Touchés par des frappes israéliennes à Khan Younès, Azza et ses fils se sont réfugiés dans la capitale libanaise désormais visée par Tsahal.
Touchés par des frappes israéliennes à Khan Younès, Azza et ses fils se sont réfugiés dans la capitale libanaise désormais visée par Tsahal.
Un an de guerres. Dentiste, S. a permis l’identification de cadavres via leur empreinte dentaire. Au lendemain du 7 Octobre et à Gaza, où il a été blessé.
Après l’attaque aux bipeurs, l’État hébreu a bombardé des sites du Hezbollah, qui riposte avec des tirs de roquettes. Le Moyen-Orient s’embrase.
La mort de six otages a attisé la colère des Israéliens envers Netanyahou, tandis que l’armée menait une offensive sanglante en Cisjordanie.
Le 7 Octobre, le fils de cette Israélo-Américaine a été enlevé par le Hamas. Depuis, elle se bat pour lui et tous les otages. Et pour tous les civils.
La frappe israélienne sur le camp de Baraksat à Rafah a fait 45 morts et suscité une vague de condamnations. Mais l’État hébreu poursuit sa guerre.
L’un est Israélien, l’autre Palestinien. Les deux ont perdu une fille et militent pour la paix. Entretien croisé avec Rami Elhanan et Bassam Aramin.
Premières victimes de l’armée israélienne, les enfants gazaouis vivent l’horreur entre traumatismes, malnutrition et risques de maladies.
Cent jours de guerre (2/2). Or S. a réchappé du festival visé par le Hamas, puis a poursuivi son service militaire. Jusqu’à pénétrer dans Gaza.
Cent jours de guerre (1/2). Asma Abu Syam, 42 ans, professeure de français à Gaza City, raconte les jours et les nuits depuis le 7 octobre.
Les cent vies de Bibi. Sûr de son destin, de sa force, de sa rectitude morale… Israël a-t-il été aveuglé par son invincible Premier ministre ?
Les cent vies de Bibi. Entré en politique après un drame familial, le Premier ministre israélien se voit en leader quasi messianique du sionisme.
48 jours après, les premiers otages israéliens ont été relâchés et les Gazaouis vont avoir un peu de répit. Mais la donne du conflit n’a pas changé.
Les cent vies de Bibi. L’indétrônable Premier ministre israélien a perdu le peu de crédit politique qu’il lui restait. Et c’est de sa faute.
L’opération terrestre israélienne à Gaza a commencé ce vendredi soir. Les habitants, eux, s’enfoncent un peu plus dans l’horreur et le chaos.
La maigre aide humanitaire ne change rien au sort des Gazaouis. Malgré l’intervention américaine, les frappes israéliennes s’intensifient.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, Dominique Bernard, les profs et les beaux discours.
L’assassinat de Dominique Bernard relance le débat sur l’illusoire prévention totale du crime et les supposées failles de la loi.
Depuis le 7 octobre 2023 et les attaques du Hamas qui ont durement frappé Israël, les Palestiniens subissent la vengeance de l’État hébreu.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, regardez, regardez, regardez !
Après dix mois d’audience, le verdict : perpétuité incompressible pour Abdeslam et des condamnations plus mesurées pour les autres accusés.
Ce vendredi, les avocats de Salah Abdeslam ont tenté de montrer qu’il avait évolué tout au long du procès. Verdict le 29 juin.
Le parquet demande la perpétuité pour Salah Abdeslam et de la prison ferme pour tous ceux dont la responsabilité reste trouble.
Questions d’argent, divergences d’analyse, flou autour de leur rôle dans un tel procès… Les avocats des victimes sont appelés à la barre.
Mères, frères, proches… Ils ne sont pas assez impliqués pour être jugés par la cour d’assises spéciale, trop pour ne pas l’être du tout.
Le seul survivant du commando de tueurs a donné pour la première fois sa version du soir du 13 Novembre, qui minimise son implication.
Participant zélé au 13 Novembre et à ses préparatifs, il a, dans une de ses rares réponses, assuré avoir désactivé son gilet explosif.
