Le budget de la Sécu expédié sans vote au Sénat, celui des finances totalement gauchisé mais voué à être remanié : tout va bien à l’Assemblée…
Dans un monde où les multinationales prennent le pouvoir sur les États, je m’intéresse aux zones grises des grandes entreprises. Scandales, affaires, dessous cachés d’une opération, j’aime aller chercher et raconter des histoires qui dérangent la belle communication des sociétés. Une de mes spécialités est d’aller dénicher l’information dans des bilans comptables ou dans les rapports internes des entreprises. Pour Les Jours, j’ai enquêté sur les stratégies d’image des grands groupes énergétiques français au moment de la COP21 : c’est l’obsession Good com, bad COP. À Libération (2000-2015), j’ai suivi l’affaire Kerviel, couvert la crise des subprimes, les scandales de golden parachutes et l’évasion fiscale. J’ai aussi animé un blog, « Les cordons de la bourse », sur la finance. Enfin, je suis l’auteur de plusieurs ouvrages, notamment Dexia, une banque toxique (La Découverte, 2013), une enquête sur les emprunts toxiques vendus par la banque aux villes et aux hôpitaux.
Le budget de la Sécu expédié sans vote au Sénat, celui des finances totalement gauchisé mais voué à être remanié : tout va bien à l’Assemblée…
Absentéistes, les fonctionnaires ? Le gouvernement devrait plutôt se pencher sur ses soutiens qui sèchent l’Assemblée. Une pratique répandue.
Un centre et une droite turbulents, des Insoumis dociles, un RN fayot : rien ne se passe comme prévu à l’Assemblée, en pleins débats sur le budget.
Le budget arrive à l’Assemblée et le gouvernement joue avec les mots « impôts » et « économies ». « Les Jours » décryptent les chiffres et les lettres.
La censure a été repoussée, mais le gouvernement est déjà mort-vivant, menacé par l’alliance branlante droite-macronistes et un RN le doigt sur la détente.
Devant l’Assemblée, le Premier ministre a joué au prof sympa. Mais les bons points et les images ne cachent pas son programme sous surveillance du RN.
Depuis l’élection de Yaël Braun-Pivet au perchoir, l’institution a été ébranlée par les votes pour le bureau et les commissions. Récit en quatre épisodes.
Replay. La macroniste est reconduite au poste de présidente de l’Assemblée nationale, devançant le candidat NFP André Chassaigne. Tout ça pour ça.
Les députés d’extrême droite ont fait leur rentrée et arrivent en force à l’Assemblée nationale. En interne s’amorce un timide examen de conscience.
Après un second tour mémorable, les grandes manœuvres ont commencé ce lundi. Évidemment, « Les Jours » étaient en live. Replay.
Racistes, antisémites, conspis, boulets, fantômes… Les aspirants à la députation du parti d’extrême droite prouvent que non, il n’a pas changé.
Après le premier tour qui a mis le RN en tête, « Les Jours » racontent les tractations et les retraits. En gueule de bois et en replay.
Le président du Rassemblement national revient aux fondamentaux du FN : les binationaux menacés et le droit du sol remis en cause.
Flash-back. La figure politique est citée à tout-va, mais la comparaison avec 2024 tient-elle la route ? Retour sur les leçons de 1936.
L’alliance de gauche a détaillé le financement de son programme pour tenter d’échapper au procès en incompétence que lui fait le gouvernement.
Les priorités de Bardella à Matignon ? Pouvoir d’achat, insécurité, immigration. Des annonces vagues sans la moindre explication sur leur faisabilité.
Flash-back. À quoi bon convoquer de nouvelles législatives si c’est pour promettre la même politique ? Macron n’a pas retenu la leçon chiraquienne.
Tandis qu’Éric Ciotti fait imploser LR en s’alliant avec l’extrême droite, le Front populaire négocie son contrat de mariage. Replay de la journée.
Pour planifier l’accès à la capitale cet été, la Préfecture de police a mêlé génie bureaucratique français et flicage olympique. Ici c’est Paris 2024.
Partenaire « premium » des JO, le géant du luxe sponsorise des athlètes. Une opération marketing bien ficelée grâce à une fiscalité complaisante.
Le créateur de l’identité visuelle des Jeux olympiques porte plainte : il accuse le comité d’organisation des JO et Havas de collusion.
Un Français qui jette l’éponge, une usine allemande qui ferme : les temps sont durs pour le photovoltaïque européen… qui s’exporte aux États-Unis.
Concurrence chinoise, manque d’investisseurs… Les projets d’usines de panneaux photovoltaïques Holosolis et Carbon sont-ils déjà en péril ?
