Des journalistes politiques sortent une info, le Président, fumasse, leur passe un savon : même affaibli, il veut, plus que jamais, mater les médias.
Son rôle dans la série.
Dans le monde magique d’Emmanuel Macron, on peut se prendre une dérouillée aux européennes (14,6 %, moins de la moitié du score du Rassemblement national pour Valérie Hayer), dissoudre l’Assemblée dans la demi-heure suivante et remporter les législatives moins de trois semaines plus tard, voire y gagner la majorité absolue qu’on n’a plus depuis deux ans. Oui, bien sûr Président, tout va se passer ainsi puisque Vous l’avez décidé… Le 7 juillet, le rassemblement macroniste se prend une nouvelle dérouillée, ne sauvant les meubles que grâce aux désistements de députés de gauche soucieux de faire échec au Rassemblement national. Malgré la victoire du Nouveau Front populaire (certes relative, avec 193 députés), Emmanuel Macron refuse de nommer la candidate choisie par la gauche, Lucie Castets, sommant les élus de former une coalition la plus large possible et laissant traîner la situation tout l’été. Une belle réussite qui laissera dans l’histoire une drôle de trace d’Emmanuel Macron.
Son rôle dans la série.
Dans le monde magique d’Emmanuel Macron, on peut se prendre une dérouillée aux européennes (14,6 %, moins de la moitié du score du Rassemblement national pour Valérie Hayer), dissoudre l’Assemblée dans la demi-heure suivante et remporter les législatives moins de trois semaines plus tard, voire y gagner la majorité absolue qu’on n’a plus depuis deux ans. Oui, bien sûr Président, tout va se passer ainsi puisque Vous l’avez décidé… Le 7 juillet, le rassemblement macroniste se prend une nouvelle dérouillée, ne sauvant les meubles que grâce aux désistements de députés de gauche soucieux de faire échec au Rassemblement national. Malgré la victoire du Nouveau Front populaire (certes relative, avec 193 députés), Emmanuel Macron refuse de nommer la candidate choisie par la gauche, Lucie Castets, sommant les élus de former une coalition la plus large possible et laissant traîner la situation tout l’été. Une belle réussite qui laissera dans l’histoire une drôle de trace d’Emmanuel Macron.
Son rôle dans la série.
« Élu produit de l’année » en 2017 (c’était alors le titre des Jours), Emmanuel Macron a remis ça en 2022, toujours contre Marine Le Pen, mais avec un résultat moins tranché : 58,54 % contre 66,1 % cinq ans avant, et une abstention en nette hausse. Bien vite laminé par les gilets jaunes, décrédibilisé par l’affaire Benalla – du nom de son bagarreur collaborateur –, dépassé par un Covid dévoilant un service public hospitalier miséreux, on vous en passe et des bien gratinées : le fringant Président de 2017 s’est pris un sérieux coup de pelle. Et la majorité relative sortie des législatives n’a rien arrangé. Ses relations avec la presse se sont encore plus tendues, Macron parlant peu aux journalistes pour privilégier une communication corsetée et totalement contrôlée. En 2027, en raison de la limitation des mandats présidentiels, ce sera sans lui. D’ici là, il l’a assuré au soir de sa réélection le 24 avril 2022 : « J’ai conscience que ce vote m’oblige pour les années à venir. » L’oblige à quoi, on verra bien.
Son rôle dans la série.
Étant entré dans la vie active en 2004 (comme inspecteur des Finances, à 27 ans), Emmanuel Macron aurait pu prétendre à la retraite dès le 1er janvier 2040, soit l’année de ses 63 ans. Las, si sa réforme passe, il devra attendre deux ans et l’année 2042. Mais dans les deux cas, avant comme après la réforme, pour une retraite à taux plein, il lui faudra poireauter jusqu’à ses 67 ans. Du moins s’il retrouve du boulot après la fin de son second mandat en 2027, car il a déjà annoncé renoncer non seulement aux quelque 6 200 euros brut de pension mensuelle accordée aux anciens présidents de la République (quels que soient leur âge et leur nombre de mandat), ainsi qu’à son fauteuil au Conseil constitutionnel dont il aurait dû être membre de droit et à vie (moyennement la maudite somme de 13 500 euros par mois).
Son rôle dans la série.
Le président de la République a annoncé le 5 septembre dernier que « le premier étage de la mobilisation générale, c’est la sobriété volontaire ». Il avait préparé cette riante perspective en annonçant fin août la « fin de l’abondance », la « fin de l’insouciance » et la « fin des évidences ». On en oublierait presque qu’il y a à peine deux ans Emmanuel Macron expliquait que vive la 5G et que la lampe à huile et le modèle amish, très peu pour lui !
Par Cécile Cazenave
Son rôle dans la série.
La légende macroniste – une de celles que des proches aiment chuchoter en « off » à l’oreille des journalistes – veut qu’Emmanuel Macron, tout fraîchement réélu, ait validé en personne un par un les candidats d’Ensemble ! (qui réunit LREM, Horizons et le Modem) pour les législatives. Et ce, sur la base d’un classement « Loyal / pas loyal, faible / pas faible » selon Le Parisien. Il a beaucoup juré craché qu’il a changé, c’est ce bon vieux Jupiter qui est aux manettes des législatives, et c’est ce même Jupy qui est allé clore la journée de team building des nouveaux investis de sa majorité. « Si vous vouliez faire une campagne installée, vous avez tout faux », les a-t-il tancés avant d’attaquer : « Il n’y a pas de troisième tour de la présidentielle. […] Vous portez le seul véritable projet écologique. L’extrême gauche n’est unie que par une chose : la décroissance. » Validant, là encore, en personne, Jean-Luc Mélenchon comme son principal adversaire.
[Mise à jour après les législatives] Sans majorité absolue et face à des oppositions fournies, Emmanuel Macron est dans la sauce.
Par Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts
Son rôle dans la série.
Avec 1,1 million de voix de plus qu’en 2017, le Président sortant a remporté tranquillement le premier tour de 2022, reléguant Marine Le Pen quatre points derrière. Rappelons tout de même au vieux jeune homme (44 ans) que cette victoire ne s’est faite qu’avec à peine plus de 20 % du corps électoral. Il semble en avoir conscience puisqu’il a démarré la campagne de deuxième tour à fond les ballons avec un déplacement par jour minimum, lui qui, avant le 10 avril, ne s’est pas trop cassé la nénette pour rameuter l’électeur. Au deuxième tour, il remporte l’élection avec 58,54 % des voix exprimées.