Le survivant du 13 Novembre et président de Life for Paris prône la résilience sans haine et veut faire rentrer les enfants de jihadistes.
Le grand ami de Salah Abdeslam aurait pu éclairer la cour sur les derniers préparatifs du 13 Novembre… Las, il est détenu en Turquie.
Pour son premier interrogatoire, il a plaidé qu’il n’avait pas de sang sur les mains, sans renier son soutien à l’État islamique.
Leurs compagnes les ont suivis, quittés ou ne savaient rien : les histoires sentimentales des accusés émaillent le procès du 13 Novembre.
Radicalisation, voyage en Syrie, mystérieux séjour anglais : ce personnage-clé des attentats de Paris et Bruxelles a fait face aux juges.
Parents, frères et sœurs des kamikazes doivent composer entre la culpabilité, le deuil et la suspicion, parfois justifiée, de la cour.
Au fil du procès du 13 Novembre apparaissent les loupés de la police belge, qui a croisé la route de plusieurs des terroristes.
En parallèle de sa propagande hollywoodienne, l’État islamique a développé une sidérante obsession bureaucratique.
De 2013 à 2015, Samy Amimour, Foued Mohamed-Aggad et Ismaël Omar Mostefaï ont gravi les échelons au sein de l’État islamique.
Entendu comme témoin, François Hollande s’est employé à contester toutes les accusations de « failles » de l’action de l’État.
Son nom résonne à la cour qui, depuis mardi, retrace le parcours des assaillants. Six ans après, la commune belge tente de se réinventer.
Pour surmonter le traumatisme, beaucoup de rescapés du 13 Novembre ont eu besoin d’aide, de la psychiatrie traditionnelle à l’EMDR.
Six des otages retenus par Foued Mohamed-Aggad et Ismaël Omar Mostefaï ont livré un récit brutal, émaillé de moments irréels.
Les rescapés et proches de victimes du 13 Novembre continuent de se reconstruire peu à peu. À la barre, ils racontent leur vie d’après.
Cette étude transdisciplinaire scrute les souvenirs de survivants, de proches, d’habitants des quartiers visés… Mais aussi leur psychisme.
À partir de ce mardi et pendant cinq semaines, plus de 300 victimes vont prendre la parole au tribunal. Et raconter leur vendredi 13.
À l’audience, le commissaire de la BAC et le patron de la BRI ont fait le récit de l’intervention des policiers le soir du 13 Novembre.
Certains avocats de victimes accusent la police et le renseignement de n’avoir pas su prévenir l’attentat du 13 Novembre.
Les avocats des vingt accusés du 13 Novembre font parfois face à l’incompréhension. La défense est pourtant un droit et une nécessité.
La France craint que le retour au pouvoir des talibans n’attire de nouveau les radicalisés, comme dans les années 1990-2000.
Détenus en Syrie, 200 à 300 enfants attendent un rapatriement vers la France qui suscite l’hostilité. Pourtant, la réinsertion fonctionne.
Depuis 2015, la justice s’est durcie au point de prendre des décisions arbitraires envers ceux qu’elle considère comme des « velléitaires ».
S’appuyant sur le profil de l’assaillant de Rambouillet, un énième texte antiterroriste consacre la surveillance de masse indifférenciée.
Opération Serval, opération Barkhane… Depuis 2013, Paris a fait le choix de poursuivre une guerre mouvante et sans issue. Un piège.
La radicalisation de Français issus de la classe moyenne blanche déroute les spécialistes et la justice antiterroriste.
Condamné fin 2020, ce chômeur était un cadre de l’organisation… depuis son canapé. « Les Jours » enquêtent sur les nouveaux jihads.
La cour n’a retenu le terrorisme que pour quatre des onze accusés présents, soulignant les faiblesses de l’accusation.
Les avocats de la défense ont combattu l’accusation de « terrorisme », qui fait peser de lourdes peines sur les accusés.
L’avocat historique de « Charlie », Richard Malka, a marqué la fin du procès par une plaidoirie en faveur de la liberté d’expression.
