Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, Marine Le Pen et ses camions d’excuses.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, Marine Le Pen et ses camions d’excuses.
Deux ans de prison ferme et surtout une peine d’inéligibilité immédiate ont été requis contre la patronne du RN. Qui crie à la mise à mort politique.
Une fois par mois, on juge des flics à Bobigny. En novembre, un gros coup de genou, un « Dry January » qui aurait pu mal tourner et des CD trop vierges.
Malgré les mails, malgré les tableaux, malgré les preuves, malgré l’évidence, les prévenus continuent à nier le détournement de fonds européens.
Mathias Vicherat, ex-directeur de Sciences-Po, et Anissa Bonnefont étaient jugés pour violences réciproques. Six mois avec sursis ont été requis pour chacun.
Selon elle, les assistants européens pouvaient travailler pour le parti et puis ils travaillaient vraiment à Bruxelles et même en « pool »… Un calvaire.
Allyssia Davaine a échappé de peu à la mort en 2020. Jugé du 3 au 8 octobre, Johnny Verslype, son ex-conjoint, a été condamné à quinze ans de prison.
Argumentaire malmené et addition revue à la hausse : le parti d’extrême droite, accusé de détournements de fonds européens, s’enfonce déjà.
En 2021, deux « baqueux » sans brassard visible ont tiré huit fois en six secondes sur un couple à la suite d’un refus d’obtempérer. Ils étaient jugés ce jeudi.
En 2020, la jeune femme réchappait d’une tentative de meurtre par son ex-conjoint. Déterminée, elle s’est confiée aux « Jours » avant l’ouverture du procès.
Ce lundi débute le procès des assistants parlementaires européens du RN. Une condamnation de sa cheffe entraverait une nouvelle candidature présidentielle.
Le premier jeudi, c’est procès de flics à Bobigny. Chaque mois, « Les Jours » observent comment sont jugés les policiers accusés de transgresser la loi.
Une association a réalisé ce que refuse de faire le pôle de Nanterre : une carte des 369 homicides non élucidés. Un total sûrement sous-estimé.
Le commissaire n’a « pas commis de faute », sa radio n’a pas marché, tout était imprévisible et un homme est mort : Steve. Jugement en septembre.
À la barre, les policiers présents le soir de la mort de Steve Maia Caniço affirment avoir agi en légitime défense et incriminent « l’effet tunnel ».
Pour la première fois depuis la mort du jeune homme noyé dans la Loire en 2019, la famille s’est exprimée à la barre.
Le commissaire Chassaing est jugé dès ce lundi pour l’homicide involontaire de Steve Maia Caniço. Loïc Sécheresse dessine le procès pour « Les Jours ».
En mai 2023, trente catholiques extrémistes ont empêché l’organiste Kali Malone de se produire dans le Morbihan. Deux étaient jugés ce mercredi.
Les succès d’élucidation du pôle de Nanterre, créé il y a deux ans, révèlent les défaillances du passé. Et le manque de moyens d’aujourd’hui.
Dans les quatre CV que « Les Jours » se sont procurés, l’affabulateur s’invente des expériences de toutes pièces, au gré de ses ambitions.
Il a été journaliste, escroc, faux neveu de Brigitte Macron… il a un nouveau terrain de jeu : EELV, où il est prêt à tout pour gravir les échelons.
« Suicide altruiste », euthanasie… Dans le cas de séniores malades, on tait bien souvent des meurtres. Les explications de la chercheuse Margot Giacinti.
Au terme d’un procès qui a mis en lumière sa responsabilité dans les crimes de son ex-mari, elle a écopé de la perpétuité, avec vingt ans de sûreté.
Point-clé du procès, les 35 meurtres que Fourniret aurait pu commettre, au lieu des 11 connus. « Peut-être vrai ou pas vrai », dit la complice.
Jugée pour la troisième fois pour trois des meurtres commis avec Michel Fourniret, Monique Olivier s’est présentée en femme soumise et apeurée.
Les ratés judiciaires sur le parcours criminel du couple seront au cœur du procès de Monique Olivier, le premier du pôle « cold cases », mardi.
Éric Dupond-Moretti a été relaxé par la Cour de justice de la République. Relisez ici l’épisode d’« Alerte Sécheresse » sur le procès.
En 2020, Allyssia Davaine a échappé par miracle à la mort. Elle raconte aux « Jours » la vie de survivante d’une tentative de féminicide.
Malgré un récent décret trop mal connu, ce sont souvent les familles elles-mêmes qui se chargent de faire disparaître les traces des meurtres.
