Une fois par mois, on juge des flics à Bobigny. En novembre, un gros coup de genou, un « Dry January » qui aurait pu mal tourner et des CD trop vierges.
Une fois par mois, on juge des flics à Bobigny. En novembre, un gros coup de genou, un « Dry January » qui aurait pu mal tourner et des CD trop vierges.
Le 14 avril 1990, le musicien de 45 ans disparaît sans laisser de traces. Suicide, meurtre, accident ? Sans réponse, ses proches vivent avec son absence.
En 2021, deux « baqueux » sans brassard visible ont tiré huit fois en six secondes sur un couple à la suite d’un refus d’obtempérer. Ils étaient jugés ce jeudi.
Le 11 septembre 1997, ce jeune homme schizophrène s’évapore. Un étrange courrier reçu en 2023 relance l’enquête. Et l’espoir de ses parents.
Le premier jeudi, c’est procès de flics à Bobigny. Chaque mois, « Les Jours » observent comment sont jugés les policiers accusés de transgresser la loi.
Info « Les Jours ». Un docteur T. préservé, des pairs qui ferment les yeux et des ratés d’enquête : chronologie d’une affaire qui piétine la parole des femmes.
En 2014, l’époux de Maggy Legrand disparaît. Elle en est sûre : il s’est suicidé. Dix ans plus tard, elle reste légalement coincée dans ce mariage.
Le commissaire n’a « pas commis de faute », sa radio n’a pas marché, tout était imprévisible et un homme est mort : Steve. Jugement en septembre.
À la barre, les policiers présents le soir de la mort de Steve Maia Caniço affirment avoir agi en légitime défense et incriminent « l’effet tunnel ».
Pour la première fois depuis la mort du jeune homme noyé dans la Loire en 2019, la famille s’est exprimée à la barre.
Le commissaire Chassaing est jugé dès ce lundi pour l’homicide involontaire de Steve Maia Caniço. Loïc Sécheresse dessine le procès pour « Les Jours ».
Le 31 mars 2004, le jeune homme de 18 ans disparaît. Vingt ans plus tard, son père et son beau-père cherchent inlassablement la vérité.
Pour planifier l’accès à la capitale cet été, la Préfecture de police a mêlé génie bureaucratique français et flicage olympique. Ici c’est Paris 2024.
Il y a dix ans, par dépit amoureux, ce jeune Belge organisait sa disparition. Il s’est évaporé quinze mois durant, arpentant l’Europe à vélo.
Les familles peinent trop souvent à récupérer le corps de leurs proches disparus à la frontière. Ils sont 44 à y avoir perdu la vie depuis un an.
En 2021, la disparition de cette étudiante sénégalaise scolarisée à Paris a eu un retentissement énorme. Pour « Les Jours », elle revient sur sa cavale.
Les femmes qui enlèvent leurs enfants victimes d’inceste, la loi, le déni, la dignité… Entretien avec l’ex-président de la Ciivise, Édouard Durand.
Pendant vingt ans, Alexandre a enseveli le souvenir de son père, parti quand il était enfant. Puis il s’est décidé à le chercher, aidé d’une journaliste.
En 1975, Denis, 21 ans, s’évapore. Vingt-trois ans plus tard, sa famille l’attend sur le quai d’une gare.
Chaque année en France, entre 4 000 et 5 000 personnes mettent les voiles volontairement. Enquête sur ces évaporés et ceux qui les recherchent.
Parcours de PMA, retour chez le gynécologue… Après des violences sexuelles, le rapport des victimes à la médecine de l’intime est bouleversé.
Info « Les Jours ». L’information judiciaire dans l’affaire du docteur T. est enfin terminée, après plus de dix ans d’enquête et de défaillances.
Ces mères n’ont pas fui et le regrettent : en attendant l’enquête pénale, l’institution judiciaire a maintenu la résidence de l’enfant chez son père.
« Les Jours » publient une nouvelle vidéo et un témoignage qui accréditent la thèse de violences policières sur le passager blessé du scooter.
Info « Les Jours ». Un juge décidera ce lundi si l’État peut être assigné en responsabilité en l’absence de plainte de la victime… éconduite au commissariat.
Les mères qui s’enfuient avec leur enfant ont en commun de s’être senties trahies par les autorités, et ce dès la prise en charge policière.