Caricatures, Samuel Paty, tensions diplomatiques, Covid-19… L’audience aux multiples effets collatéraux reprend ce mercredi.
Ni les années d’enquête, ni les audiences n’ont permis de savoir comment les deux frères ont préparé l’attaque de « Charlie Hebdo ».
Face au revirement de Jean-Michel Blanquer, le lycée Mounier a décidé de passer outre les instructions pour son hommage à Samuel Paty.
Quinze jours après le meurtre de Samuel Paty, l’attentat de jeudi s’inscrit dans un contexte de tensions grandissantes sur l’islamisme.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, Samuel Paty et la liberté d’expression des larmes.
La question de la radicalisation traverse l’assassinat de Samuel Paty aussi bien que le procès des attentats de janvier 2015.
Au lycée où « Les Jours » sont installés, les profs disent leur désarroi et leur sentiment d’abandon après le meurtre de Samuel Paty.
Le plus vieil assigné à résidence de France vient d’être déplacé à Aurillac. Et reste suspendu aux décisions des autorités.
À Caen, des neuroscientifiques étudient les mécanismes du souvenir et des traumatismes chez les victimes du 13 Novembre.
Replay. Trois ans jour pour jour après les attentats de Paris, revivez l’émission live des « Jours ».
Sylvain Antichan étudie des groupes ou communautés particulièrement touchés par les effets du terrorisme.
Sarah Gensburger documente la mémoire du 13 Novembre dans la rue et dans les discussions, en sociologue et en voisine du Bataclan.
Le sociologue Gérôme Truc étudie les messages commémoratifs du 13 Novembre pour cerner ce que les attentats provoquent en nous.
Le projet pluridisciplinaire Matrice enregistre et analyse les souvenirs des victimes du 13 Novembre.
Le monde de la recherche s’est emparé des attentats du 13 Novembre pour analyser ce qu’est le terrorisme et ce qu’il nous fait.
Jugement. Où la présidente explique pourquoi le tribunal relaxe presque tout le monde, et où l’affaire de Tarnac s’achève.
Jour 13. Où l’avocat Jérémie Assous envoie un ultime scud au procès-verbal de filature, et où les prévenus ont le mot de la fin.
Jour 12. Où l’avocate d’Yildune Lévy avance une explication inédite sur l’emploi du temps des policiers le soir de la filature.
Jour 11. Où le procureur demande que tous les prévenus soient reconnus coupables… mais qu’aucun ne soit (r)envoyé en prison.
Jour 10. Où on reçoit une lettre de Polynésie et où un journaliste fait parler les politiques et policiers qui ne sont pas venus.
Jour 9. Où le « groupe de Tarnac » raconte la violence des interpellations, et où surgit « L’Insurrection qui vient ».
Jour 8. Où le tribunal se déplace en Seine-et-Marne, sur les lieux du sabotage, dans une joyeuse ambiance de sortie scolaire.
Jour 7. Où les agents qui ont suivi Julien Coupat et Yildune Lévy défendent, anonymement, leur filature et leur procès-verbal.
Jour 6. Où l’on débat d’un étrange éleveur de chèvres qui a chargé anonymement Julien Coupat, mais l’a blanchi à visage découvert.
Jour 5. Où l’ex de Julien Coupat pensait tenir un alibi grâce à sa carte bleue et où l’on plonge dans les eaux troubles de la Marne.
Jour 4. Où l’on débat de la virée en voiture de Julien Coupat et Yildune Lévy, suivis par la police, le soir du sabotage.
Jour 3. Où l’on discute sabotage et piste allemande. Et où l’on constate que l’ambiance entre défense et accusation vire électrique.
Jour 1. Où l’on apprend que les policiers antiterroristes témoigneront anonymement et que le tribunal ne fournit pas de goûter à Julien Coupat.
Jeudi, à trois jours du premier tour de la présidentielle, un policier a été tué dans une attaque revendiquée par l’État islamique.
Depuis qu’il a été assigné à résidence, Sofiyan I., condamné pour terrorisme, a dû abandonner son bracelet électronique.