Son rôle dans la série.
À ne pas confondre avec… le macron, un gastéropode moyennement intéressant vivant plutôt sur la côte californienne (même si, comme son homonyme, cet escargot marin possède une coquille tournée vers la droite).
Par Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts
Son rôle dans la série.
En 2020, il avait déclaré « la guerre » au virus puis avait promis le « retour des jours heureux » au parfum de programme du Conseil national de la Résistance. L’ambition d’Emmanuel Macron est ensuite devenue plus modeste : « vivre avec le virus » – lui-même a été contaminé en décembre 2020 – et « retrouver notre art de vivre à la française ». Lors de son allocution du 9 novembre dernier, censée être dédiée au Covid-19, il a finalement parlé du « travail », du « travail » et aussi un peu du « travail ». Il faut dire que le Président s’est rendu compte que le combat contre l’épidémie ne pouvait pas être gagné grâce à des mots. Contrairement à une élection présidentielle.
Son rôle dans la série.
En 2020, il avait déclaré « la guerre » au virus puis avait promis le « retour des jours heureux » au parfum de programme du Conseil national de la Résistance. Cette année, l’ambition d’Emmanuel Macron est plus modeste : « vivre avec le virus » et « retrouver notre art de vivre à la française ». Il faut dire qu’entre-temps le Président s’est rendu compte que l’épidémie ne pouvait pas être vaincue par les mots. Autre déception, le Covid-19 ne respecte même pas la fonction présidentielle ! Après d’autres chefs d’État, Emmanuel Macron a été contaminé et malade en décembre (légèrement, le bulletin de santé officiel mentionnant de la « fatigue », de la « toux » et des « courbatures »). Aujourd’hui, il se prépare à l’après-Covid et à la future campagne présidentielle. Il a même évoqué une sorte de nouveau grand débat. Se réunira-t-on bientôt pour répondre à la question : « Êtes-vous pour ou contre le virus ? » ?
Son rôle dans la série.
Sur les clichés du couple Macron au Touquet, au côté du candidat en campagne, puis lors des sorties présidentielles sur le terrain : Alexandre Benalla a été photographié des centaines de fois avec Emmanuel Macron. Lequel a eu un mal fou à trouver une ligne de défense pendant la crise. En témoigne cette phrase, prononcée par le président de la République lorsqu’il sort de son silence, une semaine – seulement – après le début de la crise : S’ils cherchent un responsable, le seul responsable, c’est moi et moi seul (…). Alexandre Benalla n’a jamais détenu les codes nucléaires, Alexandre Benalla n’a jamais occupé un 300 m2à l’Alma, Alexandre Benalla n’a jamais eu un salaire de 10 000 euros, Alexandre Benalla n’a jamais été mon amant. »
Son rôle dans la série.
Il a pris la parole le jeudi 12 mars à 20 heures et ne l’a plus lâchée vingt-sept minutes durant, pour annoncer les décisions prises concernant « la plus grave crise sanitaire depuis un siècle ». Emmanuel Macron s’est fait churchillien, ne cessant de répéter « Je compte sur vous », d’appeler à « l’union sacrée », martelant à trois reprises un solennel « quoi qu’il en coûte ». Et découvrant, après une crise sociale inédite dans le milieu hospitalier dont il n’a jamais pris la mesure et une réforme des retraites toujours pas avalée, que « la santé gratuite, notre État providence, ne sont pas des coûts mais des biens précieux ». On a failli attendre.
Son rôle dans la série.
Pour La Voix du Nord, il est tout simplement « Président ! » et pour Le Courrier picard, nuance, « Vraiment Président ». Pour l’allemand Die Zeit, c’est carrément « Le sauveur » (« Der Heiland »). Vous l’aurez compris, Emmanuel Macron, 42 ans désormais, est un individu de type président de la République et du genre adoré par les médias. À ses débuts du moins.
Par Raphaël Garrigos et Isabelle Roberts
Son rôle dans la série.
Il a pris la parole le jeudi 12 mars à 20 heures et ne l’a plus lâchée vingt-sept minutes durant, pour annoncer les décisions prises concernant « la plus grave crise sanitaire depuis un siècle ». Emmanuel Macron s’est fait churchillien, ne cessant de répéter « Je compte sur vous », d’appeler à « l’union sacrée », martelant à trois reprises un solennel « quoi qu’il en coûte ». Et découvrant, après une crise sociale inédite dans le milieu hospitalier dont il n’a jamais pris la mesure et une réforme des retraites toujours pas avalée, que « la santé gratuite, notre État providence, ne sont pas des coûts mais des biens précieux ». On a failli attendre.
Son rôle dans la série.
Il a pris la parole le jeudi 12 mars à 20 heures et ne l’a plus lâchée vingt-sept minutes durant, pour annoncer les décisions prises concernant « la plus grave crise sanitaire depuis un siècle ». Emmanuel Macron s’est fait churchillien, ne cessant de répéter « Je compte sur vous », d’appeler à « l’union sacrée », martelant à trois reprises un solennel « quoi qu’il en coûte ». Et découvrant, après une crise sociale inédite dans le milieu hospitalier dont il n’a jamais pris la mesure et une réforme des retraites toujours pas avalée, que « la santé gratuite, notre État providence, ne sont pas des coûts mais des biens précieux ». On a failli attendre.
Son rôle dans la série.
Et soudain, celui qui marchait triomphalement au Louvre il y a un an et demi, se retrouve pendu en effigie, guillotiné aux ronds-points et péages, brocardé sur les banderoles au milieu des Champs-Élysées en flammes. Comme si un prurit jaune géant se déclenchait au moindre des mots, au moindre des actes d’Emmanuel Macron. Comme un boomerang, c’est un an et demi de présidence jupitérienne qui lui revient en pleine face : ses « Gaulois réfractaires », ses petites leçons de jeune manager à un chômeur, son « pognon de dingue ».
Son rôle dans la série.