En 2021, 684 femmes se sont tuées ou ont tenté de le faire suite à du harcèlement conjugal. Une infraction difficile à prouver.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la constipation et la galvanothérapie.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, fatigue fatale au volant.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, deux gifles à sa femme.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le livre pornographique.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, du chanvre indien au Golf Drouot.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les billets SNCF gratuits.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les motocyclettes soustraites.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le piéton renversé.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les 21 kilos de haschich.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le ferrailleur et les Portugais.
Le meurtre non-résolu d’une lycéenne en 1993 a été confié au pôle « cold cases ». Ce cas soulève la question des féminicides par auteur inconnu.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la dette évaporée.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le flipper illégal.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le radiateur à gaz défectueux.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, des pavés sur la police.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la violence du proxénète.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le faux conducteur.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, l’arcade et le « sale étranger ».
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, passion pastis.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la demande d’expertise psychiatrique.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les filles de la rue Quincampoix.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, 120 km/h dans Le Kremlin-Bicêtre.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, morsure sur policier.
Affligeant jusque-là, le traitement médiatique des violences conjugales a timidement évolué après le crime, il y a tout juste vingt ans.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les policiers ivres.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la maîtresse iranienne.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, l’importation d’« Orgy for Two ».
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le numéraire dérobé.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, 3,00 grammes par litre de sang.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, l’absence d’occupation salariée.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les colliers de perles japonais.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, coït buccal dans la R16.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la mauvaise foi.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les faiseuses d’anges.
Chaque jour, « Les Jours » plongent un demi-siècle en arrière et publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris.
L’ancien ingénieur a écopé de la peine maximale ce mercredi. Mais son mutisme durant l’audience laisse beaucoup trop de questions sans réponse.
Ancien flirt, avocats décevants, procureur insensible… Ils étaient couchés dans les notes de Gabriel Fortin. Ils ont sans doute échappé au pire.
Gabriel Fortin comparaît pour assassinats, impliquant une préméditation. Or, ses voyages ressemblent justement à une surveillance de ses cibles…
Une centaine d’enfants par an perdent leur mère après un féminicide. Pourtant, le protocole de suivi psychosocial n’est toujours pas généralisé.
Le tribunal va tenter de comprendre ce qui aurait poussé cet ingénieur à tuer trois DRH en janvier 2021. Son procès s’ouvre ce mardi à Valence.
Fin janvier 2021, trois femmes sont tuées par balle. Leurs points communs : leur domaine d’activité et leur lien avec un certain Gabriel Fortin.
Amnésie et complot : c’est la ligne de défense adoptée par les six policiers accusés de violences volontaires sur des jeunes de Pantin.
Des documents de l’IGPN obtenus par « Les Jours révèlent de nouvelles accusations contre la BTC Quatre-Chemins, dont le procès débute mercredi.
Après trente-six ans d’enquêtes ratées, les juges de Nanterre héritent de quatre crimes non résolus aux modes opératoires très proches.
« Les Jours » dévoilent le rapport accablant de l’IGPN sur une brigade dont six ex-membres comparaissent pour « violences volontaires ».
La peine prononcée en première instance a été confirmée : trois ans de prison dont un ferme. Une condamnation inédite pour un ex-Président.
Reportage à l’Office central pour la répression des violences aux personnes, qui veut bâtir une mémoire criminelle des « cold cases ».
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Les tribunaux continuent à détruire les scellés dans les affaires de crimes irrésolus. Le pôle « cold cases » doit remédier à ce scandale.
Hocine Hamoudi a écopé de trente ans de prison pour avoir tué sa compagne en 2015. Son ultraviolence était pourtant connue.
Le piège tendu à Damien Rieu a propulsé le journaliste-escroc sous les projecteurs – son rêve – mais a aussi mis ses mensonges en lumière.
L’incendiaire a été condamnée à passer vingt-cinq ans derrière les barreaux, là où l’état des détenus à l’esprit embué s’aggrave.
À l’audience, témoignages et expertises tentent de faire la lumière sur la psyché d’Essia B., entre addictions et troubles mentaux.
Il jure avoir arrêté les arnaques après 2019 ; ses faits d’armes en tant que journaliste prouvent le contraire : il a redoublé de culot.
L’ouverture du procès d’Essia B. met en lumière le rôle des expertises psychiatriques dans la poursuite, ou non, des procédures criminelles.
Un job obtenu grâce à un CV beaucoup trop doré et une fausse attestation pour ses loyers : Cory Le Guen était de retour au tribunal ce jeudi.
En 2019, le feu allumé par Essia B. a tué dix personnes. Malgré son passif psychiatrique, elle comparaît à partir du 6 février.
Le procès en appel du Mediator, qui s’est ouvert ce lundi, illustre les difficultés des victimes à être prises en compte et indemnisées.