Les dessous du pionnier (2/2). Sauvé pour de faux par Sarkozy et EDF, le fleuron français du photovoltaïque agonise, dans l’indifférence macroniste.
Les dessous du pionnier (1/2). Né en 1979, le fleuron français des panneaux photovoltaïques avait la technologie et les capitaux. Ça n’a pas suffi.
Inaugurée en 1983, la centrale Thémis devait faire de la France la championne de l’énergie solaire. Un projet ambitieux sacrifié trois ans plus tard.
32 des 86 articles de la loi « immigration » ont été supprimés. Le gouvernement s’estime conforté tandis que droite et extrême droite hululent.
Le Conseil constitutionnel va censurer ce jeudi le texte adopté avec les voix du RN. « Les Jours » dissèquent les mesures les plus litigieuses.
La loi « immigration » dans sa version la plus dure a été votée à l’Assemblée nationale, avec les voix du RN. Un tournant pour Emmanuel Macron.
Après le rejet du projet de loi, une commission mixte paritaire va tenter de trouver un compromis ce lundi. Mais comme la droite ne veut rien lâcher…
Échec pour le ministre de l’Intérieur : la motion de rejet de son texte déposée par les écologistes a été votée, avec l’appui du RN et de LR.
Autain, Faure, Hamon, Jadot… Tous ont défendu l’immigration et rêvé de victoires. Loin du vrai rapport de force dans l’hémicycle, où débarque la loi.
En commission des lois, la Macronie a détricoté sa mesure de régularisation des travailleurs sans-papiers pour plaire à la droite. Ça n’a pas marché.
La démagogie des sénateurs, l’héritage du ministère de l’Identité nationale et la réalité du terrain : entretien avec le chercheur Matthieu Tardis.
Les sénateurs LR et du centre ont durci le projet de loi « immigration », notamment en supprimant l’article 3. Pour Gérald Darmanin, ça passe crème.
Les débats sur la loi « immigration », à partir de ce lundi au Sénat, vont préfigurer le rapport de force de la présidentielle : à droite toute.
En 1970, le four solaire d’Odeillo qu’installe Félix Trombe dans les Pyrénées est une réussite technologique. Las, c’est un échec commercial.
L’Algérie a été à l’avant-garde du photovoltaïque. Mais la guerre ainsi que les gisements de pétrole et de gaz ont éclipsé cette manne naturelle.
En 1861, un enseignant invente une pompe solaire… qui aurait pu faire de la France une pionnière de cette énergie pas si nouvelle. Raté.
Macron n’a pas trop de mots doux pour le photovoltaïque. Mais comme du temps de ses prédécesseurs, les actes manquent.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la constipation et la galvanothérapie.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, fatigue fatale au volant.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, deux gifles à sa femme.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le livre pornographique.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, du chanvre indien au Golf Drouot.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les billets SNCF gratuits.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les motocyclettes soustraites.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le piéton renversé.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les 21 kilos de haschich.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le ferrailleur et les Portugais.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la dette évaporée.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le flipper illégal.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le radiateur à gaz défectueux.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, des pavés sur la police.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la violence du proxénète.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le faux conducteur.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, l’arcade et le « sale étranger ».
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, passion pastis.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les « manœuvres abortives ».
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la demande d’expertise psychiatrique.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les filles de la rue Quincampoix.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le squatteur de chambres.
Le petit oiseau est mort, remplacé par une lettre, a annoncé le proprio de Twitter. Personne ne comprend ses projets. Mais en a-t-il vraiment ?
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, 120 km/h dans Le Kremlin-Bicêtre.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, morsure sur policier.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les policiers ivres.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la maîtresse iranienne.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, l’importation d’« Orgy for Two ».
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le numéraire dérobé.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, 3,00 grammes par litre de sang.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, l’absence d’occupation salariée.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les colliers de perles japonais.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, coït buccal dans la R16.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la mauvaise foi.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les faiseuses d’anges.
Chaque jour, « Les Jours » plongent un demi-siècle en arrière et publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris.
Faire oublier la gestion erratique d’Elon Musk sera un défi immense pour la nouvelle PDG. Mais la laissera-t-il seulement agir ?
Années 1930 ou 2020, superprofits ou pertes… Ça ne change rien : Total distribue de généreux dividendes. Et tant pis pour les investissements.
Malgré ses succès commerciaux, la filiale solaire est restée le parent pauvre du groupe pétrolier, avant d’être tout simplement sacrifiée.
À la fin des années 1970, le pétrolier a été un pionnier de l’énergie solaire… avant de tout laisser tomber. Enquête dans les archives.
Les profits records annoncés ce mercredi attestent de la complaisance du fisc avec le pétrolier. Une indulgence déjà à l’œuvre en 1977…
Au cours des années 1970, le pétrolier a pu compter sur des hauts fonctionnaires très conciliants pour éviter l’impôt, en toute discrétion.