Depuis que Le Monde a révélé les violences commises par son chargé de mission, Emmanuel Macron est resté silencieux. On ne sait pas quels liens exacts unissent le président de la République à son ex-garde du corps qui le suivait partout, même dans ses déplacements privés. On sait en revanche que le chef de l’État est au courant depuis le 2 mai des violences commises la veille par son collaborateur. Alors en déplacement en Australie, il avait été informé par son directeur de cabinet, Patrick Strzoda. Selon Le Monde, le président aurait alors déclaré : « Si les faits sont avérés, il faut prendre des sanctions. » Ce qui fut fait dès le lendemain, puisqu’une suspension temporaire de quinze jours est alors signifiée à Alexandre Benalla par Patrick Strzoda. Le 25 juillet, Emmanuel Macron profite d’une fiesta de La République en marche pour sortir de son mutisme. Il dit « la trahison » ressentie à la découverte des agissements de Benalla, il s’en prend à « la presse qui ne cherche plus la vérité » et lance à ses troupes : « C’est moi qui ai confirmé la sanction de mes subordonnés. S’ils veulent un responsable, il est devant vous. Qu’ils viennent le chercher. »
Son rôle dans la série.
Le candidat d’En marche a connu les premiers gros soubresauts dans sa campagne à deux mois du premier tour de la présidentielle. Candidat « ni à droite, ni à gauche », il parvient à rassembler massivement dans ses meetings. Adepte d’une com bien huilée, il multiplie les couvertures de magazines, cherchant à symboliser le renouvellement d’une classe politique décrédibilisée. Parviendra-t-il à convaincre qu’il peut incarner la fonction présidentielle ?
Par Aurore Gorius
Des journalistes politiques sortent une info, le Président, fumasse, leur passe un savon : même affaibli, il veut, plus que jamais, mater les médias.
Le Premier ministre a nommé son équipe, composée à moitié de personnalités issues de la droite dure, à l’image du ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau.
La négation des résultats des législatives et la nomination de Barnier à Matignon constituent une rupture démocratique. Que faire de cette colère ?
Macron a enfin trouvé la perle rare pour Matignon après les législatives remportées par la gauche : un vieux second couteau LR. Avec l’assentiment du RN ?
Le Président a écarté ce lundi un gouvernement du Nouveau Front populaire, cinquante jours après qu’il est arrivé en tête aux législatives. Heu…
Macron refuse Castets, fait traîner, convoque les chefs de partis vendredi à l’Élysée pour enfin aboutir à une nomination à Matignon. Mais qui ?
Rhétorique de la modération, prééminence de l’exécutif et de l’ordre… L’historien Pierre Serna applique au Président le concept qu’il a forgé.
La Constitution, le « déni de démocratie », l’Assemblée… Après l’interview présidentielle, juristes et politistes contemplent le mois qui vient.
Depuis l’élection de Yaël Braun-Pivet au perchoir, l’institution a été ébranlée par les votes pour le bureau et les commissions. Récit en quatre épisodes.
Replay. La macroniste est reconduite au poste de présidente de l’Assemblée nationale, devançant le candidat NFP André Chassaigne. Tout ça pour ça.
Malgré sa victoire du 7 juillet, la gauche offre le spectacle de sa désunion et l’occasion d’un rebond à Emmanuel Macron. Récit en tractations arrières.
Dans la situation actuelle, l’incapacité du personnel politique à créer des coalitions révèle son immaturité, estime l’historien Jean Garrigues.
Pratique. Voici le lexique juridico-législatif des « Jours » pour comprendre la situation politique inédite qui s’ouvre.
Les députés d’extrême droite ont fait leur rentrée et arrivent en force à l’Assemblée nationale. En interne s’amorce un timide examen de conscience.
Après un second tour mémorable, les grandes manœuvres ont commencé ce lundi. Évidemment, « Les Jours » étaient en live. Replay.
Grosse surprise : le NFP arrive en tête des législatives, devant la Macronie et le RN. Replay d’une soirée mémorable, avant une semaine décisive.
Jamais l’extrême droite n’avait bénéficié d’un tel soutien médiatique. Dans l’entre-deux tours, CNews, Europe 1, « Le JDD » ont brutalisé la campagne.
Racistes, antisémites, conspis, boulets, fantômes… Les aspirants à la députation du parti d’extrême droite prouvent que non, il n’a pas changé.
Avec plus de 200 désistements contre le RN, Gabriel Attal parle d’un « troisième chemin ». Une union républicaine qui ne fait pas l’unanimité à gauche.
Après le premier tour qui a mis le RN en tête, « Les Jours » racontent les tractations et les retraits. En gueule de bois et en replay.
L’extrême droite arrive en tête, loin devant le Nouveau Front populaire, très loin devant Ensemble. Jordan Bardella n’est pas encore à Matignon, mais…
Dissolution incompréhensible, campagne calamiteuse… Emmanuel Macron se relèvera-t-il d’avoir porté l’extrême droite aux portes du pouvoir ?
Dans le quartier Pablo-Picasso de Nanterre, celui de Nahel M., tué il y a un an, le quotidien bouché mène massivement à l’abstention. Malgré la peur du RN.
La haine des Juifs peut infuser les milieux progressistes, analyse l’historien Michel Dreyfus. Sans être un socle, comme elle l’est à l’extrême droite.
Depuis 2022 et plus encore depuis le 7 Octobre, les habitants du plus grand quartier juif de France voient en l’extrême droite des sauveurs.
Le président du Rassemblement national revient aux fondamentaux du FN : les binationaux menacés et le droit du sol remis en cause.
Dans le bassin minier, le député PCF sortant Jean-Marc Tellier mise sur le social pour conserver le seul siège que la Nupes avait arraché au RN en 2022.
Flash-back. La figure politique est citée à tout-va, mais la comparaison avec 2024 tient-elle la route ? Retour sur les leçons de 1936.
L’alliance de gauche a détaillé le financement de son programme pour tenter d’échapper au procès en incompétence que lui fait le gouvernement.
Majorité absolue pour le RN ? Relative pour la gauche ? Bardella ou Ciotti à Matignon ? Ingouvernabilité ? « Les Jours » font le tour des hypothèses 😱
De CNews au « JDD » en passant par Europe 1 où Hanouna tient une nouvelle tribune, tous les médias du groupe sont en croisade pour l’extrême droite.
Les priorités de Bardella à Matignon ? Pouvoir d’achat, insécurité, immigration. Des annonces vagues sans la moindre explication sur leur faisabilité.
Au lendemain de l’accord pour des candidatures uniques aux législatives, la nouvelle alliance a présenté ses promesses pour « changer la vie, vraiment ».
En quatre jours, les gauches sont parvenues à un accord pour des candidatures uniques aux législatives. Et à taire leurs dissensions face à la menace RN.
Flash-back. À quoi bon convoquer de nouvelles législatives si c’est pour promettre la même politique ? Macron n’a pas retenu la leçon chiraquienne.
