Interdiction de l’Unrwa, anéantissement du nord de l’enclave palestinienne : l’État hébreu amorce une stratégie de recolonisation de la bande de Gaza.
Interdiction de l’Unrwa, anéantissement du nord de l’enclave palestinienne : l’État hébreu amorce une stratégie de recolonisation de la bande de Gaza.
Touchés par des frappes israéliennes à Khan Younès, Azza et ses fils se sont réfugiés dans la capitale libanaise désormais visée par Tsahal.
La capitale, où les déplacés sud-libanais pensaient être en sécurité, est aussi attaquée par Israël. Reportage au sein des réseaux de solidarité.
Comme toute théorie du complot qui se respecte, celle des citoyens souverains mêle idées d’extrême droite et arnaques en cascade. Et a ses influenceurs.
Cueillette, chasse, régime paléo, jeûne : l’assiette primitiviste est à la mode. Avant d’« ensauvager » vos menus des fêtes, lisez cet entretien.
Indépendantes de l’État, ces structures décisives dans la gestion de la ressource sont pourtant l’objet de pressions pour financer le lobby agricole.
Pour 30 000 euros, la marque pourrait acquérir une gigantesque masse d’eau près de Béziers. Dans une zone frappée de plein fouet par les sécheresses.
Jusque-là épargné, l’alcool est rattrapé par l’inflation qui plombe nos chariots. Le sacro-saint apéro est-il en train de prendre l’eau ? 🍹😱
Potomanie à la Chambre haute (2/2). Défenseur du stockage de l’eau, l’élu a des billes dans des exploitations qui forent allègrement.
Il est pauvre en gras, riche en protéines et coûte un bras : dans nos frigos, le yaourt islandais fait un putsch qui passe crème.
Les mesures annoncées par Emmanuel Macron oublient l’impact de l’agriculture. Qui représente plus de la moitié de la consommation en France…
Entre sondages opaques et récupération politique, « Les Jours » mettent les pieds dans le plat préféré des Français.
Dans l’œil de la Miviludes depuis 2012, le naturopathe est mis en examen : un tournant historique dans la lutte contre les dérives sectaires.
Un néodiscount qui se veut « collaboratif » déferle sur la France. Une éclaircie en ces temps de prix débridés ? Reportage dans le Gard.
Ennemie jurée de l’agroalimentaire, cette échelle colorée qui note la qualité nutritionnelle d’un aliment va se durcir… Ça va saigner.
La fausse barbaque envahit supermarchés et tables de Noël. Destination : l’estomac des végés, végans et flexis. Une boulette ?
Calmos sur le bio et les produits frais, ruée sur le bas de gamme et les promos… La flambée des prix alimentaires nous reste sur l’estomac.
Éclipsée par d’autres violences, la faim mine les détenus, entre manque de nourriture, cantinage trop cher et plats infects.
Inflation, chèque alimentaire oublié… Quelles conséquences sur l’assiette des plus modestes ? Entretien avec Marie Plessz, sociologue.
Star des cuisines du Moyen-Orient, facile à cultiver et bon pour la santé, le pois chiche s’invente une nouvelle vie en France.
Si le tournesol est en crise, c’est aussi à cause de mauvaises récoltes. Déjà, la France plante pour redevenir autosuffisante. (3/3)
Le barbecue va exploser en France et brûler son image d’activité du dimanche hyper genrée. C’est le maître du gril qui le prédit.
Avec les menaces sur l’huile de tournesol, c’est un joyau de la gastronomie hexagonale qui tremble : la frite. Chaud bouillant. (2/3)
La bouteille se fait rare, son prix flambe : avec la guerre en Ukraine, la géopolitique trouble une fois encore l’huile de tournesol. (1/3)
Un rapport de l’Anses établit pour la première fois le rapport entre les additifs contenus dans la charcuterie et le cancer. Historique.
Il fait mayo, gâteaux et risottos, cartonne depuis les confinements et coûte un rein : « Les Jours » dépiautent l’appareil-star.
Hyper, supérette ou commerce de bouche ? On s’en fout, on veut juste du pas cher, bon, bio, local et de saison : commissions impossibles.
Entre repas équilibrés, plaisir et budget, « Les Jours » enquêtent dans les frigidaires, qui révèlent notre intimité alimentaire.
Négligé par les candidats, le monde agricole, dont le vote s’est déplacé de Valérie Pécresse à Emmanuel Macron, a des revendications.
Polyester, nylon, élasthanne… Avoir une garde-robe déplastifiée n’est pas chose aisée : notre guide pour se saper sans trop polluer.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, nourrir le pays pour une misère.
Doléances. Tous les midis, « Les Jours » partagent un extrait d’un cahier citoyen. Aujourd’hui, le marché et la bibliothèque.
De la couche à la cantine, l’environnement des enfants est pollué. Mode d’emploi pour éviter de les empoisonner.
Emballages, contenants, ustensiles, placards… La grande déplastification estivale continue en cuisine. La traque sera sans merci.
« Débat verrouillé », « postures politiciennes », « greenwashing »… Alors que le texte part au Sénat, la députée écolo a le blues offensif.
Info « Les Jours ». L’ancien ministre va participer à un colloque du lobby des semenciers qui cherche à revoir la définition des OGM.
L’examen du texte s’est clos ce week-end à l’Assemblée. Au menu des derniers débats, repas végétariens et patates chaudes.
Vendre du bio pas cher aux personnes précaires, en pleines crises écologique et sanitaire : c’est le défi d’une épicerie solidaire de Lyon.
Confinés, les Français ont mangé des produits du coin… mais ça n’a pas duré. Aujourd’hui, producteurs et consommateurs ont le blues.
Trop bon et trop sain, l’avocat ? Ou bien trop hype et trop gourmand en eau ? Commis d’office, « Les Jours » font son procès.