Via le ministre des Finances, la compagnie impose le « bénéfice mondial consolidé », qui fait discrètement s’évaporer l’impôt. Le coup parfait.
Prospecter et creuser pour trouver de nouveaux puits, ça coûte cher. Sauf quand on peut déduire de ses impôts ses investissements…
Dès 1955, l’entreprise empile les succursales et les filiales dans de savants montages financiers. Le but : échapper à l’impôt en France.
Le milliardaire change les règles de Twitter au gré de son humeur. Les autorités américaines, européennes et françaises lancent la riposte.
« Les Jours » ont mis la main sur des archives inédites qui détaillent le premier montage offshore du pétrolier pour réduire ses impôts.
Il fut un temps où Total était taxé en France… puis un accord entre États-Unis et Arabie saoudite a chamboulé la fiscalité du pétrole.
Abonnement à 8 dollars par mois, interventionnisme débridé, menaces… Depuis sept jours, le boss secoue son cadeau à 44 milliards. Déjà lassé ?
Dans la tourmente, l’entreprise se rend compte cette année-là qu’elle a tout intérêt à parler à l’opinion pour imposer ses (contre)vérités.
Cette année-là, une commission parlementaire révèle les avantages fiscaux du pétrolier. Près de 50 ans plus tard, rien ou presque n’a changé.
L’impuissance des politiques à taxer le géant pétrolier en France remonte à… À quand déjà ? « Les Jours » creusent.
Le milliardaire a surpris en relançant son offre d’acquisition. Certes, il échappera sans doute à un procès, mais a-t-il seulement un plan ?
Entre la reculade d’Elon Musk et les révélations d’un lanceur d’alerte, le réseau social ne peut plus nier son problème de bots.
Le rachat avorté du réseau met en lumière une question : quelle place entend-il occuper dans la guerre entre conservateurs et progressistes ?
Nombre d’abonnés stagnant, harcèlement sexiste, terreau complotiste : en 2015, Jack Dorsey est rappelé à la rescousse de Twitter. Pas gagné.
Jack Dorsey, Elon Musk, militants, cyberharceleurs… « Les Jours » racontent la saga de l’oiseau bleu.
Bien que relative, la majorité a passé l’épreuve du feu de sa toute première loi, bénéficiant de l’apport des Républicains. Surprise.
Le texte macroniste ? « Décevant » « socialisant », négligeant les « classes moyennes », selon la droite. Qui l’a voté sans barguigner.
Pluie d’amendements, invectives, défense des plus pauvres : pour la loi pouvoir d’achat, les députés LFI ont adopté la stratégie Ruffin.
En commissions, le texte n’a pas pu être modifié par les néodéputés de la Nupes. Mais le vrai match commence maintenant, dans l’hémicycle.
Le pouvoir d’achat en berne, l’Assemblée écartelée, une première loi-test… Embarquez pour la saga parlementaire de l’été.
Jamais le Rassemblement national n’avait compté autant de députés : 89. Le front républicain a vécu, abattu par un Macron aux abois.
Jean-Luc Mitterrand ? François Mélenchon ? L’historien Mathieu Fulla compare 2022 et 1972 : les mesures, les attaques, les contextes.
Le programme économique de la Nupes, c’est la faillite assurée, menacent la Macronie et Terra Nova. Scoop : c’est plus compliqué que ça.
Pas de rêve de Matignon, pas de poids lourds, pas d’objectif chiffré de députés… Le RN en a-t-il quelque chose à faire des législatives ?
Pour conclure un accord avec LFI, EELV et le PS semblent prêts à fermer les yeux sur le point qui les divise : l’Europe.
Un Président réélu malgré lui, une extrême droite au plus haut, une gauche qui tente de s’unir : et maintenant, les législatives…
Climat, Covid, logement… « Les Jours » mettent en lumière les sujets importants zappés par les candidats.
Depuis le fiasco du débat de 2017, elle a passé un vernis de sérieux sur son programme… qui cache mal sa xénophobie et ses calculs bancals.
Tous les candidats à la présidentielle souhaitent dézinguer l’impôt sur les héritages. Une promesse populaire… tout autant qu’inutile.
Le candidat Insoumis répète le terme à tout-va dans sa campagne, mais en simplifiant à l’excès la théorie du philosophe Édouard Glissant.
Livrer les Ukrainiens en armes ou non ? L’attaque russe a réveillé une doctrine aussi vieille que la guerre : le pacifisme.
Poutine envahit l’Ukraine : « Les Jours » analysent les relations avec un pays qui a toujours suscité un clivage politique en France.
