Né lors de la grève contre l’arrivée de Geoffroy Lejeune au journal, le texte donnant aux rédactions le droit d’agréer leur directeur a été squeezé.
Né lors de la grève contre l’arrivée de Geoffroy Lejeune au journal, le texte donnant aux rédactions le droit d’agréer leur directeur a été squeezé.
Émoi dans la milliardosphère française. Alors qu’il a mis au pas le mag racheté à Lagardère, Bolloré va le revendre au boss de LVMH. Mais pourquoi ?
Après le choc Bolloré, les anciens vont peser sur les États généraux de l’information. Élus de la SDJ, Juliette Demey et Bertrand Gréco s’expliquent.
Pas moins de 80 journalistes ont claqué la porte de l’hebdo qui continue sa mue en tribune de l’extrême droite. L’effet Bolloré.
Info « Les Jours ». Plus de 60 journalistes ont déjà annoncé leur départ. Lejeune tente de sortir un journal en recrutant à « Valeurs actuelles ».
La rédaction stoppe la grève et va partir. Geoffroy Lejeune et l’extrême droite arrivent à la tête de l’hebdo. Vincent Bolloré a gagné. Encore.
Refusant, selon nos infos, une charte éthique bannissant le racisme, Lagardère rompt les négociations. Geoffroy Lejeune sera là dès le 1er août.
Une proposition législative transpartisane veut donner aux rédactions le droit d’agréer leur directeur. Trop tard pour Geoffroy Lejeune…
La rédaction refuse toujours de servir un projet politique en étant dirigée par Geoffroy Lejeune. Gouvernement et droite, eux, composent.
Au treizième jour de grève, la rédaction a refusé de rencontrer Geoffroy Lejeune et la direction ne renonce pas à le nommer. Blocage total.
Face à des salariés en grève, Lagardère a péniblement tenté de justifier l’arrivée imminente de l’ex de « Valeurs actuelles », imposé par Bolloré.
L’échec de la proposition de loi Liot enterre une contestation qui, malgré l’ampleur des manifestations, n’a jamais fait plier le gouvernement.
Violences et cécité du gouvernement, cortège de tête recomposé et pratiques qui essaiment… L’analyse revigorante du sociologue Michel Kokoreff.
D’habitude, le samedi, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Mais aujourd’hui, il a chopé un truc bizarre, un nouveau virus…
Un héron et des tracteurs en ligne de front : le dessinateur Loïc Sécheresse fait le récit en images de la manifestation de mardi.
De l’incinérateur d’Ivry au Louvre, les opposants à la réforme des retraites prêtent main forte aux actions stratégiques et symboliques.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui, Macron prépare le changement de propriétaire.
Manifs sauvages ou défilés classiques, comme celui de ce jeudi ? Qu’importe, le 49.3 et l’immobilité de Macron ont reboosté les grévistes.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui, le tas, c’est lui.
« Les Jours » se sont procuré les images de la fin de la grève à i-Télé, le 16 novembre 2016. Sur ses cendres, Bolloré a édifié CNews.
De sources concordantes, l’homme d’affaires est sur le point de racheter la station du groupe Lagardère pour la rapprocher de CNews.
Raffinerie Total, papeterie… Syndicalistes et écolos inventent ensemble un futur où la transition crée des emplois. Pas le contraire.
Sébastien Thoen et maintenant le commentateur vedette du foot : Canal+ exerce menaces et chantage sur ceux qui les soutiennent.
Pour Yannick Gottwalles, chef des urgences de Colmar, qui analyse les conclusions du Ségur, le gouvernement n’a rien appris de la pandémie.
Les urgentistes de Colmar reprochent à l’accord signé ce lundi d’oublier le manque de lits et d’effectifs au seul bénéfice des salaires.
En première ligne face au Covid, les soignants colmariens, jusque-là en retrait, se joignent au mouvement de défense de l’hôpital.
Le raz-de-marée du Covid a accentué l’épuisement des urgentistes de Colmar face à leurs conditions de travail. Ils se mobilisent ce mardi.
Submergées par le Covid, les urgences de Colmar redoutent de retrouver l’hôpital public là où elles l’avaient laissé : au fond du trou.