Huit ans après les sabotages, la Cour de cassation a tranché ce mardi : l’affaire de Tarnac n’est plus du terrorisme.
Le parquet antiterroriste de Paris a ouvert une enquête, comme pour chaque attentat commis à l’étranger faisant des victimes françaises.
« Les Jours » publient les chiffres de l’apologie du terrorisme en 2015 : la moitié des peines étaient assorties de prison ferme.
Trois hommes étaient jugés en début de semaine à Paris pour un séjour en Syrie en 2013. Parmi eux, un ancien soldat.
Depuis cinq ans, Kamel Daoudi était assigné à résidence dans le Tarn. Dimanche, il a été déplacé à 500 kilomètres de sa famille.
Amateur de vidéos de l’État islamique et bipolaire, Kévin était jugé à Lille lundi. Il a écopé d’une contrainte pénale.
En France, tous les condamnés pour terrorisme sont suivis par un juge spécialisé. Jusqu’au 29 août, il était tout seul.
Assigné à résidence depuis huit ans, Kamel Daoudi a fait l’objet d’une perquisition administrative le 30 septembre.
Journal de bord du XIe. Depuis le 13 novembre, Sophie et Nour sont traversées, malgré elles, par des préjugés racistes.
Journal de bord du XIe. À Alger, enfant, le terrorisme l’a traumatisée. À Paris, elle ne dort plus depuis le 13 novembre.
Journal de bord du XIe. Le gouvernement a détaillé ses mesures pour protéger les élèves. Une démarche déjà amorcée à Paris.
Après Saint-Étienne-du-Rouvray, entretien avec la chercheuse Vanessa Codaccioni, qui étudie l’antiterrorisme et les crimes politiques.
L’attentat de Nice a bouleversé le calendrier de l’état d’urgence, dont une quatrième prolongation a été votée ce mercredi.
Trois jours après l’attentat qui a coûté la vie à 84 personnes, Nice est en vacances et en deuil.
Anne et Olivier sont vacanciers, Guillaume est policier. Ils racontent leur 14 Juillet sur la promenade des Anglais, à Nice.
Jeudi soir, un camion a foncé dans la foule à Nice. Au moins 84 personnes sont mortes dans l’attaque.
Journal de bord du XIe. Des chercheurs recueillent le témoignage d’un millier de victimes et de riverains des attentats.
Sophie était en terrasse du Bataclan le 13 novembre ; elle se découvre victime de guerre.
Les deux assignés à résidence suivis par « Les Jours » sont libres de leurs mouvements depuis deux mois.
Journal de bord du XIe. Dans le quartier des attentats parisiens, Bruxelles est venue raviver les peurs.
Malgré le soulagement, Sophie, au café du Bataclan le 13 Novembre, voit ses peurs ressurgir. Dimanche, elle confiait avoir peur des représailles.
Les Républicains ont rivalisé de propositions pour durcir le projet de loi antiterroriste Urvoas.
L’état d’urgence se poursuit mais pas pour le maçon grenoblois dont l’assignation à résidence vient d’être levée.
La loi discutée à partir d’aujourd’hui accroît les pouvoirs du préfet et du procureur. Au nom de l’efficacité.
Ils avaient repéré un fusil d’assaut et des hommes intrigants. Ils s’en sont inquiétés après les attentats.
Sophie a rejoint le groupe Facebook des victimes et familles du 13 Novembre. Sans savoir si c’est sa place.
Colère et tenace, Laurence Blisson, du Syndicat de la magistrature, bataille contre les lois sécuritaires.
Assignés. Vendredi, Vincent demandait au tribunal administratif la levée de son assignation à résidence. Sans illusions.
Les députés ont voté la prolongation de l’état d’urgence. Brahim et Vincent, assignés à résidence, voient le retour de leur liberté s’éloigner.
Soupçonné à tort de détenir des armes de guerre, ce Grenoblois pointe trois fois par jour au commissariat depuis deux mois.
Journal de bord du XIe. Sortir, travailler, penser, l’impensable retour du quotidien.
Journal de bord du XIe. Au lendemain des attentats, le quartier du Bataclan est bouclé.