Inventé par Renaud Camus et banalisé par Éric Zemmour, le concept raciste surfe sur les fantasmes migratoires de l’extrême droite.
« Les Jours » décortiquent les idées de la présidentielle. Premier épisode : un mythe qui sent la naphtaline.
Que sont-ils devenus ? Après la gloire, l’oubli. Le Covid-19 originel a disparu. « Les Jours » l’ont retrouvé. Interview exclusive.
Sous-estimée, moquée, la candidate socialiste s’en sort toujours. Sereine et stratège. Peut-elle refaire le coup ? (3/3)
Pas de primaire puis en fait si, de l’écologie mais pas trop non plus… Vous êtes perdus ? Normal, la candidate est inconstante. (2/3)
Des électeurs introuvables, des volte-face gênantes, une primaire snobée… Une campagne plombée, c’est ça ! (1/3)
Journal de reredéconfinement. « Les Jours » rassemblent les infos essentielles sur la crise sanitaire. En accès libre.
Nombre de cas en hausse, mesures renforcées chez nos voisins… Risque-t-on une fin d’année reconfinée ? Voici ce qui nous pend au nez.
Et soudain, la quête kafkaïenne de notre journaliste pour disposer de tous les cahiers de doléances adressés à Emmanuel Macron rebondit…
Soutenu par les socialistes, il a pu magouiller en toute impunité. Quand le vent a tourné, il s’est tourné vers la Sarkozie (3/3).
Dans les années 80, l’homme d’affaires fait aimer le capitalisme. En dépeçant des boîtes à coups de plans sociaux et de baratin (2/3).
Mort ce dimanche, Nanard s’est servi de son business pour se faire élire. Souvenirs d’un journaliste qui l’a pratiqué (1/3).
Dans l’opposition aux vaccins contre le Covid et au passe sanitaire, les ratés du gouvernement ont leur part de responsabilité.
Deux ans après le grand débat, « Les Jours » publient des extraits des cahiers citoyens adressés à Emmanuel Macron. Une quête kafkaïenne.
Replay. Peu d’électeurs ont voté mais ceux qui l’ont fait ont choisi des têtes connues. « Les Jours » ont détricoté résultats et discours.
Le deuxième tour verra-t-il la participation augmenter ? Et comment se résoudront les nombreuses quinquangulaires ? Réponses ce dimanche.
LREM se cherche et la gauche est désunie : l’Île-de-France prépare 2022. Sauf que le RN n’y joue pas la gagne, contrairement à la droite.
Ce mercredi, la France retrouve un semblant de vie normale. Faut-il crier « youpi ! » ou « trop tôt ! » ? Les deux à la fois, peut-être.
Ouf, dingue, miracle : fermer les écoles fait fortement baisser la contamination chez les plus jeunes. Mais à la rentrée…
Lors de son allocution annonçant le troisième confinement, le Président, tout en autosatisfaction, n’a reconnu aucune erreur de stratégie.
Son entêtement à garder les écoles ouvertes fait fi de la réalité sanitaire : le nombre de contaminations explose parmi les enfants.
Comparaison hasardeuse avec les pays voisins, attestation litigieuse… Les annonces du Premier ministre sont à prendre avec des pincettes.
En mars 2020, la pandémie assaillait la France, et politiques et scientifiques enchaînaient les déclarations-chocs… et fausses.
Les habitants de Nice et Dunkerque expérimentent une mesure inédite en France… mais fréquente ailleurs. Bilan épidémiologique.
Le gouvernement veut faire du travail à domicile la règle mais sans embêter les entreprises qui, finalement, n’en font qu’à leur guise.
Pour prévoir l’évolution de l’épidémie, des chercheurs fouillent… nos eaux usées. Des chiffres qui ont déjà annoncé la deuxième vague.
Le couvre-feu à 18 heures est généralisé. Mais cela marche-t-il ? Et le confinement ? Ignorées par le pouvoir, les études parlent enfin…
Critiqué pour la lenteur de la vaccination, le gouvernement revient sur sa propre stratégie. « Les Jours » remettent les aiguilles à zéro.
Que sont-ils devenus ? L’ex-ministre de la Santé se tait et se terre. Les municipales et une enquête sur le Covid sont passées par là.
Censé chouchouter les forces de l’ordre, l’article 24 crispe ONG, journalistes… et même les députés LREM. Un bel exploit.
À Paris, des exilés violentés, des journalistes molestés, un Darmanin faussement choqué, l’article 24 voté… Et quelles responsabilités ?
Après quatre jours de tensions démocratiques, l’article 24, qui limite la diffusion d’images des policiers, a été adopté ce vendredi soir.
Règles plus souples ou population indisciplinée ? Afin de savoir pourquoi les rues sont pleines, « Les Jours » font parler les chiffres.
