Un résidu de pesticide pollue les nappes du département, contaminant l’eau du robinet comme celle des supermarchés. Un avant-goût de notre futur.
Un résidu de pesticide pollue les nappes du département, contaminant l’eau du robinet comme celle des supermarchés. Un avant-goût de notre futur.
900 tonnes de batteries au lithium qui brûlent, des autorités qui minimisent, des habitants inquiets : une pollution locale tragiquement banale.
Destinée à apaiser les agriculteurs, la suspension du plan Écophyto va aggraver les problèmes de contamination, déjà fréquents, de l’eau potable.
Alors que les déchets textiles s’amoncellent, le recyclage des pulls donne du fil à retordre aux fabricants. Le gain écologique est pourtant énorme.
Les Parisiens se prononcent ce dimanche sur l’avenir de cette aberration écologique… vouée à disparaître, selon le chercheur Jean-Louis Loubet.
Quel est le bon prix d’un bon pull, qui tient chaud et dans le temps ? Du mouton à l’étiquette, « Les Jours » détricotent le chandail.
Rétro. Seize journalistes reviennent sur une de leurs séries publiées cette année sur « Les Jours ».
De la mode à l’écologie, en acrylique ou en laine, le chandail raconte notre époque. « Les Jours » détricotent le pull.
Le village de 54 âmes s’est transformé subitement en une ville-champignon électrisée par les milliers de prospecteurs accourus de toute l’Afrique.
Dans la course au lithium, brandir le « made in France » à la sauce Macron est vain. L’enjeu exige de penser alliances et, surtout, sobriété.
À Tréguennec, un article sur un gigantesque gisement et une visite ministérielle ont mobilisé les citoyens contre tout projet de mine.
Alors que le projet d’Imerys ne dit rien de la pollution de l’eau et bien peu sur les déchets, l’ouverture de la mine semble déjà actée.
La compagnie a fait du GNL son étendard vert. Souci : c’est une énergie fossile ordinaire, issue du gaz de schiste américain… ou venue de Russie.
Après l’incendie dans un entrepôt près de Rouen, la préfecture minimise encore les risques. Les leçons de Lubrizol n’ont pas été retenues.
Les particules fines et autres saletés émises par ce commerce pourrissent la santé de ses riverains, abandonnés par les pouvoirs publics.
Comme l’avocate américaine, une association locale se bat contre le chrome VI, une substance nocive utilisée par un sous-traitant d’Airbus.
De Mururoa à la Guadeloupe, la France a pollué ses anciennes colonies. Ce qui n’est pas sans conséquences, sanitaires comme sociales.
Les cancers pédiatriques sont sans doute dus à de mystérieux mélanges de polluants. Mais les parents sont seuls pour résoudre l’énigme.
Du polyuréthane sous le toit, du formaldéhyde dans les meubles… Nos logis sont des Lego. « Les Jours » vous aident à y mettre le feu.
Grillé plusieurs fois en train de polluer la Seine, le cimentier n’a jamais été condamné. À Paris, la vie est un long fleuve tranquille.
Lessive, shampoing, dentifrice… Nos salles de bains regorgent de plastoc. Pas de panique, on vous le désincruste en profondeur.
Polyester, nylon, élasthanne… Avoir une garde-robe déplastifiée n’est pas chose aisée : notre guide pour se saper sans trop polluer.
De la couche à la cantine, l’environnement des enfants est pollué. Mode d’emploi pour éviter de les empoisonner.
La PME spécialisée dans le recyclage est régulièrement épinglée par riverains et associations pour entorses à la réglementation.
Emballages, contenants, ustensiles, placards… La grande déplastification estivale continue en cuisine. La traque sera sans merci.
« Les Jours » vous aident à déplastifier votre vie. Première étape : exit la bouteille d’eau, vive le robinet. À la flotte !
Info « Les Jours ». L’usine d’engrais de Saint-Nazaire outrepasse depuis 1993 ses autorisations de pollution. La préfecture le sait.
En Bretagne, après les rivières contaminées par les déjections porcines, voici la méthanisation et l’ère de la pollution agro-industrielle.
Retour à Rouen (2/2). Zéro transparence, absence de suivi sanitaire… « Les Jours » racontent les suites de l’incendie du 26 septembre 2019.
Retour à Rouen (1/2). Une catastrophe minimisée, des habitants abandonnés… « Les Jours » racontent le 26 septembre 2019 heure par heure.
Gabriel Ullmann mène des enquêtes publiques qui, sur le plan environnemental, déplaisent parfois aux autorités. Au point d’être évincé.
Dans les zones industrielles, les riverains se heurtent à la fois au laxisme des autorités et aux substances qui les empoisonnent.
Lors du week-end de l’Ascension, des incendies se sont déclarés sur deux sites Seveso. Aucun danger, insistent les autorités. Vraiment ?
Comme dans la zone portuaire de Saint-Nazaire, nombre de riverains d’usines ont dû tout apprendre des polluants qui les encerclent.
Ici cohabitent du nitrate d’ammonium, une raffinerie, une usine de déchets… Les riverains de la zone industrielle de Saint-Nazaire morflent.
Les militants écologistes viennent de gagner une bataille contre la zone industrialo-portuaire, défendue par le préfet et les élus locaux.
Qu’ont en commun ceux qui contaminent l’air et les sols ? La justice ne les inquiète pas. « Les Jours » crèvent l’écran de fumée.
Pour secouer les députés qui s’apprêtent à débattre de la loi climat, le WWF tacle le poids du polluant mastodonte dans la pub.