Olivier Le Gall enquête, au sein d’un cabinet d’avocats, sur des crimes non résolus. Une première en France.
Au menu : arrêt dans l’affaire Bismuth, procès en appel Bygmalion et décision sur le renvoi devant un tribunal des financements libyens…
Trois ans de prison avec sursis ont été requis en appel contre Nicolas Sarkozy. Loin de la peine infligée en première instance.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui, le premier homme seul sur Mars.
Interrogé sur les écoutes, l’ex-Président, agacé et véhément, a nié en bloc tout pacte de corruption. Devant une cour dubitative.
Ce mardi, les écoutes Sarkozy-Herzog ont été diffusées pour la première fois. Notamment celle où le pacte de corruption présumé se dessine…
Le mystère Marion Wagon, une famille disparue en 1972… Les dossiers s’accumulent et le tribunal de Nanterre risque de manquer d’effectifs.
Les États ont largement financé les recherches sur les vaccins ? Peu importe, les labos s’attribuent tout le mérite… et se font la guerre.
Entre manque de magistrats et affaires expédiées, « Les Jours » ont sillonné les tribunaux pour raconter les comparutions immédiates.
D’un côté, des audiences de comparutions immédiates qui ne désemplissent pas ; de l’autre, un parquet moins surchargé et qui poursuit moins.
S’ils passent rarement devant la justice, les policiers et leurs comportements peuplent les dossiers de comparution immédiate.
Dans la Creuse, le département le plus âgé de France, le tribunal se donne le temps d’écouter les prévenus violents et alcooliques.
Perquisitionné en Floride dans une enquête sur les archives de son mandat, l’ex-Président s’est une nouvelle fois posé en victime.
Lors des audiences souvent expéditives de comparution immédiate, des prévenus malades sont parfois jugés comme s’ils ne l’étaient pas.
Prévenu absent, traducteur manquant… Les renvois d’audience allongent les délais d’une procédure censée être rapide.
Devant la justice parfois expéditive des comparutions immédiates défilent, inlassablement, des auteurs de violences conjugales.
Depuis les révélations de la témoin-clé Cassidy Hutchinson, des émeutiers et des proches de l’ex-Président ont été auditionnés. Un tournant.
Le manque de moyens se ressent aux comparutions immédiates, où des affaires de plus en plus complexes sont jugées. Exemple à Nantes.
« Les Jours » sillonnent les tribunaux pour raconter la comparution immédiate, procédure parfois sévère, souvent expéditive.
Après dix mois d’audience, le verdict : perpétuité incompressible pour Abdeslam et des condamnations plus mesurées pour les autres accusés.
Ce vendredi, les avocats de Salah Abdeslam ont tenté de montrer qu’il avait évolué tout au long du procès. Verdict le 29 juin.
Le parquet demande la perpétuité pour Salah Abdeslam et de la prison ferme pour tous ceux dont la responsabilité reste trouble.
Questions d’argent, divergences d’analyse, flou autour de leur rôle dans un tel procès… Les avocats des victimes sont appelés à la barre.
Mères, frères, proches… Ils ne sont pas assez impliqués pour être jugés par la cour d’assises spéciale, trop pour ne pas l’être du tout.
Le nouveau pôle de Nanterre dédié aux « cold cases » a détaillé les premières affaires qui vont être réexaminées. Elles datent de 1987.
En appel, l’ex-Premier ministre écope de quatre ans de prison dont un seul ferme ; son épouse de deux ans avec sursis. Moins qu’en 2020.
Le nouveau pôle « cold cases » pourrait hériter de l’affaire Danièle Bernard dont le meurtre, en 1989, a été négligé par la justice.
La plateforme doit payer 375 000 euros, amende maximale pour « travail dissimulé ». Entretien avec deux spécialistes de l’ubérisation.
Le seul survivant du commando de tueurs a donné pour la première fois sa version du soir du 13 Novembre, qui minimise son implication.
Plan social chez Just Eat, grèves spontanées… Ces nouveaux précaires tentent de s’organiser. Mais pour beaucoup, sans les syndicats.
Participant zélé au 13 Novembre et à ses préparatifs, il a, dans une de ses rares réponses, assuré avoir désactivé son gilet explosif.
Le survivant du 13 Novembre et président de Life for Paris prône la résilience sans haine et veut faire rentrer les enfants de jihadistes.
Les ex-dirigeants se cachent derrière le « modèle » de la plateforme. Le parquet requiert 375 000 euros d’amende contre l’entreprise.
Chaque soir, les coursiers s’amassent devant ce McDo de Grenoble. Ils sont sans-papiers, bloqués par Deliveroo, arnaqués… Reportage.