C’est la faute à LFI qui est pareille que le RN et il faut plus d’ordre. Tournant à vide, le Président a tenté de vendre la dissolution. Replay à vif.
Tandis qu’Éric Ciotti fait imploser LR en s’alliant avec l’extrême droite, le Front populaire négocie son contrat de mariage. Replay de la journée.
Pour faire de bons Français, il faut de l’ordre, chanter l’hymne et un « plan contre l’infertilité ». Une conf de presse digne d’un plateau de CNews.
Trop anti-Bolloré, Rima Abdul Malak est remplacée par une sarkozyste pur jus. Une manœuvre de basse politique signée Emmanuel Macron.
Des voitures qui bougent, des reporters qui gèlent, des portes fermées, des mots vides de sens. La France a un nouveau Premier ministre.
L’essentiel de la réforme des retraites a été validé, à commencer par l’âge de départ reporté à 64 ans. Rendez-vous le 1er mai…
Violences et cécité du gouvernement, cortège de tête recomposé et pratiques qui essaiment… L’analyse revigorante du sociologue Michel Kokoreff.
De l’incinérateur d’Ivry au Louvre, les opposants à la réforme des retraites prêtent main forte aux actions stratégiques et symboliques.
Manifs sauvages ou défilés classiques, comme celui de ce jeudi ? Qu’importe, le 49.3 et l’immobilité de Macron ont reboosté les grévistes.
Autoritaire et hors-sol, son interview a achevé d’enflammer les opposants à la réforme des retraites, qui descendent dans la rue ce jeudi.
Préférant s’éviter le risque d’un vote contre la réforme des retraites, la Première ministre et Emmanuel Macron passent en force.
Pour la réforme, tout se joue ce jeudi. Gouvernement, opposition, syndicats, rue… Le bilan du politologue Dominique Andolfatto.
Avec une pension inférieure de 40 % à celle des hommes, elles sont les grandes perdantes du système et au cœur de la lutte contre la réforme.
Jusqu’ici, les confédérations sont unies contre la réforme, manœuvrent habilement et l’opinion suit. Mais comment basculer vers la victoire ?
Le gouvernement a mis le réchauffement global et ses conséquences sanitaires et sociales dans l’angle mort de sa réforme. Volontairement.
Le gouvernement brandit la menace du déficit pour justifier sa réforme des retraites, censée sauver un système… pas si malade que ça.
« Les Jours » désossent la réforme des retraites. À commencer par l’âge légal, inéquitable biologiquement et socialement.
5 tonnes de CO2 chacun en 2030 ? Cajolés par le gouvernement, les Français aisés en sont loin… quand les 50 % les plus pauvres y sont déjà.
Le gouvernement encense sa politique, oublie que sa chère sobriété est plus subie que choisie et néglige toute stratégie à long terme.
La Première ministre refuse de baisser la vitesse limite sur autoroute. Une mesure qui réduirait pourtant rapidement nos émissions de CO2.
Mollo sur le radiateur ? OK mais… et les pauvres dans tout ça ? « Les Jours » ouvrent le moteur à injonctions macroniste.
Après des législatives désastreuses, la Première ministre livre un gouvernement composé de macronistes et en même temps de macronistes.
Le « ni LFI, ni le RN » a vécu : la majorité fricote avec l’extrême droite. La bande-annonce du nouveau mandat d’Emmanuel Macron ?
Jamais le Rassemblement national n’avait compté autant de députés : 89. Le front républicain a vécu, abattu par un Macron aux abois.
Désormais très présent à l’Assemblée, le parti d’extrême droite va devoir se professionnaliser, selon le politologue Jean-Yves Camus.
Entre la poussée de la coalition de gauche et le carton du RN, il ne dispose que d’une majorité relative… et fait déjà les yeux doux à LR.
Jean-Luc Mitterrand ? François Mélenchon ? L’historien Mathieu Fulla compare 2022 et 1972 : les mesures, les attaques, les contextes.
Dimanche, au milieu des militants et des applaudissements, l’alliance de gauche a fêté son coude-à-coude avec la coalition présidentielle.
Le programme économique de la Nupes, c’est la faillite assurée, menacent la Macronie et Terra Nova. Scoop : c’est plus compliqué que ça.
Zélie, écolo suivie par « Les Jours », s’est engagée dans la campagne du candidat Nupes de Tours. Où l’on pratique déjà l’alliance à gauche.
Pas de rêve de Matignon, pas de poids lourds, pas d’objectif chiffré de députés… Le RN en a-t-il quelque chose à faire des législatives ?
Bayrou, Philippe, Valls, des noms rigolos, des boulets conservés, quelques éjectés et le boss partout. Les macronistes entrent en campagne.
Un Président réélu malgré lui, une extrême droite au plus haut, une gauche qui tente de s’unir : et maintenant, les législatives…
Replay. Le barrage a eu lieu : Emmanuel Macron est réélu avec 58,54 % des voix. Marine Le Pen, elle, affiche un score inédit.
Climat, Covid, logement… « Les Jours » mettent en lumière les sujets importants zappés par les candidats.
Négligé par les candidats, le monde agricole, dont le vote s’est déplacé de Valérie Pécresse à Emmanuel Macron, a des revendications.
Jouant sur la peur des musulmans, le candidat d’extrême droite a capté une part significative des électeurs de confession juive. Une première.
L’un sentencieux et techno, l’autre toujours aussi laborieuse et dangereuse, le tout enrobé d’une courtoisie factice : le débat en replay.
Depuis le fiasco du débat de 2017, elle a passé un vernis de sérieux sur son programme… qui cache mal sa xénophobie et ses calculs bancals.
Vote blanc, Macron ou avec ses pieds ? Les militants sont divisés en trois tiers. Les simples électeurs, eux, ont aussi l’option Le Pen…
Pour le politiste Frédéric Sawicki, le PS et LR pâtissent du quinquennat qui personnalise le pouvoir et de leur convergence idéologique.
Insoumis déçus, militant LR sonné, lepéniste ravi : les jeunes suivis par « Les Jours » digèrent le premier tour et préparent le second.
Le parti est jeune et Pécresse a fait pire, mais la claque est terrible : 7,07 %. Pour peser, il faudra montrer papatte blanche à Le Pen.
Pour que vous n’ayez pas à le faire, les Garriberts se sont coltiné les clips de campagne des candidats. Sortez le pop-corn.