Macron n’a pas fait dans le détail ? Castex n’a pas précisé les contours de la vie à venir ? « Les Jours » tentent le coup.
Au terme d’un revirement surprise et alors que la deuxième vague était prévisible, Macron annonce un reconfinement national dès vendredi.
Si ça a marché là-bas, ça marchera ici, dit le ministre de la Santé… Qui oublie les dimanches cloîtrés et les confinements locaux.
Face au regain de l’épidémie, après le confinement et le déconfinement, voici le couvre-feu, annonce le Président. La faute à qui ?
Le gouvernement dit qu’on a plus de risques d’être contaminés dans un café. Les études qui le prouvent n’existent pas. Point barre.
Pour désengorger les labos, Olivier Véran promet des millions de tests antigéniques. Un énième effet d’annonce dans sa com anti-Covid.
Les dernières données alimentent la guerre entre scientifiques alarmistes et optimistes. Ce vendredi, le gouvernement doit trancher.
Mad masques (2/2). Devant la commission d’enquête, elle a prétendu ignorer le non-remplacement du stock fin 2018. Kof kof kof…
Mad masques (1/2). Les auditions de la commission d’enquête parlementaire font la lumière sur l’impréparation française face au Covid-19.
Replay. 5 000 communes ont enfin choisi leur maire. Poussée écolo, déculottée LREM… Revivez ici le second tour le plus long.
Hidalgo, Dati, Buzyn : trois candidates, trois campagnes hachées par une pandémie. Finale ce dimanche soir de municipales hors du commun.
Le président Macron avait promis la rentrée de tous les élèves ce lundi : le ministre Blanquer a déjà échoué.
Pour la première fois confrontées les unes aux autres mercredi, les trois candidates ont remodelé leur programme à l’aune de l’épidémie.
Hidalgo et Belliard s’allient tandis que Dati et Buzyn se disputent une candidate. Qui va gagner ? Faites vos jeux sur « Les Jours ».
Les municipales reprennent, mais pas là où Hidalgo, Dati et Buzyn les avaient laissées : le Covid-19 a tout bouleversé.
Pendant que le ministre fanfaronne sur une rentrée sans accroc, les enseignants triment pour concilier protocole sanitaire et éducation.
Des trains à l’heure, des voyageurs masqués qui respectent les distances… Reportage à Paris, entre les mailles de la com de la SNCF.
Complexes mais puissants, les modèles épidémiologiques sur lesquels le pouvoir s’appuie pour endiguer le virus sont loin d’être parfaits.
Le 11 mai, tout le monde dehors, mais par département… et que personne ne bouge ! Ce mardi, Édouard Philippe a joué à l’équilibriste.
Comme le gouverneur de la Banque de France, les tenants de la rigueur tentent d’imposer leur agenda pour le monde d’après. Insensé.
Malgré la « modération » demandée par l’exécutif, le groupe pétrolier verse 1,8 milliard d’euros de dividendes à ses actionnaires.
Sommes-nous à l’orée d’une récession mondiale de type 1929, comme le prévoit Bruno Le Maire ? Non… sauf si le confinement dure.
Confinement, fermeture des frontières, immunité collective : les différentes stratégies des pays européens ne sont pas toutes compatibles.
Face au Covid-19, le Président découvre que le capitalisme n’a pas que du bon, comme Sarkozy en 2008, lors de la crise des subprimes.
Replay. « Les Jours » ont mis leur masque pour raconter la plus inédite des soirées électorales pour le plus bizarre des scrutins.
Qui sera maire de la capitale ? Facile ! Mélangez le vote traditionnel, le scrutin par arrondissement… et le macronisme droitisé.
Replay. « Les Jours » ont raconté le débat entre les principaux candidats à la mairie. Attention, ça a tiré à balles réelles.
Bobo chez l’une, prout-prout chez l’autre : les présentations de leurs programmes culturels reflètent les candidates jusqu’à la caricature.
La remplaçante de Griveaux a trente jours pour s’improviser maire de Paris : récit de la première semaine de campagne d’Agnès Buzyn.
Ils sont tous les deux sortis de la cuisse de Jupiter mais l’un a été banni et l’autre n’est qu’arrogance. Meetings en duplex à Paris.
J’aime les cyclistes ! Moi, je les adore ! Moi, j’en suis un… Les candidats à la mairie n’en feraient-ils pas un peu trop ?
Grand collectionneur d’art, il finançait le rapatriement en Afrique d’œuvres spoliées. Les « Luanda Leaks » viennent de le rattraper.
Contre 4,6 millions, l’école va débaptiser une cour de son futur campus. Et une riche Américaine décédée en 2014 aura « son » jardin.