Elles s’enfuient avec leur enfant victime de violences sexuelles pour le protéger de leur père : enquête sur ces mères devenues hors la loi.
Après un viol, l’examen médico-légal peut être vécu comme un traumatisme de plus par les femmes. Les actes et les mots des médecins sont décisifs.
Des prévenus qui minimisent, voire nient ce dont ils sont accusés : « Les Jours » ont assisté à une audience consacrée aux violences intrafamiliales.
Dans tous les tribunaux viennent de naître les « pôles VIF », pour « violences intrafamiliales ». C’est le premier arrêt de l’enquête des « Jours ».
La différence de réactions de Darmanin et du gouvernement face aux manifestations ne vous saute pas aux yeux ? Faites le quiz des « Jours ».
En donnant un chiffre non consolidé pour 2023, Éric Dupond-Moretti provoque l’ire des associations. Et tait le travail de fond qui reste à accomplir.
Peines légères pour les trois agents : un verdict clément qui illustre la laborieuse quête de justice des victimes de violences policières.
La blessure du jeune homme l’handicape-t-elle à vie ? C’est, avec l’attitude des accusés le jour des faits, une des questions centrales du procès.
Sept ans après les faits, trois policiers comparaissent devant les assises à partir de ce mardi. Un procès emblématique.
Malgré un récent décret trop mal connu, ce sont souvent les familles elles-mêmes qui se chargent de faire disparaître les traces des meurtres.
Des LBD qui éborgnent, des Vivi qui harcèlent, des Wildenstein qui fraudent : voici l’épisode 47 des « Dessous des “Jours” ».
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
En 2021, 684 femmes se sont tuées ou ont tenté de le faire suite à du harcèlement conjugal. Une infraction difficile à prouver.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, il va y avoir du sport de combat.
Nouvelle série. Selon le décompte des « Jours », au moins 57 personnes ont été éborgnées depuis 1999 par l’arme préférée des forces de l’ordre. Enquête.
À chaque mort, proches des victimes, militants et anonymes se rassemblent. Pour refuser l’indifférence, se soutenir et dénoncer un scandale politique.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Les troubles psychologiques aggravent trop souvent le quotidien des exilés. Avant ou après le passage en Angleterre, certains vont jusqu’au suicide.
Deux cavales, un procès en son absence, son suicide en prison : l’ex-médecin accusé de pédocriminalité aura fui jusqu’au bout.
Le 12 août, un naufrage d’exilés a fait six morts. Une tendance lourde depuis 2020. Et les autorités ne se préoccupent que de surveillance…
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, du chanvre indien au Golf Drouot.
Accusé de viols sur des mineurs vietnamiens, l’ex-médecin s’enfuit avant son procès, est arrêté… et remis en liberté. Incompréhensible.
Alors qu’une Américaine est tuée toutes les cinq heures par son compagnon ou ex, les féminicides ne sont un sujet ni médiatique, ni politique.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les 21 kilos de haschich.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le ferrailleur et les Portugais.
Le dossier du médecin français accusé de viols sur des mineurs vietnamiens a fait les frais d’une justice débordée et défaillante.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, des pavés sur la police.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les « manœuvres abortives ».
Accusé de dizaines de viols sur des mineurs vietnamiens, le médecin se présente en « misérable client de prostitués ». Une défense classique.
Partis de Marseille, les débrayages de policiers s’étendent. Entre la base, les syndicats et les huiles, l’heure est à la surenchère. Jusqu’où ?
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, morsure sur policier.
Affligeant jusque-là, le traitement médiatique des violences conjugales a timidement évolué après le crime, il y a tout juste vingt ans.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les policiers ivres.
Violences verbales et physiques, évacuations de camps déshumanisantes et accidents mortels : les exilés sont victimes des forces de l’ordre.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la maîtresse iranienne.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, l’importation d’« Orgy for Two ».
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, le numéraire dérobé.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, 3,00 grammes par litre de sang.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, l’absence d’occupation salariée.
Une carte SD est découverte à Hanoï, Olivier Larroque est expulsé vers la France, un gendarme spécialisé se rend sur place. Tout partait bien…
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les colliers de perles japonais.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, coït buccal dans la R16.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, la mauvaise foi.
