
Investi ce mercredi, le nouveau Président a la tâche colossale de réparer un pays meurtri par quatre ans de trumpisme.
Investi ce mercredi, le nouveau Président a la tâche colossale de réparer un pays meurtri par quatre ans de trumpisme.
Ignoré des autorités, un outil permet de mesurer les risques liés au Covid dans les salles. « Les Jours » le sortent des coulisses.
Info « Les Jours ». Le monde de la culture va contester la mesure devant le Conseil d’État. Comme l’Église, qui avait eu gain de cause.
Moins de dates, plus d’échanges avec le public : les salles inventent de nouvelles formules, comme L’Autre Canal, à Nancy.
En pleine relance malgré le Covid, les lieux culturels déplorent le couperet de 21 heures qui leur rend la vie impossible.
Malgré le Covid, le festival rennais aura bien lieu, masqué. Une exception. « Les Jours » racontent la lutte du live, au premier rang.
« Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise et l’après-confinement. En accès libre.
Le candidat démocrate a fait le choix, historique mais attendu, de cette sénatrice noire de 55 ans pour être sa colistière.
Le dogme néolibéral continue de dicter la gestion gouvernementale de l’après-Covid, analyse l’économiste David Cayla. Entretien.
« Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise et l’après-confinement. En accès libre.
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Trois mois de Covid, un an de manifs, vingt d’économies… Le plan qui sortira des consultations lancées ce lundi sera-t-il à la hauteur ?
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Privés de live, les musiciens réclament un revenu décent aux plateformes et aux labels. Une brise de révolte souffle sur le secteur.
Le 11 mai, tout le monde dehors, mais par département… et que personne ne bouge ! Ce mardi, Édouard Philippe a joué à l’équilibriste.
Comme le gouverneur de la Banque de France, les tenants de la rigueur tentent d’imposer leur agenda pour le monde d’après. Insensé.
La mise en pause des concerts et festivals met en péril toute une économie, mal servie par les annonces incertaines du gouvernement.
Tout au long de l’épidémie, « Les Jours » rassemblent les informations essentielles sur le coronavirus. En accès libre.
Minés par la réforme du calcul des droits, les voilà assommés par la fermeture des agences Pôle emploi et inégaux face au numérique.
Témoignage. Soignants, enseignants, employés, ils racontent leur vie confinée. L’instit François-Régis Croisier, alias Pain-Noir.
Malgré l’épidémie, le président a tenu à ce que la primaire démocrate du Wisconsin se tienne ce mardi. Insensé ? Non, calculateur.
Testé positif au coronavirus, il était en soins intensifs depuis ce lundi. Le pays est dans l’attente ; le pouvoir, dans le flou.
Bien sûr, ils sont essentiels. Bien sûr, leurs boîtes prennent des mesures. Mais face à l’épidémie, ils bossent la boule au ventre.
Un souci présidentiel, le coronavirus ? Plutôt l’occasion de renforcer un projet radical, probusiness et antiprogressiste.
Sans stocks et sans stratégie, les politiques et les autorités sanitaires brillent par leur inconséquence sur le dépistage.
Malgré la « modération » demandée par l’exécutif, le groupe pétrolier verse 1,8 milliard d’euros de dividendes à ses actionnaires.
Tout au long de l’épidémie, « Les Jours » rassemblent les informations essentielles sur le coronavirus. En accès libre.
Sommes-nous à l’orée d’une récession mondiale de type 1929, comme le prévoit Bruno Le Maire ? Non… sauf si le confinement dure.
Entre le télétravail, les enfants et les infos, les plateformes sont désertées. « Les Jours » dévoilent les chiffres du crash.
Témoignage. Soignants, enseignants, employés, ils racontent leur vie confinée. Thomas, employé d’un centre de tri de La Poste.
Témoignage. Soignants, enseignants, employés, ils racontent leur vie confinée. Éric Briche, patron d’une entreprise de transport.
Contre le Covid-19, tests et essais fleurissent. Après s’en être détournés, revoici les labos au chevet des maladies infectieuses.
Face au Covid-19, le Président découvre que le capitalisme n’a pas que du bon, comme Sarkozy en 2008, lors de la crise des subprimes.
Un an après le début du mouvement, « Les Jours » retrouvent Élodie et Jacky, du rond-point de Voreppe : désillusion et mobilisation.
Climat, extinction des espèces… Depuis un siècle, on chante l’apocalypse, du blues à « We Are The World », de Johnny à Radiohead.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, une interview avec une grande vedette.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une disparition en mer.
La tournée du grand débat a fait halte au palais Bourbon. Dans l’hémicycle, trois pelés, un tondu… et « Les Jours ».
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, la Louisiane rétrécit.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un gros paquet d’argent sale.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un document explosif.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, les dangers de la soute.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, une BD d’Émile Bravo.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, du pétrole dans les champs.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une étude inquiétante… et insuffisante.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un gaz qui fait boom.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, un cactus en pleine descente.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, la pandémie en Afrique.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un collectif espagnol.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une étude explosive.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, les Alpes dégoulinent.
Fin du monde. Chaque vendredi midi, « Les Jours » vous parlent effondrement et culture. Aujourd’hui, un film de Jeff Nichols.