Accusé d’avoir profité du mécénat de Renault pour célébrer au château l’anniversaire de son épouse, l’ex-PDG a reconnu les faits.
Que sont-ils devenus ? « Les Jours » révèlent que les courriers et les cahiers citoyens n’ont jamais été mis en ligne.
Pour lever des fonds, de plus en plus d’établissements baptisent salles et bâtiments du nom de leurs donateurs. Rien ne les arrête.
Les dérives de la Face, fondation présidée par l’ex-PDG d’Engie, illustrent les limites du financement du social par les grands patrons.
Créé par Anne Hidalgo, le Fonds pour Paris pousse au mélange des genres entre l’argent de riches mécènes et le patrimoine public.
L’asso de victimes du 13 Novembre critique le financement par mécénat du « cadeau » de l’artiste, inauguré ce vendredi matin.
Offerte par l’artiste à la ville de Paris, la sculpture, inaugurée le 4 octobre, a été financée par des mécènes pas du tout désintéressés.
Pour ses impôts, l’homme d’affaires a fait sa propre tambouille ; pour sa fondation culturelle, le mécène a dépensé sans compter.
Le secrétaire d’État Gabriel Attal a donné ce jeudi les contours d’une réforme fiscale qui ne devrait pas bouleverser le mécénat.
L’Oréal, Engie ou encore Suez participent au financement du sommet mondial de Biarritz. Une générosité tout à fait intéressée.
Le musée s’est embourbé dans un contrat de mécénat avec les Sackler, accusés d’avoir créé la crise des opioïdes aux États-Unis.
L’avantage fiscal offert aux gentils donateurs disparaîtra-t-il ? « Les Jours » décodent les signaux contradictoires de l’exécutif.
Ses investissements dans la culture font de Maja Hoffmann la vraie boss de la capitale camarguaise, éclipsant les politiques.
Était-ce une fable ? Il prônait un meilleur contrôle des indemnités des parlementaires, c’est par là qu’il a péché : il a démissionné.
Visites particulières, privatisations… Les généreux mécènes négocient dur avant de verser leur obole aux causes qu’ils défendent.
La collecte pour Notre-Dame l’a montré, PDG et milliardaires rivalisent pour dégainer leur chéquier. Mais pourquoi tant de bonté ?
Replay. « Les Jours » ont suivi la conférence de presse du Président depuis l’Élysée : du flou, du vide et du théâtre.
Frank Escoubès a créé la boîte qui traite les contributions des Français sur les ruines d’un « Wikipédia de l’innovation sociale ».
Info « Les Jours ». Mails, lettres, cahiers citoyens… Faute de temps, seule la moitié des doléances spontanées ont été traitées.
La restitution a eu lieu ce lundi : 720 000 idées ont été collectées… mais toujours pas celles de Macron pour résoudre la crise.
La tournée du grand débat a fait halte au palais Bourbon. Dans l’hémicycle, trois pelés, un tondu… et « Les Jours ».
Les conférences citoyennes devaient être l’apogée de la consultation. Brouillonnes et expédiées, elles risquent de faire pschitt.
Huit heures 100 % pur jus de cerveau : « Les Jours » étaient au « grand débat d’idées » organisé lundi soir à l’Élysée. Et ont survécu.
Les vies de Cyril Lage (2/2). Il voulait aider le citoyen à coécrire la loi. Aujourd’hui, il fournit le site, biaisé, du grand débat.
Les vies de Cyril Lage (1/2). Celui qui se dit « militant de la démocratie ouverte » préfère taire son passé de lobbyiste.
Le gouvernement a promis que tout serait lu, mais à vingt jours de la clôture des contributions, la tâche s’avère ardue.
Info « Les Jours ». En lançant son offre de visite à domicile, l’entreprise pensait toucher le jackpot. Raté, prouve un document interne.
Il aurait dû recueillir la parole des Français dans un bel élan de participation citoyenne. Las, il oriente vers les choix macroniens.
La ministre peut-elle animer le débat au vu de son revenu chez Danone, repéré par « Les Jours » ? Chantal Jouanno, elle, y a renoncé.
Les nouvelles technologies de téléassistance s’insinuent chez nos aînés, pour leur sécurité mais sans considération de leur vie privée.
Les mesures destinées à contenter les gilets jaunes ont été adoptées… mais ne sont pas à la hauteur des annonces d’Emmanuel Macron.
À l’origine défendu par quelques militants, le référendum d’initiative citoyenne est devenu l’étendard des gilets jaunes.
« Les Jours » ont passé les annonces présidentielles au peigne fin. Bilan : du flou, du flan et de l’enfumage.
Ces événements se déroulent en temps réel : Macron promet 100 euros, les gilets jaunes fulminent, les interpellés sont condamnés.