Chaque jour, « Les Jours » publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris. Aujourd’hui, les faiseuses d’anges.
Chaque jour, « Les Jours » plongent un demi-siècle en arrière et publient les minutes d’un procès en correctionnelle de l’été 1973 à Paris.
Policiers incontrôlés, ados humiliés, parents méprisés, élus indignés… De Nanterre à Trappes, les vitrines cassées dégueulent d’amertume.
Cinq ans après sa démission, l’ancien maire de Sevran sort de son silence pour dénoncer l’abandon des banlieues et l’inertie politique.
En 2008 et en 2016, deux exilés ont tenté de se libérer du joug des passeurs du camp de Norrent-Fontes, sur la route de Calais. Ils en sont morts.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Il a été tué à 17 ans par un policier pour un refus d’obtempérer. Sa mort déclenche une vague de colère et de violences urbaines.
Expulsé en France, ce médecin à Hanoï a fui et échappé à son procès. Finalement rattrapé, il s’est suicidé, révèlent « Les Jours ».
Alessandro Pignocchi, anthropologue, bédéaste et soutien des Soulèvements de la Terre, analyse les causes et les conséquences de leur dissolution.
Depuis 1999, au moins 24 exilés sont décédés dans ou près du tunnel sous la Manche. Sa « sécurisation » se révèle vaine et dangereuse.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui, on monte les marches à coups de matraque.
Amnésie et complot : c’est la ligne de défense adoptée par les six policiers accusés de violences volontaires sur des jeunes de Pantin.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Cet ouvrier du BTP s’est effondré au moment où son entreprise commençait à raser son bidonville, Talus 2. Il y avait élevé ses sept enfants.
Des documents de l’IGPN obtenus par « Les Jours révèlent de nouvelles accusations contre la BTC Quatre-Chemins, dont le procès débute mercredi.
Le terminal ferry, c’est là où tout a commencé : les tentatives de traversée de la Manche, les décès et la bunkérisation de la ville.
« Les Jours » dévoilent le rapport accablant de l’IGPN sur une brigade dont six ex-membres comparaissent pour « violences volontaires ».
L’opération Wuambushu a commencé ce lundi matin à Talus 2. Récit de l’intérieur des dernières heures avant, des premières heures après.
Se revendiquant du combat « Mayotte la française », le mouvement, volontiers xénophobe, mène des actions radicales contre les étrangers.
Déni, sexisme, sentiment de déclassement : « Les Jours » ont assisté à un stage de responsabilisation pour auteurs de violences conjugales.
Depuis 1999, la frontière franco-britannique tue et tue encore. « Les Jours » remontent le fil d’un carnage silencieux et éminemment politique.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui, le gouvernement se soumet à notre grand jeu de culture générale…
Info « Les Jours ». Une nouvelle victime s’est fait connaître. Bientôt dix ans que l’instruction se traîne, au détriment de la parole des femmes.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui, apprenons à faire une pancarte dans le respect de l’État de droit.
Entre résistance de certains bidonvilles et impatience d’une partie des Mahorais, les débuts de l’opération d’expulsion sont chaotiques.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui, le Président fait souvent ce rêve étrange et… CLANG CLANG CLANG !
L’« opération d’ordre public » de Darmanin entend d’abord expulser des sans-papiers. Dans le bidonville de Kawéni, on tremble.
Avant Sainte-Soline, des projets de retenues d’eau ont été déclarés illégaux. Les chantiers ont continué, en toute impunité, grâce aux préfets.
Cette proportion met en lumière les défaillances de la police dans les cas de violences conjugales. Les progrès, réels, sont insuffisants.
D’habitude, le samedi, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Mais aujourd’hui, il a chopé un truc bizarre, un nouveau virus…
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Neuf ans après ses premières lettres, le corbeau reste dans la nature. Les pistes s’amenuisent, l’enquête croupit. À moins que…
Des mégabassines aux mesurettes du « plan eau », « Les Jours » plongent dans des conflits aquatiques de plus en plus bouillants.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui, Macron prépare le changement de propriétaire.
Hocine Hamoudi a écopé de trente ans de prison pour avoir tué sa compagne en 2015. Son ultraviolence était pourtant connue.
