est prêté à l’interview d’après défilé. Aucun Président n’a été blessé au cours du tournage.
Le président de la République a présenté ce mercredi ses vœux à la presse dans une ambiance de défiance réciproque. Reportage mondain.
Que sont-ils devenus ? « Les Jours » révèlent que les courriers et les cahiers citoyens n’ont jamais été mis en ligne.
Tout le monde a vu la vidéo : le 1er mai dernier à Paris, un policier a frappé un manifestant. Il a été jugé ce jeudi.
Le conflit d’intérêts du haut-commissaire avec les assureurs jette une ombre de plus sur la réforme. Nouvelle mobilisation ce mardi.
Le Président est « calme et déterminé », selon son dircom : origine d’une petite phrase issue d'une nouvelle stratégie envers la presse.
Emmanuel Macron ne tranche pas entre ses conseillers, Matignon et Bercy. Résultat : face à la grève, l’exécutif stresse.
Un an après le début du mouvement, « Les Jours » retrouvent Élodie et Jacky, du rond-point de Voreppe : désillusion et mobilisation.
Nicolas C. était jugé vendredi pour avoir insulté des collègues motards, fin septembre, alors qu’il manifestait sur les Champs-Élysées.
Macron affiche un tournant écologique et social. Il incarne pourtant la doxa néolibérale qui imprègne toute la haute fonction publique.
Que transportait le gilet jaune le 22 décembre à Paris ? Une matraque ? Un gri-gri, pour son avocat, qui dénonce un procès politique.
Replay. « Les Jours » ont suivi la conférence de presse du Président depuis l’Élysée : du flou, du vide et du théâtre.
Président en vrille, com en toupie : l’Élysée tente de masquer les gilets jaunes derrière l’écran de fumée de Notre-Dame.
La suppression de l’ENA, envisagée comme l’une des réponses aux gilets jaunes, est la mesure la plus symbolique. Pas la plus simple.
Frank Escoubès a créé la boîte qui traite les contributions des Français sur les ruines d’un « Wikipédia de l’innovation sociale ».
Info « Les Jours ». Mails, lettres, cahiers citoyens… Faute de temps, seule la moitié des doléances spontanées ont été traitées.
La restitution a eu lieu ce lundi : 720 000 idées ont été collectées… mais toujours pas celles de Macron pour résoudre la crise.
En plein mouvement des gilets jaunes, le Conseil constitutionnel censure l’interdiction administrative de manifester.
La tournée du grand débat a fait halte au palais Bourbon. Dans l’hémicycle, trois pelés, un tondu… et « Les Jours ».
Sibeth Ndiaye et Cédric O, deux fidèles du Président, quittent la coulisse pour rejoindre le gouvernement. En pleine lumière.
Les conférences citoyennes devaient être l’apogée de la consultation. Brouillonnes et expédiées, elles risquent de faire pschitt.
Huit heures 100 % pur jus de cerveau : « Les Jours » étaient au « grand débat d’idées » organisé lundi soir à l’Élysée. Et ont survécu.
Après le saccage des Champs-Élysées ce samedi, Édouard Philippe dégaine à la va-vite une nouvelle série de mesures sécuritaires.
Les vies de Cyril Lage (2/2). Il voulait aider le citoyen à coécrire la loi. Aujourd’hui, il fournit le site, biaisé, du grand débat.
Les vies de Cyril Lage (1/2). Celui qui se dit « militant de la démocratie ouverte » préfère taire son passé de lobbyiste.
Dangereuse, mal ficelée, peut-être anticonstitutionnelle… La loi anticasseurs a été votée définitivement par les sénateurs.
Les allers-retours entre État et entreprises, la Macronie en raffole. Un mélange des genres qui nourrit la défiance envers les élites.
Le gouvernement a promis que tout serait lu, mais à vingt jours de la clôture des contributions, la tâche s’avère ardue.
Après dix-huit mois de pouvoir, les fidèles du Président quittent l’Élysée un à un. Dernier en date : Ismaël Emelien.
Malgré l’abstention de cinquante députés En marche – un record –, le texte a été adopté par l’Assemblée en première lecture mardi.