La chaîne info a organisé un direct avec le candidat d’extrême droite depuis un camp de toxicomanes : ahurissant numéro de propagande.
Quatre heures durant, le Président-candidat a déroulé son projet face aux journalistes. Surprise : il n’est ni de gauche, ni de gauche.
Manuel de survie à l’apocalypse Covid. « Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
Comme le protozoaire, il peut tout être, il peut tout faire : Président, tragédien, chef des armées et même, si, si, candidat.
Les boulettes de Pécresse, le trompe-l’œil de Le Pen… « Les Jours » aiguisent leurs couteaux et jugent les candidats en mode « Top chef ».
Manuel de survie à l’apocalypse Covid. « Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
Face au grand méchant Zemmour qui empiète sur ses plates-bandes rances, la patronne du RN joue du petit mouchoir et du petit chaton.
Selon le décompte minutieux d’une chercheuse du CNRS, Baba fait une promo éhontée du candidat d’extrême droite. On peut plus rien rire.
Info « Les Jours ». Les Garriberts ont chouravé le livret de l’opéra punk qui va disrupter la campagne à grands coups de chaîne de vélo.
Pour affronter cette désespérante campagne, les Garriberts font le pari foufou de nous faire marrer.
Manuel de survie à l’apocalypse Covid. « Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
Manuel de survie à l’apocalypse Covid. « Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
Nombre de cas en hausse, mesures renforcées chez nos voisins… Risque-t-on une fin d’année reconfinée ? Voici ce qui nous pend au nez.
Journal de reredéconfinement spécial Macron. « Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
Trois ans après avoir brutalisé des manifestants, l’ex-chargé de mission à l’Élysée est condamné à trois ans de prison dont un ferme.
Réquisitoire clément pour l’ex-chargé de mission, dont l’affaire a révélé l’amateurisme du pouvoir macroniste. Jugement le 5 novembre.
À la barre, Ismaël Émelien, ex-conseiller de Macron, a tenu sa ligne : il ne savait pas que la bande transmise par Benalla était volée.
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Peu respectueux de sa hiérarchie à l’Élysée, il a peiné à s’expliquer sur l’obtention et l’usage de ses passeports diplomatiques.
Alors que le tribunal a tenté de cerner sa personnalité, l’ex-chargé de mission de l’Élysée s’est enfoncé dans ses contradictions.
La vidéo des violences du 1er mai 2018 a déclenché une affaire d’État tentaculaire qui arrive devant la justice ce lundi.
Un chargé de mission éruptif, provocateur et habile ; un pouvoir désorganisé et fébrile… Le feuilleton de l’été 2018 arrive au tribunal.
Journal de reredéconfinement. « Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
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Pour atteindre l’immunité de groupe, l’épidémiologiste Catherine Hill invite à vacciner toujours plus, sans se focaliser sur les opposants.
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Ce mercredi, la France retrouve un semblant de vie normale. Faut-il crier « youpi ! » ou « trop tôt ! » ? Les deux à la fois, peut-être.
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Journal de rereconfinement. « Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
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Ouf, dingue, miracle : fermer les écoles fait fortement baisser la contamination chez les plus jeunes. Mais à la rentrée…
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Lors de son allocution annonçant le troisième confinement, le Président, tout en autosatisfaction, n’a reconnu aucune erreur de stratégie.
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Son entêtement à garder les écoles ouvertes fait fi de la réalité sanitaire : le nombre de contaminations explose parmi les enfants.
Comparaison hasardeuse avec les pays voisins, attestation litigieuse… Les annonces du Premier ministre sont à prendre avec des pincettes.
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Journal de redéconfinement. « Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
En mars 2020, la pandémie assaillait la France, et politiques et scientifiques enchaînaient les déclarations-chocs… et fausses.
Journal de redéconfinement. « Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
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Les habitants de Nice et Dunkerque expérimentent une mesure inédite en France… mais fréquente ailleurs. Bilan épidémiologique.
Les youtubeurs McFly et Carlito invités à l’Élysée, Gabriel Attal sur Twitch avec l’influenceuse EnjoyPhoenix… Houla, ça sent déjà 2022 !
Journal de redéconfinement. « Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
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Le gouvernement veut faire du travail à domicile la règle mais sans embêter les entreprises qui, finalement, n’en font qu’à leur guise.
Journal de redéconfinement. « Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
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Pour prévoir l’évolution de l’épidémie, des chercheurs fouillent… nos eaux usées. Des chiffres qui ont déjà annoncé la deuxième vague.
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Le couvre-feu à 18 heures est généralisé. Mais cela marche-t-il ? Et le confinement ? Ignorées par le pouvoir, les études parlent enfin…
Info « Les Jours ». Il exige l’ouverture de 600 à 700 lieux… qui tourneront au ralenti, le nombre de doses ne bougeant pas. Qui a dit com ?
Critiqué pour la lenteur de la vaccination, le gouvernement revient sur sa propre stratégie. « Les Jours » remettent les aiguilles à zéro.
Que sont-ils devenus ? L’ex-ministre de la Santé se tait et se terre. Les municipales et une enquête sur le Covid sont passées par là.
Journal de redéconfinement. « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
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Journal de reconfinement. « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
Replay. Violences policières, article 24, laïcité, plateformes partout : pendant plus de deux heures, Emmanuel Macron a parlé aux jeunes.
Journal de reconfinement. « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
À 43 ans d’écart, le défunt Président et l’actuel ont braqué la présidentielle par surprise et inauguré une nouvelle relation à la com.
Journal de reconfinement. « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
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Journal de reconfinement. « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
À virus inactivés, à protéines, à ARN au congélo… Les tueurs de Covid arrivent. « Les Jours » vous les présentent, au compte-gouttes.
Journal de reconfinement spécial annonces présidentielles. Des dates, des vaccins, des mouif et des slurp-slurp. En accès libre.
Journal de reconfinement. « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
Après le « Journal de couvre-feu », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
Après le « Journal de couvre-feu », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
Macron n’a pas fait dans le détail ? Castex n’a pas précisé les contours de la vie à venir ? « Les Jours » tentent le coup.
Au terme d’un revirement surprise et alors que la deuxième vague était prévisible, Macron annonce un reconfinement national dès vendredi.
Après le « Journal déconfiné », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
Si ça a marché là-bas, ça marchera ici, dit le ministre de la Santé… Qui oublie les dimanches cloîtrés et les confinements locaux.
