
Nouvelles séries, nouvelle récompense, nouvelle recrue et oursons en guimauve : voici l’épisode 44 des « Dessous des “Jours” ».
Nouvelles séries, nouvelle récompense, nouvelle recrue et oursons en guimauve : voici l’épisode 44 des « Dessous des “Jours” ».
Cet ouvrier du BTP s’est effondré au moment où son entreprise commençait à raser son bidonville, Talus 2. Il y avait élevé ses sept enfants.
Le terminal ferry, c’est là où tout a commencé : les tentatives de traversée de la Manche, les décès et la bunkérisation de la ville.
L’opération Wuambushu a commencé ce lundi matin à Talus 2. Récit de l’intérieur des dernières heures avant, des premières heures après.
Se revendiquant du combat « Mayotte la française », le mouvement, volontiers xénophobe, mène des actions radicales contre les étrangers.
Depuis 1999, la frontière franco-britannique tue et tue encore. « Les Jours » remontent le fil d’un carnage silencieux et éminemment politique.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui, le gouvernement se soumet à notre grand jeu de culture générale…
Entre résistance de certains bidonvilles et impatience d’une partie des Mahorais, les débuts de l’opération d’expulsion sont chaotiques.
L’« opération d’ordre public » de Darmanin entend d’abord expulser des sans-papiers. Dans le bidonville de Kawéni, on tremble.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui, extrémistes à cravate et racistes inclusifs.
Ces deux Sénégalais ont pris la mer, bravé la mort pour atteindre les Canaries. Au bout de la route, peut-être, un travail sur le continent.
Depuis fin 2020, les sauveteurs en mer des Canaries secourent toujours plus de pirogues. À bord, tous les migrants n’ont pas survécu.
Les migrants sénégalais voient les îles comme une étape, leur porte d’entrée en Europe. Mais elles sont souvent une prison à ciel ouvert.
Comme les Ukrainiens après eux, les Afghans suivis par « Les Jours » ont rapidement obtenu le statut de réfugiés. Une exception.
Au Sénégal, le désir d’Europe n’est pas récent. Demba Sy est parti en 1968, a fait sa vie en France et est rentré quarante ans plus tard.
Longtemps expatrié au Japon, ce quinquagénaire est revenu créer un verger luxuriant. Et espère ainsi décourager les candidats au départ.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, Super-universaliste et les réfugiés ukrainiens.
Ce cuisinier a pu investir dans son village du Sénégal grâce à sa carte de séjour française. Un sésame inaccessible aux plus jeunes.
Dans la vallée du fleuve Sénégal, l’argent des émigrés en France financent puits, écoles et dispensaires pour les habitants du coin.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, les goélands vous souhaitent plein de chips.
Ibrahima, taxi, connaît la précarité des immigrés en Europe : ses frères et sœur ont pris la mer. Son avenir à lui est au Sénégal.
Doudou Faye vivait près d’un centre de formation rutilant, mais réservé à quelques élus. Il est mort sur la route de son rêve européen.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, Emmanuel, Gérald et le plein de décence.
Le poisson se raréfie ? Ces pêcheurs sénégalais ont d’eux-mêmes réduit leurs prises. Pour leur futur et pour empêcher les départs.
Comme beaucoup de Sénégalais, le fils de Seynabou Dieng rêvait d’une vie meilleure en Europe. Il est parti, mais la réalité l’a rattrapé.
Pendant que les pêcheurs de ce port du Sénégal prennent la mer pour rejoindre l’Europe, les femmes tentent de vivre du poisson.
Comme tant de Sénégalais, Lémou Ndiaye a pris une pirogue pour les Canaries. Mais ça ne s’est pas passé comme il l’avait rêvé.
Dans ce port du Sénégal, l’activité n’est plus rentable. Alors les fils montent sur des pirogues pour les Canaries. Comme Doudou Faye…
De plus en plus de Sénégalais prennent cette route pour rejoindre l’Europe. Beaucoup y meurent, tel Doudou. Il avait 14 ans.