Embarqués dans la caravane des journalistes, « Les Jours » ont assisté au grand (et long) débat du Président en Essonne.
Benalla, gilets jaunes, montée du populisme… Les conseillers concentrent toutes les critiques et cherchent à sortir du marasme.
L’adoption des premiers articles à l’Assemblée ouvre la porte à une grande méchante limitation de la liberté de manifester.
Afin de se rabibocher avec les journalistes, le Président a profité de son voyage en Égypte pour leur chuchoter des confidences.
L’interdiction administrative de manifester fait un come-back fracassant dans la proposition de loi examinée à l’Assemblée.
Jacky et ses compagnons de Voreppe ont joué le jeu du grand débat avec une députée macroniste. Qui a écouté, pas forcément entendu.
Bons chiffres à l’appui, le Premier ministre défend la limitation de vitesse que Macron pourrait sacrifier aux gilets jaunes.
Replay. La secrétaire d’État a coanimé vendredi un « Balance ton post ! » spécial grand débat national. « Les Jours » étaient là.
Il aurait dû recueillir la parole des Français dans un bel élan de participation citoyenne. Las, il oriente vers les choix macroniens.
Pour l’« acte X », le pilier du rond-point de Voreppe tractera à Grenoble sa propre missive. Le grand débat ? Il ira, sans illusions.
La ministre peut-elle animer le débat au vu de son revenu chez Danone, repéré par « Les Jours » ? Chantal Jouanno, elle, y a renoncé.
Cible des gilets jaunes, la chaîne est en proie à une crise interne qui voit les journalistes remettre en cause ses pratiques.
« Fichier des casseurs », répression des manifs non déclarées… Édouard Philippe sonne l’heure du tournant sécuritaire.
Les mesures destinées à contenter les gilets jaunes ont été adoptées… mais ne sont pas à la hauteur des annonces d’Emmanuel Macron.
À l’origine défendu par quelques militants, le référendum d’initiative citoyenne est devenu l’étendard des gilets jaunes.
Il ne sourit plus à pleines dents, il écrit aux gilets jaunes… La nouvelle stratégie de com présidentielle est un peu voyante.
Pour le sociologue Patrick Cingolani, le mouvement des gilets jaunes remet en cause la verticalité du pouvoir et le néolibéralisme.
Samedi, les gilets jaunes du rond-point de Voreppe sont allés mener une action lors de l’inauguration d’une patinoire voisine.
Alors qu’a eu lieu l’« acte V » ce samedi, Élodie, gilet jaune à Voreppe, raconte le découvert chronique, la débrouille et le courroux.
Utilisé à tour de bras contre les gilets jaunes, le délit de « groupement violent » permet surtout de neutraliser les manifestants.
« Les Jours » ont passé les annonces présidentielles au peigne fin. Bilan : du flou, du flan et de l’enfumage.
Ces événements se déroulent en temps réel : Macron promet 100 euros, les gilets jaunes fulminent, les interpellés sont condamnés.
Il se targue d’avoir prophétisé la colère mais oublie qu’à Lyon, les gilets jaunes sont aussi victimes de sa politique.
Samedi, l’« acte IV » des gilets jaunes s’est déroulé façon puzzle mais avec une même colère, dirigée contre Emmanuel Macron.
Un mouvement déterminé, un gouvernement tétanisé, des violences redoutées… « L’acte IV » des gilets jaunes se joue ce samedi.
Quasi-résurrection de l’ISF, violences dans les beaux quartiers de Paris… Avec les gilets jaunes, les riches ont failli trembler.
L’Iséroise Émilie Chalas était de la vague des députés LREM en 2017. Elle a annulé une réunion publique pour des raisons de sécurité.
« Les Jours » s’installent sur le rond-point de Voreppe, près de Grenoble, où les gilets jaunes partagent la soupe et la colère.
Macron coupe court au retour de l’impôt, revendication phare du mouvement. Son abrogation n’a pourtant pas montré son utilité.
Le report de la taxe carbone n’apaise pas la colère des gilets jaunes. « Les Jours » racontent l’éruption anti-Macron.