
Soutenue par Universal, la plateforme va changer son mode de rémunération, scrutant le lien avec les fans plus que le pur volume de streams. Une bascule.
Soutenue par Universal, la plateforme va changer son mode de rémunération, scrutant le lien avec les fans plus que le pur volume de streams. Une bascule.
La plongée de notre journaliste dans les profondeurs du streaming musical a désormais une déclinaison sur Arte.tv, disponible dès ce mercredi.
Sous les recommandations (4/4). Le sociologue Quentin Gilliotte enquête sur nos usages protéiformes en matière de consommation musicale.
Sous les recommandations (3/4). Pour construire leurs collections musicales, les auditeurs ont apprivoisé la recommandation.
De Mayotte à L’Escarène, venez visiter du pays dans l’épisode 43 des « Dessous des “Jours” ».
Sous les recommandations (2/4). Pour mieux le conseiller, les plateformes cherchent à cerner l’auditeur, cet être changeant et mystérieux.
Sous les recommandations (1/4). Tout le monde pense que les machines de Spotify ou Deezer enferment l’auditeur dans ses goûts. On a vérifié.
Dans son rapport sorti ce lundi, le Centre national de la musique admet que la fraude des plus gros échappe encore aux plateformes.
Spotify a suspendu des chansons de Vitaa pour punir son label qui, comme beaucoup, joue un rôle trouble dans la manipulation des écoutes.
Info « Les Jours ». L’obstruction du géant suédois fragilise sérieusement l’étude sur la fraude que mène le Centre national de la musique.
Face au cercle vicieux des fausses écoutes qui biaise la distribution des revenus, les acteurs de la musique se mobilisent plus ou moins.
Certaines playlists d’utilisateurs monnayent la mise en avant d’artistes en manque de visibilité. Une fraude qui contribue aux fake streams.
Fermes à clics, comptes zombies, camouflage… Les techniques des tricheurs se professionnalisent. Les plateformes tentent de suivre.
30 % des écoutes des nouveautés musicales françaises seraient des faux destinés à gonfler les classements. Enquête.
Bien qu’elle s’abrite toujours derrière son statut d’hébergeur, la plateforme fait le tri : elle garde Joe Rogan mais bannit Alain Soral.
Pour dénoncer des propos antivax dans un podcast, le rockeur quitte la plateforme… qui n’en a cure. Le désamour avec les artistes s’aggrave.
À l’écart de Spotify, de nouvelles plateformes réinventent le lien entre les artistes et leur public. Plus proche et plus rémunérateur.
Le système du « user centric » est censé mieux partager le butin des écoutes. Le Centre national de la musique vient de faire les comptes.
Pour exister sur les plateformes de streaming, il faut le temps, l’argent et l’envie. Pas évident pour les petites maisons de disques.
Si les plateformes sont dans le viseur, les labels jouent aussi un rôle majeur dans la rémunération des artistes, jugée trop faible.
Entre musiciens et plateformes, c’était un mariage de raison, c’est désormais la rupture. Les histoires d’argent finissent mal…
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent une actualité et un disque en miroir. Aujourd’hui, deux aventures marocaines.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent une actualité et un disque en miroir. Aujourd’hui, clameurs pour George Floyd et Rodney King.
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Privés de live, les musiciens réclament un revenu décent aux plateformes et aux labels. Une brise de révolte souffle sur le secteur.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent une actualité et un disque en miroir. Aujourd’hui, taxinomie des chansons d’épidémie.
Entre le télétravail, les enfants et les infos, les plateformes sont désertées. « Les Jours » dévoilent les chiffres du crash.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent une actualité et un disque en miroir. Aujourd’hui, jouons avec des enfants et un lave-linge.
Chaque semaine, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, un electrosensible et une étoile filante.
Le samedi, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, le meilleur disque de 2019 et le plus dingue.
Le samedi, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, un revenant et un ours polaire.
La plateforme de streaming veut imposer le « user-centric payment system », un modèle économique jugé plus juste pour les artistes.