Pluie de scoops, titres foudroyants, nouvelles séries tempétueuses… « Les dessous des “Jours” », épisode 20.
Pour vendre ses systèmes de surveillance aux confins de l’UE, le géant use de son influence. Indirectement, discrètement, efficacement.
De Calais à Algésiras, l’entreprise met ses technologies au service de la politique antimigratoire de l’Europe, contre de juteux contrats.
Que sont-ils devenus ? Des étudiants-ingénieurs ont créé des applis afin d’aider le CICR à identifier les migrants morts en Méditerranée.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, le 25 décembre d’enfer de Marlène et Gérald.
Les images de l’évacuation d’un camp à Paris ont choqué. Mais à Calais, cette brutalité est le quotidien des exilés. Témoignages.
À Paris, des exilés violentés, des journalistes molestés, un Darmanin faussement choqué, l’article 24 voté… Et quelles responsabilités ?
L’agriculteur et les habitants de la vallée se relèvent peu à peu de la tempête Alex. Et tentent tant bien que mal d’aider les migrants.
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Témoignage. Soignants, enseignants, employés, ils racontent leur vie déconfinée. Laure Wolmark, du Comité pour la santé des exilés.
Témoignage. Soignants, enseignants, employés, ils racontent leur vie confinée. L’instit François-Régis Croisier, alias Pain-Noir.
Témoignage. Soignants, enseignants, employés, ils racontent leur vie sous coronavirus. Vanessa, psychologue clinicienne en Île-de-France.
Témoignage. Soignants, enseignants, employés, ils racontent leur vie confinée. Laure Wolmark, du Comité pour la santé des exilés.
Que sont-ils devenus ? Tout change et rien ne bouge. Entre deux gardes à vue, l’agriculteur a créé chez lui une communauté Emmaüs.
Notre campagne de recrutement d’abonnés s’achève le 31 octobre. Nous avons un mois pour assurer notre pérennité. Avec vous.
Un site de la Croix-Rouge aide les migrants à localiser leurs proches perdus sur la route de l’exil. C’est l’histoire de Sara et son mari.
À la Cour nationale du droit d’asile, les recours ont explosé, les délais ont été raccourcis… et les agents serrent les dents.
Si l’Ofpra les a déboutés, les migrants peuvent encore faire appel à la Cour nationale du droit d’asile. Une juridiction surchargée.
Face à la violence des récits des migrants et à la dureté de l’Office, les agents ont le choix entre s’endurcir… ou démissionner.
La série de Taina Tervonen sur les traces des migrants morts en Méditerranée sort ce mercredi aux éditions Fayard.
Traiter les demandes d’asile à l’Ofpra, une drôle d’idée ? Des agents dévoilent leurs motivations, la formation… et ses carences.
« Les Jours » ont eu accès à la feuille de route ultrasecrète des entretiens avec les demandeurs d’asile russes.
Serge travaille à l’Ofpra, qui reçoit les demandes d’asile des migrants. Et décide, ou pas, de leur accorder une protection.
Autour du Demie, qui évalue la minorité des migrants reçus, la violence est partout, larvée ou explicite. Parfois jusqu’au drame.
Aminata et Marion racontent le quotidien au Dispositif d’évaluation des mineurs étrangers, les parcours des jeunes et les leurs.
Le Demie est chargé d’évaluer si les migrants reçus sont bien mineurs. Une responsabilité énorme et un système critiqué par les assos.
Après deux heures d’entretien avec Ousmane, qui assure être mineur, Marion s’apprête à dire au jeune Malien si elle le croit.
Marion doit déterminer si les migrants qu’elle reçoit sont bien mineurs. L’enjeu est crucial. Aujourd’hui, elle « évalue » Ousmane.
Depuis 1988, les plages du sud de l’Espagne voient des cadavres. Cette année, la route est redevenue la première pour les migrants.
Alors que l’Europe n’en finit plus de fermer ses frontières, Ousman, comme tant d’autres, continue de rêver à l’exil.
