Une semaine après la présidentielle américaine, militants et sympathisants progressistes dissèquent l’échec de Kamala Harris. Saignant.
Son rôle dans la série.
Joseph Robinette Biden Jr est né en septembre 1942 dans une famille de classe moyenne de Pennsylvanie. Élu local démocrate à 27 ans, sa carrière prend un tour inattendu lorsqu’il déloge un vieux républicain sortant pour représenter le Delaware au Sénat dès 1973 et jusqu’en 2009. Ambitieux, il gravit les échelons des comités du Sénat par sa faconde et la sympathie qu’inspire à ses collègues la morts de sa femme et de sa fille dans un accident. Une première candidature à la présidentielle s’effondre en 1987 sur un plagiat de discours. Le Sénat lui sert alors de refuge. Il soutient les grandes réformes de durcissement des lois pénales au début des années 1990, ce qu’il finira par regretter. À partir de 1997, il se consacre au puissant comité des Affaires étrangères du Sénat, dont il devient le président en 2001. À ce titre, il soutient avec enthousiasme la guerre en Irak, ce qui lui vaut un échec massif lors de sa seconde candidature présidentielle en 2008. Mais il est choisi comme colistier par Barack Obama et devient son vice-président de 2009 à 2017. Il pense à briguer la succession de son ami Président mais la mort prématurée de son fils Beau le fait renoncer. Après l’échec d’Hillary Clinton face à Trump en 2016, Biden décide de se présenter en 2020.
Malgré des débuts calamiteux en primaire, Biden est désigné candidat démocrate à l’été 2020. Fort de débats maîtrisés, il parvient à arracher une victoire nette sur Donald Trump le 3 novembre 2020. Et en dépit de l’opposition forcenée de son prédécesseur, il est investi comme 46e président des États-Unis le 20 janvier 2021.
Le 25 avril 2023, Joe Biden annonce officiellement sa candidature à un second mandat mais renonce en juillet 2024, semblant, son âge aidant, ne plus être capable de mener son camp à la victoire contre Trump. Il se désiste au profit de sa vice-présidente Kamala Harris, officiellement investie candidate des démocrates le 22 août 2024.
Par Corentin Sellin
Son rôle dans la série.
Joseph Robinette Biden Jr est né en septembre 1942 dans une famille de classe moyenne de Pennsylvanie. Élu local démocrate à 27 ans, sa carrière prend un tour inattendu lorsqu’il déloge un vieux républicain sortant pour représenter le Delaware au Sénat dès 1973 et jusqu’en 2009. Ambitieux, il gravit les échelons des comités du Sénat par sa faconde et la sympathie qu’inspire à ses collègues la morts de sa femme et de sa fille dans un accident. Une première candidature à la présidentielle s’effondre en 1987 sur un plagiat de discours. Le Sénat lui sert alors de refuge. Il soutient les grandes réformes de durcissement des lois pénales au début des années 1990, ce qu’il finira par regretter. À partir de 1997, il se consacre au puissant comité des Affaires étrangères du Sénat, dont il devient le président en 2001. À ce titre, il soutient avec enthousiasme la guerre en Irak, ce qui lui vaut un échec massif lors de sa seconde candidature présidentielle en 2008. Mais il est choisi comme colistier par Barack Obama et devient son vice-président de 2009 à 2017. Il pense à briguer la succession de son ami Président mais la mort prématurée de son fils Beau le fait renoncer. Après l’échec d’Hillary Clinton face à Trump en 2016, Biden décide de se présenter en 2020.
Malgré des débuts calamiteux en primaire, Biden est désigné candidat démocrate à l’été 2020. Fort de débats maîtrisés, il parvient à arracher une victoire nette sur Donald Trump le 3 novembre 2020. Et en dépit de l’opposition forcenée de son prédécesseur, il est investi comme 46e président des États-Unis le 20 janvier 2021.
Le 25 avril 2023, Joe Biden annonce officiellement sa candidature à un second mandat mais renonce en juillet 2024, semblant, son âge aidant, ne plus être capable de mener son camp à la victoire contre Trump. Il se désiste au profit de sa vice-présidente Kamala Harris, officiellement investie candidate des démocrates le 22 août 2024.
Par Corentin Sellin
Son rôle dans la série.