Devant la catastrophe qui s’annonce, Yannick Gottwalles, chef des urgences de Colmar, appelle à un reconfinement. Et tacle le gouvernement.
Après le « Journal déconfiné », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
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Face au regain de l’épidémie, après le confinement et le déconfinement, voici le couvre-feu, annonce le Président. La faute à qui ?
Pour désengorger les labos, Olivier Véran promet des millions de tests antigéniques. Un énième effet d’annonce dans sa com anti-Covid.
Les dernières données alimentent la guerre entre scientifiques alarmistes et optimistes. Ce vendredi, le gouvernement doit trancher.
« Patriotisme républicain », « problèmes d’intégration », réseaux violents… Qui drague à droite toute devant la presse présidentielle ?
Drame au fort présidentiel : les médias se contrecarrent des vacances du chef de l’État. Heureusement, « Paris Match » veille…
Après un an seulement, le Président essore un nouveau conseiller en communication : Joseph Zimet est sur le départ.
Pour la première fois, Emmanuel Macron s’est prêté à l’interview d’après défilé. Aucun Président n’a été blessé au cours du tournage.
Mad masques (2/2). Devant la commission d’enquête, elle a prétendu ignorer le non-remplacement du stock fin 2018. Kof kof kof…
Passé de parfait inconnu à « Monsieur déconfinement » puis à Premier ministre, Jean a une mission : ne pas faire d’ombre au président.
Le dogme néolibéral continue de dicter la gestion gouvernementale de l’après-Covid, analyse l’économiste David Cayla. Entretien.
Le président Macron avait promis la rentrée de tous les élèves ce lundi : le ministre Blanquer a déjà échoué.
« Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise et l’après-confinement. En accès libre.
Ce dimanche soir, le Président parle. Jusqu’ici, il est resté muet sur le racisme, se contentant d'infos distillées dans la presse.
« Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise et l’après-confinement. En accès libre.
« Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise et l’après-confinement. En accès libre.
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Trois mois de Covid, un an de manifs, vingt d’économies… Le plan qui sortira des consultations lancées ce lundi sera-t-il à la hauteur ?
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Après le « Journal de quarantaine », « Les Jours » continuent à rassembler les infos essentielles sur la crise. En accès libre.
Complexes mais puissants, les modèles épidémiologiques sur lesquels le pouvoir s’appuie pour endiguer le virus sont loin d’être parfaits.
Tout au long de l’épidémie, « Les Jours » rassemblent les informations essentielles sur le coronavirus. En accès libre.
Le 11 mai, tout le monde dehors, mais par département… et que personne ne bouge ! Ce mardi, Édouard Philippe a joué à l’équilibriste.
Tout au long de l’épidémie, « Les Jours » rassemblent les informations essentielles sur le coronavirus. En accès libre.
Comme le gouverneur de la Banque de France, les tenants de la rigueur tentent d’imposer leur agenda pour le monde d’après. Insensé.
Témoignage. Ambulancier dans le privé, Redouane Saf est en première ligne contre le Covid… mais n’est pas considéré comme un soignant.
Présenté comme le remède-miracle contre le Covid-19 par le professeur marseillais, le médicament n’a toujours pas fait ses preuves.
Témoignage. Ils racontent leur vie sous coronavirus. « Les Jours » suivent Jean, étudiant en médecine et volontaire dans un hôpital.
Tout au long de l’épidémie, « Les Jours » rassemblent les informations essentielles sur le coronavirus. En accès libre.
Après une amélioration, le chef des urgences de Colmar, Yannick Gottwalles, constate depuis cinq jours une augmentation des cas de Covid.
Témoignage. Soignants, enseignants, employés, ils racontent leur vie confinée. L’instit François-Régis Croisier, alias Pain-Noir.
Elle fait partie de l’arsenal du déconfinement, mais l’appli de traçage des contaminés pose des problèmes d’efficacité et de vie privée.
Tout au long de l’épidémie, « Les Jours » rassemblent les informations essentielles sur le coronavirus. En accès libre.
Dans son allocution annonçant le déconfinement, Macron l’a joué humble. À rebours d’une com guerrière, laborieuse voire imprudente.
Décès, pénuries, colère : Pauline Puechoultres, interne en réanimation à Versailles, témoigne de son quotidien au plus près du Covid-19.
Testé positif au coronavirus, il était en soins intensifs depuis ce lundi. Le pays est dans l’attente ; le pouvoir, dans le flou.
Bien sûr, ils sont essentiels. Bien sûr, leurs boîtes prennent des mesures. Mais face à l’épidémie, ils bossent la boule au ventre.
Tout au long de l’épidémie, « Les Jours » rassemblent les informations essentielles sur le coronavirus. En accès libre.
Pénuries, impréparation politique face au Covid-19, dégradation de l’hôpital public : Wilfrid Sammut, médecin au Samu, est en colère.
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Sommes-nous à l’orée d’une récession mondiale de type 1929, comme le prévoit Bruno Le Maire ? Non… sauf si le confinement dure.
Après les promesses d’Emmanuel Macron en faveur des soignants, Yannick Gottwalles, chef des urgences de Colmar, attend des actes.
Témoignage. Soignants, enseignants, employés, ils racontent leur vie confinée. Le témoignage de Cyril Castelliti, journaliste à Mayotte.
Chiffres incertains, manque de tests, pénurie de masques : le Covid-19 met la communication de l’exécutif à rude épreuve.
Témoignage. Soignants, enseignants, employés, ils racontent leur vie confinée. Yasmina Kettal, infirmière dans un hôpital de Saint-Denis.
Comme le Brexit, il a failli ne jamais arriver ! Et puis, après des semaines à naviguer sans boussole, Boris Johnson s’y est résolu.
Tout au long de l’épidémie, « Les Jours » rassemblent les informations essentielles sur le coronavirus. En accès libre.
L’épidémie dans l’Est, les dilemmes en réa, le confinement renforcé… Les vérités de Yannick Gottwalles, chef des urgences de Colmar.
Contre le Covid-19, tests et essais fleurissent. Après s’en être détournés, revoici les labos au chevet des maladies infectieuses.
Face au Covid-19, le Président découvre que le capitalisme n’a pas que du bon, comme Sarkozy en 2008, lors de la crise des subprimes.
Le docteur Yannick Gottwalles alerte sur la saturation des hôpitaux dans l’Est et prévient qu’un tri des patients est à redouter.
Face au Covid-19, le Président a, sans en dire le nom, annoncé un confinement ferme mais flou. Et le report du second tour.