Cinq ans et une série Netflix plus tard, l’ombre du corbeau continue de planer sur Westfield et la famille Broaddus.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Info « Les Jours ». La famille de cette jeune femme assassinée par son ex en 2021 assigne l’État en responsabilité pour fautes lourdes.
Deux ans après sa dernière lettre, le corbeau de Westfield réapparaît, vengeur. Son nouveau courrier est plus menaçant que jamais.
Partout en France, dans tous les milieux, des femmes sont tuées par leurs compagnons. Chaque mois, « Les Jours » documentent ces meurtres.
Quand les Broaddus envisagent de démolir le 657 Boulevard pour qu’un promoteur construise deux nouvelles maisons, leurs voisins s’enflamment.
Sur internet et à Westfield, le récit des Broaddus commence à être remis en cause : et si The Watcher était une invention de leur part ?
Après des mois d’enlisement, l’enquête est enfin confiée à un policier expérimenté. Les Broaddus, eux, mènent leur propre investigation.
En 2023, « Les Jours » enquêtent sur les féminicides et recensent, chaque mois, ces meurtres sexistes.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse affûte ses crayons sur l’actu. Aujourd’hui, drame : une grave pénurie d’humour touche tout le pays.
Info « Les Jours ». Une nouvelle patiente vient à son tour de porter plainte contre le docteur T. Mais l’instruction traîne depuis neuf ans…
D’un côté, des audiences de comparutions immédiates qui ne désemplissent pas ; de l’autre, un parquet moins surchargé et qui poursuit moins.
S’ils passent rarement devant la justice, les policiers et leurs comportements peuplent les dossiers de comparution immédiate.
Après dix mois d’audience, le verdict : perpétuité incompressible pour Abdeslam et des condamnations plus mesurées pour les autres accusés.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, homme vouloir couper du bois chez lui.
Tous les samedis, Loïc Sécheresse aiguise son crayon sur l’actu. Aujourd’hui, Gérald et Didier en forme olympique.
Le survivant du 13 Novembre et président de Life for Paris prône la résilience sans haine et veut faire rentrer les enfants de jihadistes.
François Vérove ? Un gendarme discret, dit son livret militaire. Puis un policier volontaire. Restent plusieurs épisodes mystérieux…
Le grand ami de Salah Abdeslam aurait pu éclairer la cour sur les derniers préparatifs du 13 Novembre… Las, il est détenu en Turquie.
À partir de 2014, une nouvelle juge prend le « cold case » en main. Elle réexamine toutes les pistes et un profil se précise…
En 1987, un inconnu armé viole une femme puis une adolescente à Paris. À chaque fois, il exhibe une carte tricolore et ligote ses victimes…
Pour son premier interrogatoire, il a plaidé qu’il n’avait pas de sang sur les mains, sans renier son soutien à l’État islamique.
Info « Les Jours ». Le gynécologue du Val-d’Oise est mis en cause pour 26 viols supplémentaires. Il est désormais visé par 126 plaintes.
Après les révélations des « Jours » et des mois d’inaction, le parquet a recueilli plusieurs témoignages supplémentaires.
Si le corps médical commence à considérer l’existence de maltraitances liées à certains actes, les résistances restent nombreuses.
Insertion, soutien scolaire, culture… Ce sont les habitants eux-mêmes qui se démènent pour sortir leur cité du trafic de drogue.
Parents, frères et sœurs des kamikazes doivent composer entre la culpabilité, le deuil et la suspicion, parfois justifiée, de la cour.
En 2016, Rudy, 15 ans, est assassiné dans un règlement de compte sur fond de trafic de drogue à Marseille. « Les Jours » étaient au procès.
Au fil du procès du 13 Novembre apparaissent les loupés de la police belge, qui a croisé la route de plusieurs des terroristes.
Info « Les Jours ». Des signalements de violences sexuelles ont été rejetés par des conseils de l’ordre départementaux. Illégal.
Le 25 juin, un « lieutenant » de la drogue est tué, déclenchant une vague d’assassinats. Généalogie d’un règlement de compte.
De 2013 à 2015, Samy Amimour, Foued Mohamed-Aggad et Ismaël Omar Mostefaï ont gravi les échelons au sein de l’État islamique.
Info « Les Jours ». Trois patientes ont déjà porté plainte contre ce praticien. Police et conseil de l’ordre ont encore enchaîné les ratés.