Réforme du bac, « devoir de réserve », postes rognés, classes surchargées… Les profs du lycée Mounier à Grenoble ouvrent les vannes.
Manque de reconnaissance, fin du régime spécial, externalisation : à la SNCF, les agents démissionnent en masse.
La souffrance au travail affecte particulièrement les cheminots chargés de l’entretien des rails, où la sous-traitance prospère.
Que sont-ils devenus ? La grève des transports aiguise celle des urgentistes, qui a fêté ses 6 mois. Et personne n’a le cœur à chanter.
L’année s’achève sur un plateau-repas (un peu) festif pour les 1ères G4 alors que se dessinent déjà les épreuves de contrôle continu.
Édouard Philippe appelle à ne pas « priver » les Français de Noël. Mais pour les cheminots, une pause est inconcevable. Même à la CFDT.
La durée et l’ampleur du mouvement boostent les grévistes de la SNCF. D’autant que cette fois, ils ne sont pas seuls dans la fronde.
Pour les cheminots, la grève de ce jeudi est capitale : la réforme des retraites est un pas de plus vers la dislocation de leur métier.
À partir du 15 décembre, le cœur de métier de ces cheminots – donner le départ des trains – disparaît. Souffrance et déclassement.
Avec la fin du statut au 1er janvier prochain, les cheminots vivent une crise sociale sans précédent. « Les Jours » enquêtent.
La chaîne info a inauguré ce lundi son émission autour du polémiste. Au menu : des cris, des faire-valoir et un écrin pour ses idées.
Info « Les Jours ». Dès ce lundi, la chaîne ouvre son antenne au polémiste pour une émission quotidienne présentée par Christine Kelly.
Nouvelle AG à Canal+ après l’interruption des négociations avec la direction. En cause : des indemnités de départ insuffisantes.
Tollé après les sorties du polémiste à la Convention de la droite. Mais à CNews où il doit débarquer, la contestation reste sourde.
Les annonces de la ministre ne convainquent pas les grévistes des urgences, qui veulent prolonger et élargir le mouvement.
Agnès Buzyn veut généraliser les « bed managers », ces chasseurs de chambres en hôpital. À Saint-Denis, chaque place se négocie.
Aux urgences de Saint-Denis, le mouvement social dure depuis plus de deux mois. L’été est compliqué, l’équipe sur les rotules.
Médiatrice et aide-soignante aux urgences de Saint-Denis, elle guette les regards qui n’osent pas et les conflits à apaiser.
Aux urgences de l’hôpital Delafontaine, la nuit est plus longue, plus incertaine que le jour. Plus violente aussi parfois.
Au « tri », les infirmières doivent orienter les patients qui atterrissent aux urgences. Vite et bien. Tout l’édifice en dépend.
À l’hôpital Delafontaine de Saint-Denis, la grève n’empêche ni le travail des équipes ni l’afflux des patients. L’immersion commence.
Face au plan social à Canal+, l’heure était à l’inquiétude ce jeudi. Et au dézingage en règle de la stratégie de la direction.
Un animateur en roue libre, des pigistes maltraités, des tentatives de censure, toujours pas d’argent… Vous êtes bien sur CNews.
Nouvelle conséquence des impitoyables économies menées dans le groupe : dès ce lundi, tous les coiffeurs sont virés.
En sous-effectif, la chaîne a diffusé par erreur des images de 2018. Et viré la pigiste mise en cause, avant de faire volte-face.
Cet été, les cheminots encartés CGT et SUD cesseront le travail sporadiquement. En espérant que la lutte reprenne à la rentrée.
Qu’y a-t-il précisément dans le « pacte ferroviaire » ? Quel avenir pour le conflit ? « Les Jours » vont au charbon.
Alors que la réforme de la SNCF sera bientôt votée, les cheminots ont organisé une manif sauvage et joyeuse dans Paris.
Les cheminots suivis par « Les Jours » espèrent un sursaut de la lutte contre la réforme, soumise au vote du Sénat ce mardi.
Derrière son comptoir, Stéphane Protois-Menu partage rythme et contraintes des cheminots, mais il est salarié d’un sous-traitant.
94,97 % des cheminots contre la réforme : le succès du vote ragaillardit les syndicats mais n’ébranle pas le gouvernement.