Tout au long de l’épidémie, « Les Jours » rassemblent les informations essentielles sur le coronavirus. En accès libre.
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Face au coronavirus, le Président annonce la fermeture des écoles. « Les Jours » racontent la pandémie et la vie confinée.
C’est un scoop « Les Jours » : la com lunaire du Président est due à son ami imaginaire, qu’il a emmené en voyage en Israël.
Le président de la République a présenté ce mercredi ses vœux à la presse dans une ambiance de défiance réciproque. Reportage mondain.
Le Président laisse Édouard Philippe aller au charbon sur les retraites, mais gaffe, il ne doit pas avoir l’air absent. Dilemme de com.
Que sont-ils devenus ? « Les Jours » révèlent que les courriers et les cahiers citoyens n’ont jamais été mis en ligne.
Le Président est « calme et déterminé », selon son dircom : origine d’une petite phrase issue d'une nouvelle stratégie envers la presse.
Un an après le début du mouvement, « Les Jours » retrouvent Élodie et Jacky, du rond-point de Voreppe : désillusion et mobilisation.
D’ordinaire avare de sa parole, le Président a inauguré à Biarritz une nouvelle posture médiatique : l’omniprésence.
Bains de foule, pizzas, dossiers sous le bras : pendant les congés du Président, la com de l’Élysée n’a pas pris de vacances.
Le 18 juillet 2018, « Le Monde » révélait les turpitudes du chargé de mission de l’Élysée. Retour sur un an de scandales.
Après la Grande Guerre, notre taupe journaliste raconte de l’intérieur l’opération de com, lourdingue, d’Emmanuel Macron en Normandie.
Replay. « Les Jours » ont suivi le scrutin européen. En France, le Rassemblement national arrive en tête, suivi de LREM et des Verts.
Quiz. Un an après ses exploits de la place de la Contrescarpe, « Les Jours » vous révèlent quel Alexandre se cache en vous.
Replay. « Les Jours » ont suivi la conférence de presse du Président depuis l’Élysée : du flou, du vide et du théâtre.
Président en vrille, com en toupie : l’Élysée tente de masquer les gilets jaunes derrière l’écran de fumée de Notre-Dame.
En plein mouvement des gilets jaunes, le Conseil constitutionnel censure l’interdiction administrative de manifester.
La tournée du grand débat a fait halte au palais Bourbon. Dans l’hémicycle, trois pelés, un tondu… et « Les Jours ».
Les conférences citoyennes devaient être l’apogée de la consultation. Brouillonnes et expédiées, elles risquent de faire pschitt.
Les sénateurs ont transmis à la justice les dossiers du dircab et du secrétaire général de l’Élysée, soupçonnés de faux témoignages.
Huit heures 100 % pur jus de cerveau : « Les Jours » étaient au « grand débat d’idées » organisé lundi soir à l’Élysée. Et ont survécu.
Après le saccage des Champs-Élysées ce samedi, Édouard Philippe dégaine à la va-vite une nouvelle série de mesures sécuritaires.
Les vies de Cyril Lage (1/2). Celui qui se dit « militant de la démocratie ouverte » préfère taire son passé de lobbyiste.
Dangereuse, mal ficelée, peut-être anticonstitutionnelle… La loi anticasseurs a été votée définitivement par les sénateurs.
Le gouvernement a promis que tout serait lu, mais à vingt jours de la clôture des contributions, la tâche s’avère ardue.
Après sept mois d’enquête, la commission des lois du Sénat a rendu ses conclusions… qui éparpillent la Présidence façon puzzle.
Embarqués dans la caravane des journalistes, « Les Jours » ont assisté au grand (et long) débat du Président en Essonne.
Afin de se rabibocher avec les journalistes, le Président a profité de son voyage en Égypte pour leur chuchoter des confidences.
Jacky et ses compagnons de Voreppe ont joué le jeu du grand débat avec une députée macroniste. Qui a écouté, pas forcément entendu.
Replay. La secrétaire d’État a coanimé vendredi un « Balance ton post ! » spécial grand débat national. « Les Jours » étaient là.
Il aurait dû recueillir la parole des Français dans un bel élan de participation citoyenne. Las, il oriente vers les choix macroniens.
Devant le Sénat, Alexandre Benalla a refusé de répondre à la plupart des questions, entretenant le flou sur l’affaire.
Pour l’« acte X », le pilier du rond-point de Voreppe tractera à Grenoble sa propre missive. Le grand débat ? Il ira, sans illusions.
Faux document, sésames diplomatiques utilisés frauduleusement vingt fois… Devant le Sénat, l’Élysée balance Alexandre Benalla.
Cible des gilets jaunes, la chaîne est en proie à une crise interne qui voit les journalistes remettre en cause ses pratiques.
« Fichier des casseurs », répression des manifs non déclarées… Édouard Philippe sonne l’heure du tournant sécuritaire.
Utilisés sans doute, rendus peut-être… Les passeports diplomatiques de l’ex-conseiller n’en finissent plus d’encombrer Macron.
Il ne sourit plus à pleines dents, il écrit aux gilets jaunes… La nouvelle stratégie de com présidentielle est un peu voyante.
Pour le sociologue Patrick Cingolani, le mouvement des gilets jaunes remet en cause la verticalité du pouvoir et le néolibéralisme.
Samedi, les gilets jaunes du rond-point de Voreppe sont allés mener une action lors de l’inauguration d’une patinoire voisine.
Alors qu’a eu lieu l’« acte V » ce samedi, Élodie, gilet jaune à Voreppe, raconte le découvert chronique, la débrouille et le courroux.
« Les Jours » ont passé les annonces présidentielles au peigne fin. Bilan : du flou, du flan et de l’enfumage.
Ces événements se déroulent en temps réel : Macron promet 100 euros, les gilets jaunes fulminent, les interpellés sont condamnés.
Samedi, l’« acte IV » des gilets jaunes s’est déroulé façon puzzle mais avec une même colère, dirigée contre Emmanuel Macron.
Un mouvement déterminé, un gouvernement tétanisé, des violences redoutées… « L’acte IV » des gilets jaunes se joue ce samedi.
Quasi-résurrection de l’ISF, violences dans les beaux quartiers de Paris… Avec les gilets jaunes, les riches ont failli trembler.
« Les Jours » s’installent sur le rond-point de Voreppe, près de Grenoble, où les gilets jaunes partagent la soupe et la colère.