Le samedi, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, fantasmes le long du grand Pacifique.
Le samedi, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, balance ton « Angela ».
Le samedi, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, mélodies électroniques.
Le samedi, « Les Jours » chroniquent une nouveauté et un disque en miroir. Aujourd’hui, voyage entre hyperpop et avant-garde africaine.
Le texte voté ce mardi par l’Europe va modifier la circulation de la culture en ligne, notamment sur YouTube. On vous explique tout.
La chercheuse Maria Eriksson pointe le déséquilibre flagrant entre les droits de l’utilisateur… et ceux que s’accorde la plateforme.
Grâce à la musique, Amazon fait entrer ses enceintes connectées dans les foyers… et son service de streaming. Un coup de maître.
La musique a changé d’ère avec l’offre légale ? Qu’importe, l’élue plaide pour la répression contre les téléchargeurs de films.
Bye-bye labels et distributeurs… La plateforme invite tous les amateurs à déposer leur musique sur ses serveurs. C’est un séisme.
La directive qui rééquilibre le rapport de force entre plateformes et labels a été votée. Mais les artistes auront-ils leur part ?
Petits streams (6/6). La logique de la playlist force les labels à privilégier les œuvres courtes… ou à les découper. Une hérésie ?
Petits streams (5/6). Laissée pour compte du streaming, la musique classique tente de se frayer un chemin à l’ombre des hits.
La bataille aura lieu en septembre : le Parlement européen a repoussé le texte sur l’encadrement des plateformes, YouTube en tête.
Petits streams (4/6). Grand public, Spotify et Deezer sont et resteront perdues avec les musiques de niche. Vivement leurs rejetons.
Petits streams (3/6). Hors du rap, les longs formats ne font pas le poids face aux playlists. Au grand dam des labels indépendants.
Petits streams (2/6). Les plateformes savent manier les tubes, beaucoup moins les musiques underground. Et ça leur va bien comme ça.
Petits streams (1/6). Derrière le rap tout-puissant, de nombreux styles musicaux cherchent ce que le stream peut leur rapporter.
Dans son document d’entrée en bourse, déposé mercredi, la plateforme affiche son ambition de voler des auditeurs aux radios.
Beaucoup de YouTube, peu d’abonnements : des étudiantes de Nanterre racontent aux « Jours » comment elles consomment la musique.
Bling-stream (7/7). Dans le système actuel, l’argent des plateformes va aux plus écoutés. Donc au rap, aux dépens de la diversité.
Bling-stream (6/7). Mal médiatisés et contraints à la course aux clics sur Spotify, les petits artistes fraudent pour se lancer.
Bling-stream (5/7). « Les Jours » révèlent que la prétendue triche massive aux fausses écoutes représente moins de 5 % des streams.
Bling-stream (4/7). Face à l’inexorable montée du streaming, le CD résiste mais est mal barré, et le vinyle a un coup à jouer.
Bling-stream (3/7). Spotify a beau vouloir l’enterrer pour imposer ses playlists, le long format reste un passage obligé.
Bling-stream (2/7). Fini, les morceaux choisis par les labels. Connectés à leurs idoles, les fans décident désormais des tubes.
La mort de Johnny marque la fin d’une ère où les purs interprètes étaient rois. Aujourd’hui, le streaming ne les paye pas assez.
Bling-stream (1/7). Et si le succès du rap sur les plateformes était une réplique du phénomène yéyé dans les années 60 ?
Ondes de choc (4/4). Tenues de diffuser 40 % de chanson francophone, les radios enragent : elles veulent la même règle pour tous.
Ondes de choc (3/4). La FM utilise sa puissance de frappe auprès des foules pour se différencier du streaming. Jusqu’à quand ?
Ondes de choc (2/4). Stations et plateformes sont d’accord : les animateurs fidélisent l’auditeur. Les premières ont de l’avance.
Ondes de choc (1/4). Gros temps pour les stations jeunes : les 15-25 les abandonnent peu à peu pour les plateformes de stream.