Papa Bouron, Vieux Camara et Vieux Sylla ont pris la route ensemble depuis le Sénégal. Ils ont péri dans le même chalutier bleu.
Le village des disparus (4/4). Parti du Sénégal, il devait monter à bord du chalutier bleu qui a coulé le 18 avril 2015.
Le village des disparus (3/4). À Kothiary, au Sénégal, notre journaliste a retrouvé les proches de migrants morts en Méditerranée.
Le village des disparus (2/4). À Kothiary, au Sénégal, notre journaliste a retrouvé les familles de migrants noyés en Méditerranée.
Le village des disparus (1/4). À Kothiary, au Sénégal, notre journaliste a retrouvé les familles de migrants morts en Méditerranée.
Notre journaliste arrive au Sénégal, d’où sont originaires de nombreux migrants morts en Méditerranée.
Laurent Hazgui, photographe de notre série « Les disparus », raconte son reportage au Niger sur les traces des migrants.
ADN, algorithmes, reconnaissance faciale… José Pablo Baraybar, légiste, cherche à rendre leurs noms aux noyés en Méditerranée.
Les routes de la migration tuent, bien avant la Méditerranée. Au Niger, le Sahara est un cimetière de corps anonymes.
Dans un « ghetto », un foyer de migrants au Niger, il y a Issa, Yahya, Barry… Ils arrivent, ils reviennent. Tous sont coincés.
Refoulés d’Algérie, rescapés de l’enfer libyen… Les organisations internationales décident de leur sort aux confins du Sahel.
Au Niger, notre journaliste croise la route d’une Nigériane prête à mourir pour que ses deux filles rejoignent l’Europe.
Au Niger, notre journaliste rencontre ceux dont l’activité lucrative est devenue hors la loi : les passeurs.
À 19 ans, Ousman Gaye a tenté de franchir la Méditerranée deux fois. Deux fois, il a fini en prison. Alors il rentre en Gambie.
Notre enquête sur la trace des migrants morts en mer passe par le Niger, nouveau pays de transit pour les candidats à l’exil.
L’UE a attendu les milliers de morts de migrants de l’été 2015 pour réagir… en fermant ses portes. À Lesbos, on n’oublie pas.
Pour identifier les migrants morts en mer, l’ADN est la donnée la plus fiable. Mais aussi la plus sensible.
À Rome, Vittorio Piscitelli tente, avec l’aide de la Croix-Rouge, de retrouver les familles des migrants naufragés.
L’épave est remontée du fond de la Méditerranée. En Italie, 675 cadavres de migrants doivent être identifiés par Cristina Cattaneo.
Dans le podcast « Les Jours, le making of », Taina Tervonen raconte comment et pourquoi elle cherche à identifier « PM390047 ».
18 avril 2015, 800 migrants périssent en mer. « Les Jours » ont remonté la piste de ces anonymes. Une enquête exceptionnelle.
Voisins, extrémistes de droite et macronistes… Les adversaires de l’agriculteur qui aide les réfugiés repassent à l’attaque.
Absurdité de la loi : lundi, un chercheur est condamné pour avoir aidé des migrants. Mardi, Herrou est placé en garde à vue.
En attendant l’asile tant espéré, ces Soudanais arrivés par la vallée de la Roya se construisent une vie en France.
Les bénévoles de la Roya doivent se débrouiller pour nourrir chaque jour des centaines de migrants coincés en Italie.
Depuis Vintimille, en Italie, les migrants tentent et retentent le passage en France, où ils sont sans cesse refoulés.
Découragés par la pression des autorités et l’ampleur de la tâche, les habitants de la vallée qui aident les réfugiés doutent.
Cédric Herrou s’explique : « J’ai vu des gens en difficulté dans la vallée, j’ai réagi. » Bilan : quatre mois avec sursis.
Le durcissement des mesures contre les migrants satisfait les militants d’extrême droite qui s’agitent contre leur présence.