Au procès de la plateforme pour « travail dissimulé », les livreurs dénoncent un système qui les a exploités sans jamais les protéger.
La plateforme comparaît au pénal pour « travail dissimulé ». « Les Jours » racontent les nouveaux travailleurs précaires.
Le grand ami de Salah Abdeslam aurait pu éclairer la cour sur les derniers préparatifs du 13 Novembre… Las, il est détenu en Turquie.
Des dizaines de familles de disparus demandent que soit disséqué son parcours. Un cas qui devrait atterrir au nouveau pôle « cold cases ».
Pour son premier interrogatoire, il a plaidé qu’il n’avait pas de sang sur les mains, sans renier son soutien à l’État islamique.
Le nouveau pôle judiciaire dédié aux « serial killers » fait renaître l’espoir dans des centaines de « cold cases ».
Leurs compagnes les ont suivis, quittés ou ne savaient rien : les histoires sentimentales des accusés émaillent le procès du 13 Novembre.
Radicalisation, voyage en Syrie, mystérieux séjour anglais : ce personnage-clé des attentats de Paris et Bruxelles a fait face aux juges.
L’assaut (3/3). Attisées par un Trump revanchard, les braises de l’insurrection du 6 janvier 2021 restent inflammables.
L’assaut (2/3). Créée pour faire la lumière sur le 6 janvier 2021, la commission parlementaire devient vite l’objet de jeux partisans.
L’assaut (1/3). Le 6 janvier 2021, des partisans de Donald Trump envahissent le Congrès. Un an après la stupeur, l’enquête continue.
Parents, frères et sœurs des kamikazes doivent composer entre la culpabilité, le deuil et la suspicion, parfois justifiée, de la cour.
Info « Les Jours ». L’inspection du travail a saisi la justice à la suite de l’enquête interne à Canal+ qui a révélé sept victimes.
Au fil du procès du 13 Novembre apparaissent les loupés de la police belge, qui a croisé la route de plusieurs des terroristes.
Cinq ans de prison dont un an ferme aménageable ont été requis en appel contre François Fillon. Qui voit s’éloigner l’incarcération.
En parallèle de sa propagande hollywoodienne, l’État islamique a développé une sidérante obsession bureaucratique.
Lourdement condamné en première instance, le couple est à nouveau venu chercher la relaxe mais est resté aussi flou dans ses réponses.
De 2013 à 2015, Samy Amimour, Foued Mohamed-Aggad et Ismaël Omar Mostefaï ont gravi les échelons au sein de l’État islamique.
Entendu comme témoin, François Hollande s’est employé à contester toutes les accusations de « failles » de l’action de l’État.
Trois ans après avoir brutalisé des manifestants, l’ex-chargé de mission à l’Élysée est condamné à trois ans de prison dont un ferme.
Pour surmonter le traumatisme, beaucoup de rescapés du 13 Novembre ont eu besoin d’aide, de la psychiatrie traditionnelle à l’EMDR.
Six des otages retenus par Foued Mohamed-Aggad et Ismaël Omar Mostefaï ont livré un récit brutal, émaillé de moments irréels.
Les rescapés et proches de victimes du 13 Novembre continuent de se reconstruire peu à peu. À la barre, ils racontent leur vie d’après.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, les riches nous emplument.
Cette étude transdisciplinaire scrute les souvenirs de survivants, de proches, d’habitants des quartiers visés… Mais aussi leur psychisme.
Soutenu par les socialistes, il a pu magouiller en toute impunité. Quand le vent a tourné, il s’est tourné vers la Sarkozie (3/3).
Réquisitoire clément pour l’ex-chargé de mission, dont l’affaire a révélé l’amateurisme du pouvoir macroniste. Jugement le 5 novembre.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, le frappé d’indignité.
À la barre, Ismaël Émelien, ex-conseiller de Macron, a tenu sa ligne : il ne savait pas que la bande transmise par Benalla était volée.
À partir de ce mardi et pendant cinq semaines, plus de 300 victimes vont prendre la parole au tribunal. Et raconter leur vendredi 13.
Cuisiné trois jours durant sur les violences commises en marge du défilé, l’ancien chargé de mission plaide un « geste de civisme ».
À l’audience, le commissaire de la BAC et le patron de la BRI ont fait le récit de l’intervention des policiers le soir du 13 Novembre.
Certains avocats de victimes accusent la police et le renseignement de n’avoir pas su prévenir l’attentat du 13 Novembre.
Peu respectueux de sa hiérarchie à l’Élysée, il a peiné à s’expliquer sur l’obtention et l’usage de ses passeports diplomatiques.