Macron coupe court au retour de l’impôt, revendication phare du mouvement. Son abrogation n’a pourtant pas montré son utilité.
Le report de la taxe carbone n’apaise pas la colère des gilets jaunes. « Les Jours » racontent l’éruption anti-Macron.
Le Président a beau « entendre » la « grogne » des manifestants, ses mots font flop et le mouvement ne faiblit pas.
Dernier jour d’une « itinérance mémorielle » qui a tourné à la galère présidentielle : pour nos taupes journalistes, c’est la quille.
Pétain a poursuivi Macron jusqu’à Maubeuge. Accusées de tous les maux, nos taupes journalistes se rebiffent.
Polémique Pétain et bataille des Ardennes médiatique… Nos taupes racontent la nouvelle étape de l’« itinérance » présidentielle.
Infiltrée dans la caravane présidentielle, une taupe journaliste raconte aux « Jours » l’étape de l’« itinérance » à Verdun.
Jour après jour, « Les Jours » racontent la tournée des popotes poilues d’Emmanuel Macron à l’occasion du 11 Novembre.
Un Président qui fait lambiner les journalistes, des chaînes info qui comptent les heures et à la fin… Christophe Castaner !
Auditionnés par les sénateurs, les ex-patrons de la sécurité de l’Élysée mettent à mal la version de l’ancien chargé de mission.
Le ministre de l’Intérieur démissionne pour rejoindre Lyon. Un psychodrame à la com où tout ce qui pouvait foirer foira.
Replay. L’ex-chargé de mission était entendu par la commission d’enquête ce mercredi matin. « Les Jours » ont suivi l’audition.
Ce mercredi, au menu de la commission d’enquête, il y avait un chef de cabinet, un général, un commissaire et des contradictions.
De l’affaire Benalla aux Gaulois en passant par Nicolas Hulot, la machine à com présidentielle se grippe et se dévoile.
L’affaire Benalla illustre la faiblesse des contre-pouvoirs et le manque de transparence de la présidence sous la Ve République.
Date par date, tous les moments-clés du thriller politique et médiatique qui secoue la Macronie.
Pour le député PS, qui a participé à la commission d’enquête, l’affaire Benalla illustre le mépris du Président envers le Parlement.
Quiz. « Les Jours » vous invitent à jouer l’un des premiers rôles dans la série de l’été. Êtes-vous plutôt Manu ? Alex ? Gégé ?
Au sein d’En marche et auprès de Macron, le rôle du mystérieux agent de sécurité, compagnon de frappe de Benalla, reste flou.
L’affaire et le fiasco de la commission d’enquête secouent l’hémicycle : la Macronie s’enraye, les opposants rembrayent.
L’affaire Benalla révèle le fonctionnement en circuit fermé des fidèles de Macron… et le rôle inédit de ses conseillers sécurité.
Malgré ce que dit le Président, l’affaire de son ex-chargé de mission est loin d’être terminée : contradictions, flous et bullshits.
Le dircab de l’Élysée « assume » la sanction de Benalla, le Président se dit « seul responsable »… La riposte est en marche.
Entendus par la commission d’enquête, le préfet de police de Paris comme le directeur de l’ordre public ont chargé leurs subordonnés.
Au cours de leur audition, Gérard Collomb et Michel Delpuech ont renvoyé la responsabilité de l’affaire Benalla à l’Élysée.
L’Élysée lance la contre-offensive : fuites de propos présidentiels dans la presse et éléments de langage plus ou moins maîtrisés.
Le 1er mai, Alexandre Benalla, un proche de Macron, brutalise deux manifestants. L’Élysée l’a caché : début d’un thriller politique.
On le connaissait manager de la start-up nation, voilà le président de la République coach tout-puissant des Bleus.
Toute la presse a fêté la première année d’Emmanuel Macron à l’Élysée. Mais pas aussi bien que lui.
Après le traditionnel, le déambulatoire et le soyeux, Macron a testé l’entretien bourre-pifs avec Bourdin et Plenel.
Replay. « Les Jours » vous ont fait vivre en live l’interview du Président sur TF1 par le héraut de la France d’en bas.
D’un côté, le Président s’entretient avec les journalistes élyséens ; de l’autre, il expulse du palais la salle de presse. Ambiance.
Vous avez aimé la leçon de déontologie d’Emmanuel Macron aux journalistes ? Vous allez adorer la façon dont ils l’ont reçue.
« Les Jours » étaient au pince-fesses de l’Élysée pour les vœux du Président à la presse. Au menu : distance et connivence.
Replay. Laurent Delahousse et son art de l’interview ont reçu Emmanuel Macron sur France 2 : « Les Jours » se sont invités.
Il tient à contrôler ses images. Au point de les fabriquer lui-même. Les 19 pages dans le dernier « Paris Match » en témoignent.
Replay. « Les Jours » racontent la toute première interview télé d’un Président qui s’était jusqu’alors refusé à l’exercice.
Le Président boude toujours les médias : mardi encore, à la Sorbonne, il a répondu aux étudiants, moins aux journalistes.
Le Président tourneboule sa com. En difficulté, il s’offre deux nouveaux colocataires : un chien et un porte-parole.
Frappé de disgrâce sondagière, Macron a tenté de se refaire en visitant des enfants. « Les Jours » étaient du voyage organisé.
À l’occasion de la visite du Président américain, Emmanuel Macron a définitivement pris la main sur les médias français.
À Versailles, Emmanuel Macron s’est enfin exprimé sur ce qu’il veut faire de son quinquennat. Mais a-t-il quelque chose à dire ?
De sommet de l’Otan en G7, pour entendre le Président, les journalistes doivent composer avec ceux qui portent sa parole.
Les communicants de François Fillon, Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon racontent l’envers de cette présidentielle hors norme.
Après trois jours de journalisme divinatoire, le nouveau président de la République a fini par nommer son gouvernement.
Mieux que les journalistes embedded avec le président, « Les Jours » ont décidé d’être « in bed » avec lui, enfin, dans sa tête.
En 2017, le candidat a baissé d’un ton. Une stratégie très calculée. Son équipe, elle, a ressorti les hologrammes ce mardi.
#LibertéÉgalitéInformés. Frontale ou subtile, il existe mille façons de piéger la presse sur une présidentielle. Suivez le guide.
Son image de candidat sans projet faisait tache dans sa com bien huilée. Jeudi, Macron a soigné sa présentation aux journalistes.