Fin du monde. Chaque midi, « Les Jours » vous offrent une mauvaise nouvelle. Aujourd’hui, une faillite électrique.
Embarqués dans la caravane des journalistes, « Les Jours » ont assisté au grand (et long) débat du Président en Essonne.
Jacky et ses compagnons de Voreppe ont joué le jeu du grand débat avec une députée macroniste. Qui a écouté, pas forcément entendu.
Il aurait dû recueillir la parole des Français dans un bel élan de participation citoyenne. Las, il oriente vers les choix macroniens.
Pour l’« acte X », le pilier du rond-point de Voreppe tractera à Grenoble sa propre missive. Le grand débat ? Il ira, sans illusions.
Les mesures destinées à contenter les gilets jaunes ont été adoptées… mais ne sont pas à la hauteur des annonces d’Emmanuel Macron.
Pour le sociologue Patrick Cingolani, le mouvement des gilets jaunes remet en cause la verticalité du pouvoir et le néolibéralisme.
Samedi, les gilets jaunes du rond-point de Voreppe sont allés mener une action lors de l’inauguration d’une patinoire voisine.
Alors qu’a eu lieu l’« acte V » ce samedi, Élodie, gilet jaune à Voreppe, raconte le découvert chronique, la débrouille et le courroux.
« Les Jours » ont passé les annonces présidentielles au peigne fin. Bilan : du flou, du flan et de l’enfumage.
Ces événements se déroulent en temps réel : Macron promet 100 euros, les gilets jaunes fulminent, les interpellés sont condamnés.
Samedi, l’« acte IV » des gilets jaunes s’est déroulé façon puzzle mais avec une même colère, dirigée contre Emmanuel Macron.
Quasi-résurrection de l’ISF, violences dans les beaux quartiers de Paris… Avec les gilets jaunes, les riches ont failli trembler.
« Les Jours » s’installent sur le rond-point de Voreppe, près de Grenoble, où les gilets jaunes partagent la soupe et la colère.
Macron coupe court au retour de l’impôt, revendication phare du mouvement. Son abrogation n’a pourtant pas montré son utilité.
La finale européenne perdue ? La quatrième place en France ? Pas grave. Le président Eyraud la joue calme olympien. Mais bien sûr.
Droits télé, loyer du Vélodrome, jackpot de la Ligue des champions… Le club compte ses sous et sur une bonne fin de saison.
En virée, Mounir Mahjoubi a récolté les doléances de patrons du numérique. Qui veulent moins de règles et plus de sous.
La députée Amélie de Montchalin a tancé les banquiers pour qu’ils poussent leurs clients à investir dans les PME. En vain.
Les ouvrages de Jean-Noël Jeanneney et de Brice Couturier convoquent Saint-Simon, Ricœur ou Hegel. Mais oublient, hélas, les faits.
Célébrée par le milieu, la start-up de livraison de repas a coulé à l’été 2016. Un fiasco exemplaire et socialement désastreux.
Pour un start-uppeur, la recherche d’argent frais est une partie de poker, pleine de coups de bluff et de coups fourrés.
Des acteurs de l’entrepreneuriat concoctent le texte dans un accélérateur de start-up ? « Les Jours » s’y sont glissés.
Le monde des start-up et de la tech n’échappe pas au sexisme que les femmes rencontrent dans les autres milieux. Enquête.
Pour une future loi sur le financement des entreprises, le duo va chercher… les idées des entrepreneurs. Une première.
À la tête d’un fonds de 160 millions d’euros, Jean-David Chamboredon est un incontournable de la « start-up nation ».
Crypto lunchs et afterworks à base de bitcoins et « League of Legends » : cette start-up de jeux vidéo vient de lever 2,5 millions.
Annoncée cet été mais absente du programme d’En marche, la réforme de l’allocation logement est en fait échafaudée depuis un bail.
Monter sa boîte est devenu un idéal de réussite dans les grandes écoles, qui cajolent la future aristocratie entrepreneuriale.
Houspillée par l’opposition à l’Assemblée nationale sur le « cadeau aux riches », la majorité En marche a dévoilé sa doctrine.
Le business de cette start-up : louer des vêtements. Son fondateur, pas spécialiste de la mode, a « senti une opportunité ».
Quoi de mieux qu’un incubateur de start-up pour raconter les coulisses de la nouvelle économie ? « Les Jours » s’installent.
Pendant la campagne, Macron avait vendu une réforme fiscale à coût nul pour l’État. Promesse tenue… à 4,5 milliards près.
La « transformation », c’est le credo du Président. « Les Jours » dissèquent sa politique économique et l’idéologie qui la porte.
Ils tyrannisent les autres ministères, ont fait la loi dans le budget dévoilé mercredi : les conseillers des Finances.
Les syndicats dits « réformistes » sont coincés entre des conseillers ministériels inflexibles et une base en ébullition.
À l’origine de la réforme du Code du travail, des économistes influents défendent depuis des années la « flexisécurité ».
Réfugiés temporaires (4/6). Les Turcs des villes du Sud-Est accueillent l’afflux massif de Syriens avec méfiance, parfois violence.