Alors que le tribunal a tenté de cerner sa personnalité, l’ex-chargé de mission de l’Élysée s’est enfoncé dans ses contradictions.
Les avocats des vingt accusés du 13 Novembre font parfois face à l’incompréhension. La défense est pourtant un droit et une nécessité.
La vidéo des violences du 1er mai 2018 a déclenché une affaire d’État tentaculaire qui arrive devant la justice ce lundi.
La décision du CSA de décompter Éric Zemmour parmi les politiques contraint CNews à équilibrer son temps de parole. Ou à le virer.
Au premier jour du procès du 13 Novembre, Salah Abdeslam a revendiqué son engagement. Les premiers mots d’un jihadiste singulier.
Un travail policier d’une ampleur inédite débute le soir des attentats. Il aboutit, ce mercredi, à l’ouverture du procès du 13 Novembre.
Un chargé de mission éruptif, provocateur et habile ; un pouvoir désorganisé et fébrile… Le feuilleton de l’été 2018 arrive au tribunal.
Un commando de dix hommes. Le Stade de France, les terrasses, le Bataclan. Moins de quatre heures. 131 morts, près de 700 blessés.
À partir du 8 septembre, vingt hommes sont jugés pour leur rôle présumé dans le 13 Novembre. Des attaques imaginées depuis longtemps.
Vexé de n’avoir pas décroché tous les droits, le groupe refusait de diffuser la nouvelle saison. C’est non, a tranché le tribunal.
Détenus en Syrie, 200 à 300 enfants attendent un rapatriement vers la France qui suscite l’hostilité. Pourtant, la réinsertion fonctionne.
L’homme a commis deux meurtres et a été condamné en première instance pour un troisième. Y en a-t-il d’autres ? Le trouble est là…
Condamnés en cassation pour blanchiment de fraude fiscale, ils verront un nouveau procès fixer leurs peines mais conservent leur demeure.
Près de 35 ans après le meurtre d’Isabelle Mesnage, le verdict est tombé. Malgré les interrogations qui entourent ce trop vieux cold case.
En attribuant l’essentiel des droits à la plateforme américaine, la LFP inflige une raclée à Canal+. Qui décide de bouder la Ligue 1.
Le 3 juillet 1986, un corps de femme est découvert. Ce mardi, Jacques Rançon est dans le box des accusés. Il a failli ne jamais l’être.
À partir du 8 juin, le tueur de la gare de Perpignan comparaît pour le meurtre d’Isabelle Mesnage. Son passé et sa pensée vont être scrutés.
Le 8 juin s’ouvre à Amiens un nouveau procès pour le tueur de Perpignan. Un « cold case » qui dormait depuis 1986, un de plus.
Depuis 2015, la justice s’est durcie au point de prendre des décisions arbitraires envers ceux qu’elle considère comme des « velléitaires ».
Des surprises et des bougies, des lecteurs et un grand merci… Voici « Les dessous des “Jours” », épisode 21.
Le Président tente de durcir le contrôle des armes mais les républicains bloquent, soutenus par une Cour suprême encore plus conservatrice.
Une révolution en Syrie, un personnage trouble, un procès, une journaliste… Voici la genèse de notre podcast, produit pour Audible.
Après des années de procédure, le laboratoire Servier est condamné pour « tromperie aggravée » et « homicides et blessures involontaires ».
Empêtré dans les affaires, l’ex-Président multiplie les prises de parole hostiles à la justice. Une stratégie qui se révèle contreproductive.
Une série en direct d’il y a 150 ans, Sarkozy au tribunal, nos titres lamentables… « Les dessous des “Jours” », épisode 19.
L’ex-Président est condamné à trois ans de prison, dont un ferme. Un jugement historique. Il va faire appel.
Les dix jours d’audience n’ont pas réussi à lever toutes les zones d’ombre de ce gros coup de filet. Mais « Bylka » prend huit ans ferme.
Du terrain, des indics et de belles affaires… À l’audience, le policier tente de justifier ses méthodes de travail et nie tout racket.
L’ex-Président est jugé par les sénateurs ce mardi. Ce qui ne dit rien du soutien fervent qu’il conserve auprès des républicains.
La radicalisation de Français issus de la classe moyenne blanche déroute les spécialistes et la justice antiterroriste.
Condamné fin 2020, ce chômeur était un cadre de l’organisation… depuis son canapé. « Les Jours » enquêtent sur les nouveaux jihads.
Le procès Bismuth découle de l’affaire libyenne… qui devrait aussi conduire Sarkozy au tribunal. Un dossier plus explosif encore.
La cour n’a retenu le terrorisme que pour quatre des onze accusés présents, soulignant les faiblesses de l’accusation.