Le streaming devenu roi, la filière musicale devait s’entendre sur le partage des revenus. En une nuit, tout a capoté.
Pilier du nouveau monde sonore façonné par le streaming, la musique d’ambiance s’attaque désormais à votre inconscient.
Les musiques d’ambiance aseptisées prennent tant de place sur les plateformes que Spotify en fabriquerait en sous-main.
Sur Spotify ou Deezer, les playlists d’ambiance triomphent. Une consécration pour la musique pensée pour meubler le quotidien.
Sur les pas des radios commerciales, Spotify et Deezer enferment leurs auditeurs dans un univers limité et ultraconfortable.
Elle s’est péniblement faite au streaming, et voilà que les artistes n’ont plus besoin d’elle… Sale temps pour la major.
Cette base de données en ligne pourrait rénover l’économie de la musique. Mais l’industrie n’y a pas forcément intérêt.
Les entreprises de distribution numérique ont comblé le vide qui empêchait les musiciens d’être indépendants grâce au web.
Libérés, délivrés (2/2). Avec Internet et un peu de débrouille, Anaïs ou Fauve gèrent leur carrière musicale sans label.
La gonflette du streaming existe. Mais pour ces rappeurs, c’est un contre-feu des majors pour masquer leurs mauvais résultats.
Libérés, délivrés (1/2). Autrefois dépendants des labels, les musiciens deviennent aujourd’hui leurs propres patrons.
Sous le streaming légal (2/2). La fermeture des sites de téléchargement menace les disques rares, absents des plateformes de streaming.
Sous le streaming légal (1/2). Insatisfaits par l’offre, des puristes de la musique privilégient le bon vieux téléchargement.
La guerre de YouTube (2/2). Au-delà de l’argent, l’industrie musicale exige plus de contrôle sur les vidéos.
La guerre de YouTube (1/2). L’industrie musicale défie la plateforme à Bruxelles. Le risque : que toute vidéo incluant de la musique soit supprimée.
Comment le jeune consomme-t-il de la musique ? Réponses avec des collégiens d’Aimé-Césaire.
Tubes en chaîne (4/4). Le boulot de « curation » de Délicieuse musique préfigure le monde de la musique de demain.
Tubes en chaîne (3/4). Les indépendants sont perdus et les médias pataugent. Les majors, elles, squattent les clics.
Tubes en chaîne (2/4). Si les êtres de chair et d’oreilles sont revenus au cœur de la création des sélections, c’est pour guider les robots.
Tubes en chaîne (1/4). Avec le streaming, l’album recule face à la playlist, collection de chansons prêtes à consommer.
Le Disquaire day, ce samedi, est une parenthèse enchantée dans une économie du vinyle sapée par la montée des prix.
Cash-cash (2/2). Exiger son dû à la plateforme prend des airs d’odyssée pour un label. Plongée dans ses entrailles.
Cash-cash (1/2). La plateforme ne reverse que des miettes. Mais beaucoup de maisons de disques ne les réclament même pas.
Sous contrat (3/3). Les majors se surprotègent en tentent de capter une partie des revenus des artistes.
Sous contrat (2/3). Les labels vont jusqu’à taxer les tournées. Exemple avec le contrat d’un candidat de « The Voice ».
Sous contrat (1/3). Le streaming a reconduit les clauses qui surprotègent certains labels aux dépens des artistes.
Rassembler le secteur, instaurer l’équité entre majors et petits labels… Le doux rêve d’un Centre national de la musique a été torpillé en 2012.
Pour 1 euro dépensé, qui récupère quoi ? Une datavisualisation pour comprendre.
Les coulisses de la mission Schwartz reflètent l’état de la musique : pratiques obsolètes et crispations sur le streaming.
L’enjeu des plateformes de streaming est de toucher la majorité des auditeurs, ceux qui consomment peu de musique.
Le streaming et son économie opaque creusent le fossé entre quelques artistes à succès et tous les autres.