Les betteraviers peuvent réutiliser les néonicotinoïdes tueurs de butineuses, interdits en 2018. Le résultat d’un lobbying raffiné.
Même bio, notre petit noir mondialisé déforeste et esclavagise. Au point que certains prônent le retour de la chicorée. What else ?
Sur les cendres d’un conflit autour d’un menu végétarien éclosent des combats populaires, antiracistes, féministes… Ceux de demain ?
Résistante, peu chère… mais cultivée loin et avec des produits toxiques pour la santé et la planète : la banane craint pour sa peau.
Manger de la viande locale, d’accord. Encore faut-il que l’animal ait été tué sur place. Une pratique qui se développe en France.
À coup de com qui fleure bon le terroir, marques et grandes surfaces surjouent la carte du circuit court pour vendre leurs produits.
Symbole de la gastronomie française, nos cucurbitacées vinaigrées ne sont plus du tout locales… Mais des néocornichonneurs résistent.
Pêché en Europe, épluché au Maroc puis renvoyé sur les étals européens : le trajet du crustacé gris est absurde. Bioman le décortique.
Pour soutenir les agriculteurs dans la crise, ils promettaient patriotisme alimentaire et approvisionnement de proximité… Survendu.
De Bruxelles à Paris, industriels en tous genres instrumentalisent la crise pour exiger le report des nouvelles normes.
Le confinement fait exploser les demandes d’aide alimentaire et complique la tâche des associations et services sociaux du département.
Artisanale, locale, IPA… La mode est à la petite bière du coin. Mais comment la produire quand l’industrie monopolise le houblon ?
Qu’il soit d’élevage ou sauvage, le poisson que l’on pose sur nos sushis pollue, est pollué, et n’est pas, mais alors pas du tout local.
Dans sa nouvelle enquête, Bioman sonde les circuits courts : qu’est-ce que ça change de consommer local ? Premier épisode : l’eau.
« Crevés », « vidés » ou « épuisés » ? La fatigue n’ayant pas de synonyme, la raconter passe par des expressions qui nous trahissent.
Le Conseil de l’Europe dénonce une opacité à la française entre lobbyistes et exécutif. De vrais garde-fous se font toujours attendre.
L’agrochimie refuse de durcir les tests pour protéger les abeilles. Mais son lobbying a été largement rejeté au Parlement ce mercredi.
Voté par les députés, l’accord de libre-échange avec le Canada est le fruit d’un travail de pression des grands groupes entamé en 1998.
Acheter sans emballage, c’est mieux pour la planète et nos finances… sauf dans la grande distribution. Une nouvelle enquête de Bioman.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une disparition en mer.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, deux romans de solitude.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un document explosif.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un film nord-irlandais.
Cuisiner une fois le week-end pour toute la semaine : les adeptes du « batch cooking » veulent manger mieux tout en gagnant du temps.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une étude explosive.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un cruel effet domino.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un poisson nous quitte.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un séisme dans la chaîne alimentaire.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, menace dans les tasses.
En 2018, nos menus de fête sont encore cuisinés à l’huile de palme. Bravo à l’agroalimentaire, aux pays producteurs et à nos élus…
Légumes en bouillie, abats dégueus : Bioman a demandé à un chef de vous réconcilier avec vos plats détestés de la cantoche.
Avec sa brique à 87 centimes, l’enseigne casse les prix du bio. Risqué, selon l’enquête que « Les Jours » ont menée dans la filière.
Dis Bioman, que choisir pour respecter l’environnement, les producteurs, le goût et notre santé ? Attention, ça va trancher.
On mange mal et on gaspille trop dans les réfectoires, mais le bio s’implante doucement dans les assiettes des enfants.
Un brie de Meaux AOP prétendument fabriqué en Espagne ? Le Bioman des « Jours » a enquêté sur une rumeur qui ne sent pas bon.
Notre enquêteur du bien manger a la solution à tous vos problèmes d’assiette. Relax, il va calmer vos angoisses. À moins que…
Fraises AB ? Tomates de supermarché ? Qui c’est les meilleures ? Évidemment, c’est les rouges. Voici notre Coupe du Monde des fruits.
Ballonnements ? Problèmes digestifs ? Le gluten a une tête de coupable idéal. Les industriels ne s’y sont pas trompés…
Recettes miracles et conseils chelous… Les sites alternatifs sur l’alimentation cartonnent. Mais leurs infos sont en carton.
Notre enquêteur du bien manger pensait rapporter du salon bio Naturally des fruits à tomber. Las, il n’a récolté que des chamans.
Cet ancien légume oublié a investi les assiettes des adeptes du bien manger. Au point de devenir un marqueur social.
Glyphosate, bien-être animal, publicité… Le texte adopté en première lecture ce mercredi porte la marque des groupes d’influence.
Vous voulez faire oublier des licenciements ou le contenu réel de votre rayon légumes ? Vantez donc le bien manger !
Notre enquêteur du bien manger se penche sur ces fruits et légumes anciens qui reviennent à la mode dans les rayons bios.
SOS bien manger, bonjour ! Oui, il y a trop de logos. Oui, il y a plein d’arnaques… Heureusement, il y a le guide des « Jours ».
Bio, sain, responsable… Le bien manger est une sacrée angoisse pour le consommateur et un juteux business pour les industriels.
Difficile de se nourrir boulevard de Metz, à Lille, où on manque d’argent et de magasins. Les Restos du cœur, eux, font le plein.
Dans la guerre contre les biberons, les seins ont gagné par K.-O., sur fond d’études, de réglementations et de pression sociale.
La sprinteuse s’élance ce samedi sur la piste des championnats du monde à Londres. Elle raconte aux « Jours » la course idéale.