Les avocats de la défense ont combattu l’accusation de « terrorisme », qui fait peser de lourdes peines sur les accusés.
Pas de corruption, pas de trafic d’influence, juste de l’amitié : les avocats des prévenus ont balayé toutes les accusations.
Jugé pour contestation de crime contre l’humanité, Éric Zemmour n’est pas inquiété par Canal+ qui ne fait rien pour contenir ses saillies.
Pendant plus de quatre heures, le parquet a chargé l’ex-Président et ses deux coprévenus. Il a requis quatre ans de prison, dont deux ferme.
Au procès des écoutes, l’ex-Président, fidèle à lui-même et à son ego, s’est défendu en bloc de tout ce dont il est accusé.
L’avocat historique de « Charlie », Richard Malka, a marqué la fin du procès par une plaidoirie en faveur de la liberté d’expression.
Gilbert Azibert ? Captivé par des points de droit. Thierry Herzog ? Dingue de procédure pénale. Les prévenus réfutent toute corruption.
Après une charge des avocats de la défense contre l’enquête du Parquet national financier, le procès commence enfin.
Caricatures, Samuel Paty, tensions diplomatiques, Covid-19… L’audience aux multiples effets collatéraux reprend ce mercredi.
L’ex-Président affronte son ennemi juré : le Parquet national financier. Une institution légitime mais pourfendue par ses proches.
Enchâssée dans les affaires libyenne et Bettencourt, il y a celle des écoutes. C’est elle qui conduit Nicolas Sarkozy au tribunal ce lundi.
Ni les années d’enquête, ni les audiences n’ont permis de savoir comment les deux frères ont préparé l’attaque de « Charlie Hebdo ».
Quinze jours après le meurtre de Samuel Paty, l’attentat de jeudi s’inscrit dans un contexte de tensions grandissantes sur l’islamisme.
La question de la radicalisation traverse l’assassinat de Samuel Paty aussi bien que le procès des attentats de janvier 2015.
« Face à l’info ne peut pas continuer à être diffusée sous sa forme actuelle » sur CNews, estime le comité d’éthique de Canal+.
En 2016, il avait tué son ex-compagne devant leur enfant ; il a écopé de la perpétuité. Sa hiérarchie aurait pu réagir bien avant.
L’assassinat de Samuel Paty, qui avait montré les caricatures de Mahomet à ses élèves de quatrième, fait écho au procès des attentats.
Accusé d’être jihadiste et le complice principal des tueurs de janvier 2015, il tente, à la barre, de passer pour un « simple » voyou.
Le jihadiste s’est procuré des armes importées par des suprémacistes lillois, qui étaient en plus indics de la gendarmerie et de la police.
En 2016, un policier a tué son ex-compagne avec son arme de service, sous les yeux de leur enfant. Il est jugé à partir de ce lundi.
En plein examen de la question des donneurs d’ordre des attentats de 2015, une attaque a eu lieu devant les anciens locaux de « Charlie ».
Alliés des terroristes ou simples voyous ? La justice doit trancher sur le rôle des accusés dans la préparation des attaques.
À la barre, les survivants de « Charlie » se sont remémoré l’horreur du 7 janvier 2015, ont partagé leurs blessures, dit leur colère.
Bande à « Charlie », victimes de l’Hyper Cacher, accusés : le procès des attentats de janvier 2015 est un étrange ballet judiciaire.
L’audience qui s’ouvre convoque des seconds couteaux, des disparus, d’autres absents encore. Au premier rang desquels Hayat Boumeddiene.
Le 2 septembre débute le procès historique des attentats de janvier 2015. En trois jours, tout a basculé.
Dépakine, Mediator… La justice n’est pas à la hauteur des scandales, estime Me Charles Joseph-Oudin. Sa stratégie : taper au portefeuille.
Cinq ans de prison dont deux ferme pour lui ; trois ans avec sursis pour son épouse. Condamnés à rendre plus d’un million, ils font appel.
Lors des réquisitions, les procureures ont insisté sur la sphère d’influence cultivée par le labo et sa persistance dans le mensonge.
Les avocats du couple ont été plus en verve pour charger l’enquête que pour étayer le fond de l’affaire. Jugement attendu le 29 juin.
Cinq ans de prison dont trois avec sursis ont été demandés contre l’ex-Premier ministre, au terme d’un réquisitoire implacable.
Interrogé par le tribunal sur un emprunt de 50 000 euros qu’il n’a pas déclaré, l’ex-Premier ministre a plaidé l’« erreur honnête ».
En fin de procès, Fillon a tenté des coups. Mais le tribunal a attendu en vain des preuves tangibles du travail de sa femme.