L’Assemblée a tué dans l’œuf le malus pour les voitures lourdes porté par la Convention citoyenne pour le climat. Marche arrière toute !
Lucien Mathieu, de l’ONG T&E, salue la baisse des émissions de CO2 des véhicules européens. Mais ce n’est pas grâce aux SUV.
Info « Les Jours ». La frilosité de Paris sur ce traité international met en péril la position européenne. Incompréhensible pour les ONG.
Malgré vingt ans de combat, ce satané sac est loin d’être éradiqué : plastiqueurs et États trichent. Et le Covid-19 n’arrange rien.
Contrairement à ce que vend l’industrie, les plastiques sont durs à recycler. La plupart finissent brûlés, en décharge ou dans la nature.
En quarante ans, la filière n’a jamais décollé. Normal, c’est une diversion de l’industrie pour déculpabiliser les consommateurs.
Bisphénols, PFAS, phtalates… L’industrie est à la manœuvre pour sauver ces substances toxiques, indissociables de sa matière chérie.
Malgré les preuves scientifiques, l’industrie continue tranquillement de nier la dangerosité de sa matière.
Le plastique est en passe de devenir le débouché principal de l’hyper-polluante industrie pétrolière. Et tant pis pour la planète.
Niant son impact sur la santé et l’environnement, les lobbies du secteur défendent bec et ongles leur matière chérie.
Écologie ou pandémie, peu importe, l’industrie grossit, grossit, grossit… « Les Jours » fondent sur les géants du secteur. Boom !
8 milliards et la voiture toute-puissante… Pour le chercheur Aurélien Bigo, le plan post-Covid de Macron appartient à l’ancien monde.
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Le secteur crie que la pandémie pourrait le tuer. La faute au pétrole bradé et à l’effondrement de la demande. Tant pis pour le climat.
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Instruments, blouses… Les blocs revenaient à peine sur la tyrannie de l’usage unique que le Covid est apparu. Alerte aux plastiqueurs !
Les constructeurs menacent de remettre en cause les objectifs de CO2 afin de mieux négocier une aide pour les voitures vertes.
Lundi, le secteur a été choyé par un Bercy acquis à sa cause, ignorant l’aberration écologique du géant des routes.
L’un est un mauvais élève ; l’autre, un cancre. Leur mariage annoncé pourrait donner naissance à un géant du CO2. Merci les SUV !
Alors qu’une nouvelle étude confirme le caractère polluant des SUV, les députés ont rejeté l’idée d’un malus sur le poids de ces voitures.
Info « Les Jours ». La mairie de Paris réfléchit à une hausse des prix du stationnement pour ces véhicules, trop lourds et trop grands.
Un rapport publié ce mardi dénonce le non-sens climatique de cette voiture qui envahit le marché. C’est tout le sujet de notre enquête.
Pour le député ex-LREM Matthieu Orphelin, la lutte contre l’ultra-polluant SUV passe par l’encadrement de la publicité automobile.
Affiches et spots vendent de l’aventure virile et de la nature fantasmée. Des vieux codes que le monospace avait fait oublier.
Écolo, le « sport utility vehicle » de demain ? Bien sûr, puisque sa taille permet d’embarquer de grosses batteries. Eh bien non.
Les normes européennes sur les émissions de CO2 vont se durcir. Et les rentables mastodontes se changer en boulets pour les marques.
Si les émissions de gaz du parc automobile stagnent au lieu de diminuer, c’est en bonne partie la faute au « sport utility vehicle ».
Avec sa face avant haute et droite, il augmente les risques pour les piétons, les cyclistes… et même les autres voitures.
À rebours de l’histoire, le lourd et polluant « sport utility vehicle » domine le marché. Dernier sursaut avant la fin d’un monde.
Climat, extinction des espèces… Depuis un siècle, on chante l’apocalypse, du blues à « We Are The World », de Johnny à Radiohead.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, deux romans de solitude.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un document explosif.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, les dangers de la soute.
Après les 80 km/h, c’est le prix de l’essence qui exaspère, les gilets jaunes comme les autres. Un bon créneau pour l’électrique ?
D’une plage du Havre aux bords de Seine, notre enquêteur a reconstitué l’histoire des détritus, reflets honteux de nos existences.
Les entreprises se déresponsabilisent des déchets qu’elles engendrent, en subventionnant des organismes qui les ramassent.
Nos eaux usées ne sont pas toujours nettoyées. Tampons, Cotons-Tiges et lingettes finissent alors dans les rivières.
Pour saisir pourquoi des déchets jonchent les rives de la Seine, plongez dans les égouts à la poursuite d’un mégot.
De Rouen au Havre, des granulés plastique envahissent les berges de la Seine. Leurs producteurs se défaussent.
Notre enquêteur quitte la plage pour les berges du fleuve, où s’accumulent des tonnes d’ordures avant de redescendre vers la mer.
À qui sont ces bâches et bidons sur la plage-poubelle du Havre ? Ça ne nous regarde pas, se défendent leurs fabricants.
Sous la falaise-décharge de Dollemard, au milieu des bouteilles en plastique, deux pierres tombales. D’où viennent-elles ?
Comment ces bouchons se sont-ils retrouvés incrustés dans les falaises du Havre ? Notre investigateur déchets a mené l’enquête.
Coca-Cola jure faire au mieux, mais ses bouteilles en plastique s’amoncellent sur les plages, dont celles du Havre.
Quand et pourquoi les falaises de Dollemard ont-elles commencé à servir de décharge sauvage ? Le Havre a l’amnésie facile.