Joseph Robinette Biden Jr est né en septembre 1942 dans une famille de classe moyenne de Pennsylvanie. Élu local démocrate à 27 ans, sa carrière prend un tour inattendu lorsqu’il déloge un vieux républicain sortant pour représenter le Delaware au Sénat dès 1973 et jusqu’en 2009. Ambitieux, il gravit les échelons des comités du Sénat par sa faconde et la sympathie qu’inspire à ses collègues la morts de sa femme et de sa fille dans un accident. Une première candidature à la présidentielle s’effondre en 1987 sur un plagiat de discours. Le Sénat lui sert alors de refuge. Il soutient les grandes réformes de durcissement des lois pénales au début des années 1990, ce qu’il finira par regretter. À partir de 1997, il se consacre au puissant comité des Affaires étrangères du Sénat, dont il devient le président en 2001. À ce titre, il soutient avec enthousiasme la guerre en Irak, ce qui lui vaut un échec massif lors de sa seconde candidature présidentielle en 2008. Mais il est choisi comme colistier par Barack Obama et devient son vice-président de 2009 à 2017. Il pense à briguer la succession de son ami Président mais la mort prématurée de son fils Beau le fait renoncer. Après l’échec d’Hillary Clinton face à Trump en 2016, Biden décide de se présenter en 2020.
Malgré des débuts calamiteux en primaire, Biden est désigné candidat démocrate à l’été 2020. Fort de débats maîtrisés, il parvient à arracher une victoire nette sur Donald Trump le 3 novembre 2020. Et en dépit de l’opposition forcenée de son prédécesseur, il est investi comme 46e président des États-Unis le 20 janvier 2021.
Le 25 avril 2023, Joe Biden annonce officiellement sa candidature à un second mandat mais renonce en juillet 2024, semblant, son âge aidant, ne plus être capable de mener son camp à la victoire contre Trump. Il se désiste au profit de sa vice-présidente Kamala Harris, officiellement investie candidate des démocrates le 22 août 2024.
Par Corentin Sellin
Son rôle dans la série.
Joseph Robinette Biden Jr est né en septembre 1942 dans une famille de classe moyenne de Pennsylvanie. Élu local démocrate à 27 ans, sa carrière prend un tour inattendu lorsqu’il déloge un vieux républicain sortant pour représenter le Delaware au Sénat dès 1973 et jusqu’en 2009. Ambitieux, il gravit les échelons des comités du Sénat par sa faconde et la sympathie qu’inspire à ses collègues la morts de sa femme et de sa fille dans un accident. Une première candidature à la présidentielle s’effondre en 1987 sur un plagiat de discours. Le Sénat lui sert alors de refuge. Il soutient les grandes réformes de durcissement des lois pénales au début des années 1990, ce qu’il finira par regretter. À partir de 1997, il se consacre au puissant comité des Affaires étrangères du Sénat, dont il devient le président en 2001. À ce titre, il soutient avec enthousiasme la guerre en Irak, ce qui lui vaut un échec massif lors de sa seconde candidature présidentielle en 2008. Mais il est choisi comme colistier par Barack Obama et devient son vice-président de 2009 à 2017. Il pense à briguer la succession de son ami Président mais la mort prématurée de son fils Beau le fait renoncer. Après l’échec d’Hillary Clinton face à Trump en 2016, Biden décide de se présenter en 2020.
Malgré des débuts calamiteux en primaire, Biden est désigné candidat démocrate à l’été 2020. Fort de débats maîtrisés, il parvient à arracher une victoire nette sur Donald Trump le 3 novembre 2020. Et en dépit de l’opposition forcenée de son prédécesseur, il est investi comme 46e président des États-Unis le 20 janvier 2021.
Le 25 avril 2023, Joe Biden annonce officiellement sa candidature à un second mandat mais renonce en juillet 2024, semblant, son âge aidant, ne plus être capable de mener son camp à la victoire contre Trump. Il se désiste au profit de sa vice-présidente Kamala Harris, officiellement investie candidate des démocrates le 22 août 2024.
Par Corentin Sellin
Une semaine après la présidentielle américaine, militants et sympathisants progressistes dissèquent l’échec de Kamala Harris. Saignant.
Dans le bastion conservateur de Newnan, les trumpistes jubilent pendant que les électeurs de Harris, accablés, anticipent les quatre années à venir.
Insubmersible, le milliardaire va réintégrer la Maison-Blanche. Le fruit d’une OPA sur le vote des hommes non-diplômés issus des minorités.