Sur le gril, l’ex-suppléant de François Fillon a évoqué une collaboration « orale et immatérielle » avec son ancienne assistante.
Déjà condamné en appel pour fraude fiscale, le couple voit aussi ses peines confirmées dans le volet blanchiment. Il reste libre.
Un manoir sans boîte aux lettres, un circuit du courrier opaque… Le tribunal a cherché, et cherche encore, les traces d’un travail.
Fébrile et accablée, Penelope Fillon a peiné à détailler les tâches qu’elle aurait accomplies pour son mari.
Il espérait l’Élysée mais, rattrapé par les présumés emplois fictifs de sa femme et son goût pour l’argent, il termine au tribunal.
Tout le monde a vu la vidéo : le 1er mai dernier à Paris, un policier a frappé un manifestant. Il a été jugé ce jeudi.
En 2017, le policier Nicolas D. a tué son voisin de bureau Raphaël B. en manipulant son arme. Un accident inexpliqué jugé ce lundi.
Ostracisés, persécutés, tyrannisés… Les prévenus ont vu leur défense jouer du violon. En vain : le jugement est tombé ce mardi 16 juin.
Le FN ? Une « machine à cash ». Les prévenus ? Une « équipe » s’entendant « sur le dos de l’État ». Le parquet était colère ce mercredi.
Négligente, opaque… Le visage de l’Agence du médicament était peu reluisant dans les années 1990 et 2000. Et aujourd’hui ?
L’ex-gudard a usé de sa tchatche pour tenter de déjouer les accusations d’abus de biens sociaux dont lui et sa compagne font l’objet.
Le FN, le microparti Jeanne, la boîte de com Riwal… Tout le monde emploie tout le monde. La justice démonte le meccano frontiste.
Un trésorier qui n’a rien vu, un comptable confus, un autre obtus… Selon les prévenus, les finances du FN sont un non-sujet.
Le président de la Commission nationale des comptes de campagne a expliqué pourquoi elle n’avait pu retoquer le kit controversé.
Info « Les Jours ». Le roi de Levallois avait de quoi payer sa caution de 500 000 euros, mais la justice le maintient en détention.
Les prévenus ont détaillé leur version des finances des législatives de 2012. Pas d’escroquerie, non, mais un « dispositif formidable. »
Au premier jour d’audience, les prévenus, tout en camaraderie virile, espèrent que leurs avocats obtiendront un report des débats.
Première pour le FN : dès ce mercredi, plusieurs proches de Marine Le Pen devront expliquer le financement de ses campagnes.
Un mois après sa première condamnation, Patrick Balkany prend cinq ans de plus pour blanchiment. Mais qui va garder Levallois ?
Lors du procès, celle qui a révélé le scandale a raconté sa lutte contre le déni de Servier et l’inertie de l’Agence du médicament.
La chaîne info a inauguré ce lundi son émission autour du polémiste. Au menu : des cris, des faire-valoir et un écrin pour ses idées.
Nicolas C. était jugé vendredi pour avoir insulté des collègues motards, fin septembre, alors qu’il manifestait sur les Champs-Élysées.
Alors que le procès du Mediator met au jour ses stratégies d’influence, le labo soigne toujours autant ses liens avec les médecins.
Tollé après les sorties du polémiste à la Convention de la droite. Mais à CNews où il doit débarquer, la contestation reste sourde.
Pendant des décennies, le laboratoire a cultivé ses liens avec des médecins, des experts, des politiques… Le procès s’ouvre ce lundi.
Quatre ans ferme pour Patrick qui a été incarcéré ; trois pour Isabelle qui reste libre. Le jugement sur le volet fiscal est tombé : aïe.
Agression sexuelle ou maladresse ? Ce jeudi, un brigadier était jugé à Paris pour un contact physique ambigu avec une subordonnée.
Certes, cette fois, Patrick risque gros. Mais comment est-il passé entre les mailles du filet judiciaire pendant plus de vingt ans ?
Des rodomontades balkanesques, un témoin exterminateur, des réquisitoires uppercuts, des coups et des douleurs… Le procès s’achève.
Areva, un président centrafricain, de l’uranium, un Belge, des millions de dollars… Mais tout ça n’a aucun rapport, jure Balkany.
« Les Jours » ont rencontré l’ex-bras droit des Balkany, roi de la combine politico-financière. Celui qui a tout balancé à la justice.
Ce magnifique riad a été acheté dans des conditions troubles. Heureusement, le couple n’en est pas propriétaire. Juré craché…
Dans la guerre testamentaire des Hallyday, la justice vient de donner raison à David et Laura : Johnny était résident français.