Tour de vis dans la vallée de la Roya : 250 migrants ont été interpellés et Cédric Herrou a été placé en garde à vue.
Un havre de paix. Une fois sur les terres de Cédric Herrou, les migrants venus d’Italie ne sont pas reconduits à la frontière.
Deux jours après la qualification de Marine Le Pen, la famille syrienne paraphait son « contrat d’intégration républicaine ».
La Syrie, la Grèce, la France… Les Jaamour vont devoir quitter Saint-Nazaire, où ils commençaient à prendre leurs marques.
Les membres de la famille syrienne ont enfin été reconnus comme réfugiés et pourront rester dix ans en France.
Mardi, les Jaamour sont arrivés à Saint-Nazaire. Pour cette famille qui a fui la Syrie, c’est la fin du périple.
Les Jaamour découvrent enfin le nom de la ville de l’Hexagone où ils vont être relocalisés. Départ ce mardi.
Universitaires et réalisateurs se sont retrouvés la semaine dernière au festival de Douarnenez, consacré au cinéma turc.
Le gouvernement grec a organisé une université d’été pour une vingtaine d’étudiants réfugiés dont l’aîné des Jaamour.
La famille était très aisée en Syrie ; réfugiée en Grèce depuis six mois, elle doit désormais compter le moindre sou.
L’universitaire Maya Arakon est, comme beaucoup de Turcs, victime de la purge qui suit le putsch raté. Elle a choisi de s’exiler.
Les Jaamour doivent être accueillis en France. Comme tous les réfugiés, cette famille syrienne a dû passer des entretiens poussés.
Houmam, le premier des Jaamour à avoir fui la Syrie, s’inquiète : il est réfugié en Allemagne, sa famille pourrait s’installer en France.
Les Jaamour ont reçu une offre de « relocalisation » en France, mais la procédure n’est pas terminée pour la famille syrienne.
Le deuxième des enfants de la famille a quitté la Syrie le premier et a gagné l’Allemagne. Voici le récit de son périple.
Réfugiés temporaires (6/6). L’État va installer 27 000 Syriens sur les terres de 3 000 alévis, qui craignent d’être chassés.
Réfugiés temporaires (5/6). Dans cette ville balnéaire turque, les Syriens sont tolérés tant qu’ils se tiennent loin.
Les Jaamour, réfugiés syriens, font tant bien que mal le ramadan en Grèce. Pendant ce temps, les néonazis d’Aube dorée rôdent.
Réfugiés temporaires (4/6). Les Turcs des villes du Sud-Est accueillent l’afflux massif de Syriens avec méfiance, parfois violence.
Réfugiés temporaires (3/6). Sous-payés, mal-logés, parfois victimes de violences, les Syriens survivent dans une Turquie dépassée.
Réfugiés temporaires. À Gaziantep, où vivent 325 000 Syriens, beaucoup d’enfants travaillent pour un salaire de misère.
Réfugiés temporaires. « Les Jours » entament une série consacrée aux réfugiés syriens en Turquie. Parmi eux, des enfants au travail.
Des universitaires, réprimés par Erdogan et contraints à l’exil, témoignent ce mercredi soir à Paris.
Les Jaamour souhaitent être relocalisés dans l’UE. Mais où ? « Les Jours » ont assisté aux entretiens qui en décideront.
Les Jaamour attendent un rendez-vous avec le service d’asile grec… en vidéo et sur un ordinateur pris d’assaut.
S’appuyer sur le HCR ? Miser sur la relocalisation ? Que faire pour qu’Athènes ne devienne pas un cul-de-sac ?
À la mi-mars, les Jaamour ont vu passer Angelina Jolie et s’évanouir l’espoir d’un accord sur les réfugiés.
Stand-by au terminal E1 du Pirée. La famille de réfugiés syriens tue le temps et désespère de rejoindre l’Allemagne.
Tammam, ses frères et ses parents ont quitté la Syrie pour l’Allemagne, mais ils sont bloqués à Athènes. « Les Jours » suivent leur épopée.