Harris, Trump ou un résultat suspendu ? Trois scénarios sont possibles, sans que les sondages ne décèlent de tendance. Réponse dans quelques heures…
Les Amérindiens, dont le vote est crucial dans ce swing state, sont historiquement démocrates. Mais certains sont sensibles aux arguments de Trump.
Entre provocations et insultes, surtout de la part du candidat républicain, jamais une campagne n’aura été aussi violente et les États-Unis, aussi divisés.
Grâce à leurs contributions, les gros donateurs influencent comme jamais la campagne… et les engagements politiques des deux candidats.
L’État redoute des heurts en cas de défaite de Trump. Or le scrutin promet d’être serré et le nouveau décompte manuel des voix va retarder les résultats…
Le racisme du candidat républicain ne rebute pas les Hispano-Américains de Floride. Mais l’espoir de faire basculer l’État grimpe chez les démocrates.
Après une nouvelle tentative d’assassinat « apparente » contre le candidat républicain, la tension monte d’un cran dans la campagne électorale.
Pour arracher le vote des électeurs indécis de cet État-clé, notamment les femmes, le camp Harris mise sur la défense des droits reproductifs. Reportage.
La démocrate a fait forte impression face à Donald Trump. Mais l’ex-Président, qui ne s’adresse qu’à ses partisans, en a-t-il quelque chose à faire ?
La vice-présidente enthousiasme les démocrates et décontenance le camp Trump. Il ne lui reste plus qu’un détail à régler : trouver un programme…
Rural quand elle est urbaine, de gauche quand elle est modérée : avec Walz à la vice-présidence, la candidate démocrate joue la complémentarité.
Lâché par son camp, le président Biden ne vise plus la réélection. Sa vice-présidente est la favorite pour le remplacer, mais sans faire l’unanimité.
La tentative d’assassinat dont a été victime l’ex-Président en fait un martyr, alors que la vie politique américaine devient de plus en plus brutale.
La Cour suprême a validé la demande d’immunité de l’ex-Président pour les actes commis pendant son mandat. Un coup dur pour la justice… et les démocrates.
La prestation du Président lors du premier débat face à Trump n’a pas évacué les doutes sur sa santé. Elle pousse même les démocrates à espérer un retrait.
Sa condamnation ne freine pas l’ex-Président dans sa course contre Joe Biden. Et tout le Parti républicain est derrière lui…
Le Super Tuesday, date-clé des primaires à la présidentielle, a validé un duel évident… dont les Américains ne veulent pas.
En roue libre, l’ex-Président a écrasé Nikki Haley en Caroline du Sud. L’horizon est dégagé, mais la partie pas encore gagnée.
L’ex-Président américain n’en finit plus de cajoler le Russe. Parce qu’il admire son autoritarisme, bien sûr. Mais y aurait-il d’autres raisons ?
L’institution peut prochainement le disqualifier pour la présidentielle… comme lui accorder l’immunité pour ses actes lors de l’insurrection du Capitole.
Purge idéologique, militarisation à tout-va : le programme de l’ex-Président, favori des républicains à la présidentielle de 2024, est effarant.
Après son soutien sans faille à Israël, le président américain demande désormais une « pause » humanitaire. Pour ne pas fâcher son électorat.
L’élection du nouveau speaker de la Chambre des représentants, évangélique et droitier, confirme la mainmise de Trump sur le parti républicain.
Le Président estime être le seul à pouvoir contrer Trump en 2024. Mais ses presque 81 ans et sa santé font douter les démocrates.
Sans y participer, il a remporté le débat des candidats à l’investiture républicaine. Et peu importe qu’il doive faire un passage en prison ce jeudi.
Poursuivi cette fois dans l’affaire des archives secrètes, l’ex-Président chante à nouveau l’air du complot. Et les républicains suivent…
Le néocandidat à la primaire républicaine se pose en recours de Donald Trump. Car sur le front des idées, il est juste un peu plus radical.
Malgré son âge, le Président est candidat à sa réélection. Il compte sur sa capacité à lever des fonds… et sur l’épouvantail Trump.
L’inculpation de l’ex-Président est une première dans l’histoire américaine mais son implication dans l’assaut du Capitole reste à juger.
Devant le Congrès, le Président a prêché l’union transpartisane mais les conservateurs, de plus en plus à droite, ne pensent qu’à se venger.
Chômage au plus bas, justice fiscale, parti uni… Voilà qui ferait rêver tout leader de centre-gauche européen. Et pourtant, ça ne prend pas.