Samedi, l’« acte IV » des gilets jaunes s’est déroulé façon puzzle mais avec une même colère, dirigée contre Emmanuel Macron.
Quasi-résurrection de l’ISF, violences dans les beaux quartiers de Paris… Avec les gilets jaunes, les riches ont failli trembler.
Macron coupe court au retour de l’impôt, revendication phare du mouvement. Son abrogation n’a pourtant pas montré son utilité.
Censé permettre d’appeler à l’aide en cas de chute, le médaillon autour du cou des vieux est joli, rassurant… et inutile. Patatras.
Convoité par les entreprises et fantasmé par l’État, le marché des vieux ne rapporte toujours pas.
De plus en plus nombreux, les vieux sont un marché alléchant pour les entreprises. Enquête sur le business des personnes âgées.
Après 48 heures de garde à vue, l’ancien chef d’État est mis en examen pour corruption dans l’affaire des financements libyens.
Info « Les Jours ». Malgré ses dénégations, le groupe a bien réduit ses impôts grâce à ses holdings luxembourgeoise et belge.
La députée Amélie de Montchalin a tancé les banquiers pour qu’ils poussent leurs clients à investir dans les PME. En vain.
Info « Les Jours ». Le groupe laitier a économisé des millions d’euros d’impôt grâce à ses montages dans des paradis fiscaux.
Les ouvrages de Jean-Noël Jeanneney et de Brice Couturier convoquent Saint-Simon, Ricœur ou Hegel. Mais oublient, hélas, les faits.
Des acteurs de l’entrepreneuriat concoctent le texte dans un accélérateur de start-up ? « Les Jours » s’y sont glissés.
Pour une future loi sur le financement des entreprises, le duo va chercher… les idées des entrepreneurs. Une première.
Un contrôle des frais des parlementaires est instauré mais qui pourrait n’avoir finalement lieu qu’une seule fois par mandat.
Annoncée cet été mais absente du programme d’En marche, la réforme de l’allocation logement est en fait échafaudée depuis un bail.
Houspillée par l’opposition à l’Assemblée nationale sur le « cadeau aux riches », la majorité En marche a dévoilé sa doctrine.
Pendant la campagne, Macron avait vendu une réforme fiscale à coût nul pour l’État. Promesse tenue… à 4,5 milliards près.
La « transformation », c’est le credo du Président. « Les Jours » dissèquent sa politique économique et l’idéologie qui la porte.
Tout fier, le Président a promulgué ce vendredi la loi « moralisation » devant les caméras. En oubliant plusieurs promesses.
La loi « moralisation » termine son voyage ce vendredi devant une institution hyperpuissante, où les lobbies ont leurs entrées.
Pas d’accord sur la suppression de la réserve parlementaire : la loi « moralisation » repart pour un tour.
Les débats sur la loi « moralisation » ont été perturbés par plusieurs incidents dus à l’amateurisme des néodéputés En marche.
Le gouvernement avait promis des consultations sur la loi « moralisation », mais n’en avait cure. Logiquement, ça a tourné court.
Examinant la loi « moralisation », les députés macronistes ont brillé par leur mutisme. Seule la rapporteure a joué son rôle.
Interdire les emplois familiaux ? Les sénateurs ont d’abord refusé cet article de loi… avant de faire volte-face, penauds.
Fâchés contre la loi « moralisation » qui rogne leurs privilèges, les élus multiplient les propositions loufoques.
Info « Les Jours ». Le patron du groupe UDI François Zocchetto veut appliquer aux journalistes les mêmes règles qu’aux élus.
Fin de la réserve parlementaire, contrôle des frais… Nicole Belloubet n’a pas converti les élus à la « moralisation ».
Après le départ de Bayrou, la loi « moralisation » se fait tacler par les élus locaux, qui refusent qu’on limite leurs mandats.
François Bayrou démissionné et remplacé par Nicole Belloubet à la Justice : que va devenir le texte qu’il a porté ?
François Bayrou devait porter haut l’étendard de la moralisation politique, il se retrouve embourbé dans les affaires.
Il a largement réécrit la « loi de moralisation de la vie publique » promise par Macron. Pas grave, le candidat n’y tenait pas.
L’affaire Ferrand se télescope avec la loi de moralisation de la vie politique. « Les Jours » racontent la fabrique d’une réforme.
Avant de devenir le credo du candidat, ce concept a inspiré Aristote, Kant et Martine Aubry. Mais aussi le management.
Les deux candidats promettent une nouvelle constitution. Et remettent sur la place publique la question institutionnelle.
Pour résister à l’austérité allemande, l’économiste rallié à Benoît Hamon défend l’idée d’un Parlement de la zone euro.