Un animateur en roue libre, des pigistes maltraités, des tentatives de censure, toujours pas d’argent… Vous êtes bien sur CNews.
À coup de clientélisme, les Balkany ont fidélisé les consommateurs leurs électeurs et gardé Levallois. Malgré leurs ennuis judiciaires.
Au tribunal, Patrick a parlé cash, espèces, liquide, biftons… S’il en avait tant, c’est par pur respect des traditions familiales.
Villa Pamplemousse, moulin… Les biens du couple sont au cœur du procès pour fraude fiscale qui s’ouvre ce lundi. Visite guidée.
Il photographiait des flics dans un rassemblement pour Rémi Fraisse. Un gardien de la paix l’a tabassé, il vient d’être condamné.
En 1983, les Balkany mettent la main sur ce fief communiste. Clientélisme électoral et coups immobiliers : c’est le système B.
Les Balkany ne sont pas nés en un jour. Il a fallu inventer les Hauts-de-Seine, un département aux pères fondateurs très spéciaux.
Pour une histoire de famille, deux policiers ont fouillé le Fichier des personnes recherchées. Illégal : ils ont fini au tribunal.
Patrick et Isabelle, c’est une affaire. De famille, de politique, de gros sous et de justice. Entrez, on fait les présentations.
Condamné pour « procédure abusive » face à France 2, Bolloré perd une nouvelle bataille dans sa guérilla contre les journalistes.
Il attaquait le journaliste Nicolas Vescovacci pour avoir posé des questions ; il est condamné pour « procédure abusive ». Une première.
Info « Les Jours ». Après Esteban Morillo, Samuel Dufour est sorti de prison dans l’attente du procès en appel à Évry.
Cette semaine, il a traîné des journalistes devant trois tribunaux différents. Pas pour gagner, pour décourager les prochains.
Jour 9. Sept et onze ans de prison, un acquittement. Le verdict est là ; pas la vérité des derniers moments du jeune antifasciste.
Jour 8. Quatre, sept et douze ans de réclusion ont été requis contre les trois accusés. Derniers mots et verdict ce vendredi.
Jour 7. Les avocats des parties civiles ont voulu montrer le caractère politique de l’agression dont a été victime Clément Méric.
Jour 6. Après la rixe, le parrain des crânes rasés avait recueilli les accusés. Indécent, il a fait son show à l’audience.
Jour 5. À la barre, les ex-compagnes de deux des accusés ont raconté leurs versions de la bagarre qui a tué Clément Méric.
Jour 4. Malgré la foule et les caméras, les circonstances de la bagarre qui a entraîné la mort de Clément Méric restent floues.
Jour 3. Devant la cour, Agnès Méric a raconté son fils, un militant d’extrême gauche et « bien d’autres choses ».
Jour 2. La cour s’est penchée sur les vies heurtées des trois accusés du procès Méric, et leur rencontre avec l’extrême droite.
Jour 1. Le procès des trois skinheads s’est ouvert mardi, avec un accusé en retard et sans certains témoins-clés.
Le 5 juin 2013, le jeune antifasciste était tué par des skinheads à Paris. Trois d’entre eux sont jugés à partir de ce mardi.
« Public », « Voici » et « Closer » souffrent de nichonophilie chronique. Mais attention, tous les seins ne se valent pas…
Ce vendredi, le tribunal correctionnel de Bobigny a condamné les trois policiers qui ont blessé des manifestants au flashball en 2009 à Montreuil.
Un temps porte-parole des policiers en colère, maître Lienard défend cette semaine un flic accusé de blessures par flashball.
« Voyous », « gros bras » : au procès Air France, le procureur a rudoyé les salariés jugés pour « violences en réunion ».
Ce mardi, Vincent Martinez est jugé pour « violences en réunion ». L’ex-magasinier d’Air France veut laver son honneur.
Les pilotes d’Air France sont en grève depuis ce samedi ; découvrez les coulisses du mouvement social dans l’obsession « Sous la chemise ».
Vincent Martinez et quatorze salariés d’Air France devaient passer ce vendredi en correctionnelle ; mais le procès a été reporté.
La ministre du Travail vient de valider le licenciement du délégué CGT Vincent Martinez. À (re)découvrir dans l’obsession Sous la chemise.
L’envahissement du siège d’Air France était attendu par la direction, sous l’œil de caméras discrètement installées la veille.
Le photographe Frédéric Reglain, venu couvrir la manif des salariés d’Air France, se retrouve dans une foule qui s’embrase.
Le 5 octobre 2015, à Air France, les télés n’ont retenu que la scène du strip-tease forcé. Pas celles d’avant. Dommage…