Le républicain Kevin McCarthy a été élu après quinze tours de scrutin, mais c’est au prix de lourdes concessions à l’extrême droite.
Des victoires démocrates inattendues aux « midterms », Trump désavoué, des conservateurs qui se déchirent : le président américain respire.
S’il reste des incertitudes, l’hypothèse du raz-de-marée républicain s’éloigne et les candidats trumpistes obtiennent des résultats mitigés.
Les démocrates promettent de gagner les « midterms » et vont sans doute les perdre. Mais les républicains pourraient ne pas triompher…
Malgré un bilan positif, le président américain se heurte, à l’approche des élections de mi-mandat, à son impopularité et à l’insécurité.
La commission d’enquête a osé : l’ancien Président est convoqué pour s’expliquer sur son rôle dans l’insurrection du 6 janvier 2021.
Les néocandidats républicains ont passé l’étape des primaires haut la main. Mais les « midterms » sont une marche bien plus élevée.
Avant les élections de mi-mandat, Joe Biden ne joue plus les conciliateurs, il désigne la menace : le come-back de Donald Trump.
Après des mois d’échecs politiques, le président américain réussit à redonner de l’espoir aux démocrates avant les élections de mi-mandat.
Trumpiste jusqu’à la mort, prêt à justifier la violence et toujours plus près du suprémacisme blanc : voici le nouveau parti républicain.
Depuis les révélations de la témoin-clé Cassidy Hutchinson, des émeutiers et des proches de l’ex-Président ont été auditionnés. Un tournant.
Loin de la réconciliation, le pays voit les conflits juridiques se multiplier dans les États conservateurs. La bataille s’annonce longue.
Après l’IVG, la Cour suprême noyautée par Trump pourrait s’en prendre au mariage gay et la contraception. Bienvenue aux États-Désunis.
Contrairement au Watergate, le travail de la commission parlementaire ne suffira peut-être pas à sanctionner l’ex-Président.
Entre lobbying de la NRA, blocage au Sénat et mauvaise foi conservatrice, la tuerie risque de ne rien changer au problème des armes à feu.
Un arrêt provisoire révélé par la presse remet en cause le droit à l’avortement, déclenchant un séisme politique aux États-Unis.
Racheté par le milliardaire, le réseau va-t-il devenir un haut-parleur trumpiste, refuge de la liberté d’expression absolue ? Pas si vite…
La stratégie de soutien éperdu à l’Ukraine du Président se heurte à son impopularité nationale et aux républicains sur les autres sujets.
La laborieuse nomination de la juge noire Ketanji Brown Jackson révèle l’ampleur de la fracture entre deux Amérique irréconciliables.
Il savait que Poutine allait attaquer, le lui a fait savoir… et ça n’a rien empêché. Comme un reflet de sa faiblesse sur le plan intérieur.
La finale du championnat de football américain, qui a lieu ce dimanche, est devenue un rendez-vous immanquable pour les présidents.
L’assaut (3/3). Attisées par un Trump revanchard, les braises de l’insurrection du 6 janvier 2021 restent inflammables.
L’assaut (2/3). Créée pour faire la lumière sur le 6 janvier 2021, la commission parlementaire devient vite l’objet de jeux partisans.
L’assaut (1/3). Le 6 janvier 2021, des partisans de Donald Trump envahissent le Congrès. Un an après la stupeur, l’enquête continue.
Si elle autorise des recours, la Cour suprême, à majorité conservatrice, ne suspend pas la loi texane contre l’avortement.
Entravé par des sénateurs républicains toujours acquis à Donald Trump, le président américain réduit fortement l’ambition de ses réformes.
La victoire-éclair des islamistes, qu’il jugeait « hautement improbable », est un revers stratégique pour le président américain.
Le Président voit ses réformes sociales se fracasser au Sénat, où les républicains refusent obstinément sa politique de la main tendue.
Malgré la défaite, il a consolidé son emprise sur le parti républicain et ses élus. Et place même ses pions pour un come-back.
Le Président tente de durcir le contrôle des armes mais les républicains bloquent, soutenus par une Cour suprême encore plus conservatrice.
La nouvelle loi électorale adoptée par cet État du Sud, qui restreint le vote anticipé par correspondance, fait un heureux : Donald Trump.