François Fillon veut un enseignement de l’histoire à la gloire de la France. Une vieille lubie conservatrice.
Si les affaires encombrent la campagne, l’honnêteté en politique n’est pas un sujet de réflexion. « Les Jours » s’y collent.
Hamon a demandé à l’économiste Julia Cagé une version chiffrée de sa mesure. Quitte à frustrer ses militants historiques.
Élections, gouvernance : nos institutions ont besoin d’une mise à jour numérique, clament des activistes. Hamon les a entendus.
Laisser le hasard choisir nos représentants : l’idée a émergé en ce début de campagne, elle est loin d’être absurde.
Les adversaires de l’idée portée par le vainqueur du premier tour de la primaire l’ont-ils seulement examinée ?
Un minimum vital pour tous : ce vieux concept s’offre un come-back avant la présidentielle. Et trouble le jeu politique.
LuxLeaks oblige, le pays s’affiche en combattant de l’opacité fiscale. Mais il continue à draguer les gros portefeuilles.
Antoine Deltour et Raphaël Halet devraient écoper de peines légères. Mais leur statut de lanceurs d’alerte est attaqué.
Jugés en appel à partir de ce lundi, Antoine Deltour, Raphaël Halet et le journaliste Édouard Perrin se serrent les coudes.
Info « Les Jours ». Pour investir en Asie et à Miami, le PDG de LVMH passe par un fonds au Grand-Duché. Bye-bye le fisc.
Info « Les Jours ». L’homme d’affaires est l’heureux et discret détenteur de holdings dans le Grand-Duché depuis vingt ans.
Info « Les Jours ». L’ex-GDF Suez a transféré 27 milliards d’euros au Grand-Duché pour payer le moins d’impôt possible.
Enquête « Les Jours ». Le groupe français a créé 26 filiales au Luxembourg et y multiplie les montages alambiqués.
Info « Les Jours ». Le boss de Vente-privee.com tacle ses pairs logés au Luxembourg… où il détient lui aussi des holdings.
Info « Les Jours ». Le financier Marc Ladreit de Lacharrière a logé l’essentiel de sa fortune au Luxembourg.
Lanceur d’alerte, tu n’es pas le bienvenu ! Malgré le sursis pour Deltour et Halet, c’est le message envoyé mercredi.
Marc Ladreit de Lacharrière est un proche de Hollande. « Les Jours » révèlent qu’il utilise des holdings au Luxembourg.
Derrière les boîtes aux lettres du Grand-Duché pullulent les sociétés-écrans et les interlocuteurs taiseux. Suivez le guide.
Dès 1998, un comité européen a tenté de lutter contre l’évasion fiscale au sein de l’UE. Un effort freiné par le Luxembourg.
Depuis LuxLeaks, les députés européens enquêtent sur les grandes sociétés présentes dans les paradis fiscaux. Mais modérément.
Défendre ses principes et sauver sa peau, exercice compliqué pour le lanceur d’alerte et le journaliste, qui risquent tous deux gros.
L’audition de Raphaël Halet, ce vendredi, a montré que le fisc luxembourgeois était inféodé à PricewaterhouseCoopers.
Le procès des deux lanceurs d’alerte et du journaliste dérange un pays toujours embarrassé par son image de paradis fiscal.
Premier jour d’audience ce mardi pour Antoine Deltour et Raphaël Halet, lanceurs d’alerte, et Édouard Perrin, journaliste.
Antoine Deltour est jugé à partir de demain pour avoir fait fuiter des documents de PwC. Il risque dix ans de prison.
Pour se débarrasser de sa réputation fiscale, le Grand-Duché organise son « nation branding ». Un lavage très artificiel.
« Les Jours » entament une obsession sur le Luxembourg, un territoire offshore très proche mais un pays méconnu.
Très présentes à la conférence de Paris, les multinationales ont adopté une communication subtile. Ce qui leur a permis de « greenwasher » en toute tranquillité.
Pendant la COP21, entreprises et ONG ont cherché à séduire l’opinion publique
en diffusant des messages simples, mais elles ont évité les débats qui pourraient les mettre en porte-à-faux.
Financé par les entreprises, ce think tank qui veut « décarboner » l’économie est un outil bien pratique pour communiquer sur leurs engagements climatiques.
À la tête de Total depuis décembre 2014, Patrick Pouyanné s’affiche comme un homme sympa et ouvert aux questions climatiques. Mais l’intérêt de son entreprise passe avant tout.
Pour pousser BNP Paribas à arrêter de financer le charbon, l’ONG les Amis de la Terre a multiplié les actions contre la banque. Exemple en octobre, devant une agence à Paris.
Les entreprises françaises promettent de se désengager de l’énergie fossile la plus polluante pour apparaître irréprochables le temps de la COP.