En 2016, un cadavre non identifié est découvert dans le Jura. Les gendarmes vont partir du crâne pour établir un portrait-robot génétique.
Entendu comme témoin, François Hollande s’est employé à contester toutes les accusations de « failles » de l’action de l’État.
Chaque jour, les « charbonneurs », petites mains du trafic de drogue, défilent au tribunal correctionnel de Marseille. Reportage.
Trois ans après avoir brutalisé des manifestants, l’ex-chargé de mission à l’Élysée est condamné à trois ans de prison dont un ferme.
Son nom résonne à la cour qui, depuis mardi, retrace le parcours des assaillants. Six ans après, la commune belge tente de se réinventer.
Pendant des années, l’organisme a mis en doute la parole des victimes déclarées du gynécologue. Les gendarmes et la justice ont suivi…
Les accusations de viols contre le gynécologue étaient connues de ses confrères. Tous, ou presque, ont ignoré la parole des femmes.
Six des otages retenus par Foued Mohamed-Aggad et Ismaël Omar Mostefaï ont livré un récit brutal, émaillé de moments irréels.
Des plaignantes abandonnées, un gynécologue poursuivi pour 75 viols en série préservé… L’instruction de cette affaire est un naufrage.
Août 2018, Finistère, un homme est tué par arme à feu. Les experts en balistique de la gendarmerie arrivent sur la scène du crime.
Les rescapés et proches de victimes du 13 Novembre continuent de se reconstruire peu à peu. À la barre, ils racontent leur vie d’après.
Info « Les Jours ». Plus d’une centaine de femmes disent avoir été victimes d’un ancien praticien du Val-d’Oise. Une affaire hors norme.
Dans les cités, les forces de l’ordre tentent d’endiguer le trafic à coups d’interpellations à la pelle et de « pilonnage » de dealers.
Réquisitoire clément pour l’ex-chargé de mission, dont l’affaire a révélé l’amateurisme du pouvoir macroniste. Jugement le 5 novembre.
L’ADN a parlé : François Vérove, l’ex-gendarme qui s’est suicidé mercredi, est bien le tueur et violeur en série recherché depuis 1986.
À la barre, Ismaël Émelien, ex-conseiller de Macron, a tenu sa ligne : il ne savait pas que la bande transmise par Benalla était volée.
À partir de ce mardi et pendant cinq semaines, plus de 300 victimes vont prendre la parole au tribunal. Et raconter leur vendredi 13.
Cuisiné trois jours durant sur les violences commises en marge du défilé, l’ancien chargé de mission plaide un « geste de civisme ».
À l’audience, le commissaire de la BAC et le patron de la BRI ont fait le récit de l’intervention des policiers le soir du 13 Novembre.
Certains avocats de victimes accusent la police et le renseignement de n’avoir pas su prévenir l’attentat du 13 Novembre.
Peu respectueux de sa hiérarchie à l’Élysée, il a peiné à s’expliquer sur l’obtention et l’usage de ses passeports diplomatiques.
Ados, ils font le guet pour les dealers. Et, tel Rayanne, finissent exécutés dans les règlements de comptes entre clans marseillais.
Alors que le tribunal a tenté de cerner sa personnalité, l’ex-chargé de mission de l’Élysée s’est enfoncé dans ses contradictions.
La vidéo des violences du 1er mai 2018 a déclenché une affaire d’État tentaculaire qui arrive devant la justice ce lundi.
Un chargé de mission éruptif, provocateur et habile ; un pouvoir désorganisé et fébrile… Le feuilleton de l’été 2018 arrive au tribunal.
Une flambée de violence dans les quartiers nord et Macron déboule. « Les Jours », eux, remontent la chaîne des stups.
Le 31 août 1997, Lady Di meurt à Paris. C’est le début d’une enquête hors norme pour les experts en accidentologie de la gendarmerie
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, Darm Vador just wants to have fun.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, Chewbacab et Gilet Haune Solo en terrasse.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, l’amour est dans le spray.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, vous avez demandé les urgences, ne quittez pas.
En 2015, Aurélie reconnaît l’homme qui l’a violée sur une photo. Grâce à ce cliché et au fichier TAJ, les gendarmes identifient le suspect.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, l’ennemi de l’intérieur.