Après la grève intermittente, le référendum. Après les artistes, les économistes… Les syndicats ont des idées et des soutiens.
Opposé à la réforme ferroviaire, ce conducteur de TGV a fait deux jours de grève… puis a repris le boulot, résigné.
La mobilisation des cheminots ? Correcte. Son avenir ? Mystère. Seule certitude : la résignation n’est pas à l’ordre du jour.
Après une carrière chez PSA, Serge Fournet répare des trains. Un boulot éprouvant. Gréviste, il n’accable pourtant pas la SNCF.
Comment rester motivé ? Quelle suite donner à la grève ? Les cheminots suivis par « Les Jours » s’interrogent.
Contractuel mais attaché à la culture SNCF, Valéry Vuong ne participe ni à la mobilisation… ni au dénigrement des cheminots.
Depuis mardi, les agents SNCF suivis par « Les Jours » sont engagés dans une grève qu’ils veulent faire durer.
Contre une réforme qu’il juge « injuste » et le « cassage » de cheminots, Martin, conducteur SNCF, se joint au mouvement ce mardi.
Alors que le gouvernement veut réformer la SNCF, « Les Jours » racontent les cheminots, leurs métiers et leur combat.
160 des 228 salariés du Centre de relations clients ont décidé de prendre le plan social. Une hécatombe signée Bolloré.
Info « Les Jours ». Une charte d’éthique est mise au vote ce jeudi à CNews mais le texte autorise toutes les dérives.
Il y a un an, Bolloré poussait dehors une centaine de salariés. Ils racontent l’après, les doutes, les questions, les projets.
Le 17 octobre 2016, le mouvement débutait, clos un mois après par des engagements de la direction. « Les Jours » font les comptes.
Jeudi, face à une direction butée, les salariés des centres d’appels de Rennes et Saint-Denis ont manifesté ensemble.
Info « Les Jours ». En plus de la liquidation du centre de Saint-Denis, le patron agite la fermeture de celui de Rennes.
Les routiers français, qui se mobilisent contre les ordonnances, attendent aussi que le gouvernement les défende à Bruxelles.
Les employés des Centres de relations clients, visés par un plan social, sont en colère contre Bolloré. La grève dure.
Le CSA inflige à C8 une amende de trois millions d’euros pour le sketch homophobe de « Touche pas à mon poste ».
Info « Les Jours ». Le groupe vient de relancer le processus de rapprochement entre CNews et le gratuit « CNews Matin ».
Le présentateur, l’une des dernières figures de CNews, s’en va tandis que Jean-Marc Morandini ferait son retour à la rentrée.
Antoine Genton, porte-parole de la rédaction, quitte la chaîne. « Les Jours » se sont mis dans la peau de Bolloré pour l’interviewer.
Au 31e jour, face à un Bolloré inflexible, la rédaction a mis fin au mouvement, « la tête haute » et sous une pluie de départs.
« Les Jours » publient le « texte de combat » des salariés d’i-Télé qui met fin à 31 jours de grève.
En direct. Au 30e jour, un « protocole de sortie de crise » est proposé mais sans avancée réelle. Décision ce mercredi.
Soutenant les salariés, la ministre de la Culture exige du directeur qu’il mette fin à ses deux fonctions, incompatibles.
Parent pauvre de Canal+, la chaîne fête son anniversaire avec un 19e jour de grève. Et la direction ne propose toujours rien. Reportage.
Pour ne pas donner la parole aux salariés, le directeur supprime les émissions prévues autour du débat de la primaire de droite.
Portrait. Le président de la SDJ d’i-Télé est en première ligne contre la direction du groupe de Vincent Bolloré.
Info « Les Jours ». Tandis que la direction joue le pourrissement, le banquier se porte candidat.
Alors que le dialogue s’amorçait, la direction a rejeté toutes les demandes de la rédaction. Récit dans les coulisses d’une grève.
Face à la rédaction d’i-Télé, la direction ne présente pas de projet et durcit le ton. Résultat : la grève se poursuit.
Replay. Grève, Morandini… « Les Jours » racontent une nouvelle folle journée de « L’empire ».
I-Télé est prête à payer les journalistes opposés à Morandini pour qu’ils s’en aillent plutôt que de renoncer à le faire venir.