Il dit vouloir rétablir la confiance avec la population, la presse, les républicains… Mais quatre ans de Trump sont passés par là.
L’ex-Président est jugé par les sénateurs ce mardi. Ce qui ne dit rien du soutien fervent qu’il conserve auprès des républicains.
Investi ce mercredi, le nouveau Président a la tâche colossale de réparer un pays meurtri par quatre ans de trumpisme.
Sidérante et inédite, l’attaque du Congrès vient conclure quatre années d’un mandat passé à démolir systématiquement la démocratie.
Mercredi, l’appel de Donald Trump à contester la victoire de Joe Biden a embrasé ses partisans qui ont envahi le Capitole.
Illégitime aux yeux des trumpistes, trop modéré pour la gauche des démocrates, le futur Président rame vers la Maison-Blanche.
De plus en plus seul à crier à la fraude, Trump envisage d’accorder par avance le pardon présidentiel à ses proches… et à lui-même.
Alors que la certification des votes confirme l’élection de Joe Biden, le président poursuit sa croisade judiciaire et conspirationniste.
Malgré la victoire de Biden, la transition avec le président sortant, renforcé par de bons résultats électoraux, promet d’être houleuse.
Joe Biden devient le 46e président des États-Unis face à Donald Trump. Une revanche pour cet éternel second couteau.
Déclaration incendiaire, appel à la Cour suprême, recours… Trump tente le tout pour le tout pour retarder la probable victoire de Biden.
Après quatre jours sous tension, l’ex-vice-président d’Obama devient président des États-Unis. Mais Trump n’a pas reconnu sa défaite…
Trump ou Biden président ? Les États-Unis tranchent ce mardi. Corentin Sellin dessine quatre scénarios pour la nuit américaine.
Système oblige, les candidats misent tout sur quelques États. Biden a les minorités avec lui ; Trump, le souvenir du hold-up de 2016.
Le système électoral américain est déjà complexe. Le Président espère désormais l’instrumentaliser à coups de procédures judiciaires.
Les deux candidats à la vice-présidence ont tenu un débat plus présidentiel que Biden et Trump, mais restent tout aussi irréconciliables.
Insultes, attaques personnelles : mardi soir, faute de dialogue possible, chaque candidat s’est adressé à son Amérique.
Trump a nommé une juge ultraconservatrice à la Cour suprême : menace en vue sur l’avortement et le résultat de l’élection présidentielle.
Des sommes astronomiques déferlent sur les campagnes des deux candidats. La faute à un financement électoral totalement dérégulé.
Indispensable avec la pandémie, le vote par correspondance hérisse le Président. Qui l’accuse de favoriser la fraude… et les démocrates.
Il n’était pas républicain ; les républicains sont devenus trumpistes. En quatre ans, le Président les a convertis au nationalisme.
Le candidat démocrate a fait le choix, historique mais attendu, de cette sénatrice noire de 55 ans pour être sa colistière.
Tenter de repousser le scrutin à l’après-Covid est l’une des options d’un Trump bien mal engagé. Mais qui n’a pas encore perdu.
En envoyant la police fédérale à Portland et Chicago, le Président s’enfonce dans un mandat et une campagne toujours plus autoritaires.
En cas de non-réélection du président, la violence des anti-IVG pourrait être ravivée, analyse pour « Les Jours » Mary Ziegler, juriste.
La Cour suprême a retoqué une loi anti-avortement, mais la question reste, pour les conservateurs, la mère de toutes les batailles.
Au prix de luttes féroces, c’est dans les couloirs de l’institution que se réforme aujourd’hui le pays. Trump l’a bien compris…
La mort de George Floyd déclenche un mouvement historique de révolte contre le racisme. Donald Trump, lui, attise les inégalités.
Le supposé « crime politique » que rabâche le président américain révèle surtout la manière dont il piétine l’indépendance de la justice.
Comme Bill Clinton ou Donald Trump, le candidat démocrate est accusé d’agression sexuelle. Son parti assumera-t-il la vague #MeToo ?
Des manifestants qui s’opposent aux mesures barrières ? Absurde. Un président qui les soutient ? Bienvenue dans l’Amérique trumpiste.
Malgré l’épidémie, le président a tenu à ce que la primaire démocrate du Wisconsin se tienne ce mardi. Insensé ? Non, calculateur.
Pionniers en matière de droits politiques des femmes, les États-Unis n’ont toujours pas élu de présidente. Vous avez dit sexisme ?