Les dix jours d’audience n’ont pas réussi à lever toutes les zones d’ombre de ce gros coup de filet. Mais « Bylka » prend huit ans ferme.
Du terrain, des indics et de belles affaires… À l’audience, le policier tente de justifier ses méthodes de travail et nie tout racket.
Ce « baqueux » et cinq autres policiers parisiens sont jugés à partir de ce mercredi pour une affaire révélée par « Les Jours ».
Coups, menaces, insultes racistes : les policiers de cette ville de Seine-Saint-Denis recourent à la violence en toute impunité.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, le 25 décembre d’enfer de Marlène et Gérald.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, Belzébuth fait ses comptes de Noël.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, déconfinement et des goélands.
Les images de l’évacuation d’un camp à Paris ont choqué. Mais à Calais, cette brutalité est le quotidien des exilés. Témoignages.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, miroir, mon beau miroir, qui est le plus Malin ?
Censé chouchouter les forces de l’ordre, l’article 24 crispe ONG, journalistes… et même les députés LREM. Un bel exploit.
« Les Jours » et de nombreuses sociétés de journalistes demandent à Jean Castex le retrait de plusieurs articles de la loi « pour une sécurité globale ».
À Paris, des exilés violentés, des journalistes molestés, un Darmanin faussement choqué, l’article 24 voté… Et quelles responsabilités ?
« Les Jours » se joignent à l’appel de dizaines de rédactions s’élevant contre les dérives inquiétantes du pouvoir vis-à-vis de la liberté d’informer.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, le tonfa spécial journalistes.
Après quatre jours de tensions démocratiques, l’article 24, qui limite la diffusion d’images des policiers, a été adopté ce vendredi soir.
Pour faciliter les plaintes des victimes de violences, une permanence policière vient d’être créée à l’Usap, l’unité qui les accueille.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le maître imaginaire.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la fille injuriée.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les squatteurs du parking.
Tous les samedis, le dessinateur Loïc Sécheresse tire un trait sur l’actu. Aujourd’hui, revendications aviaires et violences policières.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’accusation gratuite.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le nouvel abri de jardin.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la mauvaise payeuse.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le suiveur.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le chien sans laisse.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le véhicule d’occasion.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la conversation sur les réseaux sociaux.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’épouse absente.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’homme, le chien et le crachat.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la blague qui tourne mal.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’automobiliste impatient.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les menaces de mort.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, de l’argent qui se volatilise.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les nuisances sonores et le voisin alcoolisé.
En 2016, il avait tué son ex-compagne devant leur enfant ; il a écopé de la perpétuité. Sa hiérarchie aurait pu réagir bien avant.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le harceleur.
En 2016, un policier a tué son ex-compagne avec son arme de service, sous les yeux de leur enfant. Il est jugé à partir de ce lundi.
Le 28 septembre 2018, un gitan de 22 ans est abattu par un gendarme qui refuse d’expliquer son geste. La famille demande justice.
Depuis deux ans, un retraité japonais arpente Nikko à la recherche de la Française, convaincu qu’elle est en vie.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’automobile hantée… ou volée.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le parent d’élèves et le cours d’EPS.
Mains courantes. Menaces, embrouilles et doléances : notre sélection hebdomadaire d’instantanés de commissariat.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, une grave accusation.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les dégradations.
Pour la famille de Tiphaine Véron, la police japonaise n’a pas assez creusé la piste criminelle. Notamment celle de l’hôtelier.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le différend de voisinage.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le droit de visite.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’aide-soignante et le collègue endormi.
Mains courantes. Menaces, embrouilles et doléances : notre sélection hebdomadaire d’instantanés de commissariat.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le médecin et la voiture grise.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les seringues usagées et les emballages McDo.
Pression diplomatique, piste de la téléphonie : la famille Véron remue ciel et terre pour pallier les manqués de la police japonaise.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le double de clés.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le chantage sur WhatsApp.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’agression dans le jardin.
Établie par de nombreuses études, la discrimination des contrôles d’identité continue d’être niée par les policiers. Enquête historique.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les nuisances deux étages au-dessus.
Depuis les premières heures de la disparition de Tiphaine Véron, sa famille reproche aux enquêteurs de ne pas en faire assez.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la surprise derrière la porte.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le câble de la plancha.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’enfoncement de pare-chocs.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le non-accident de voiture.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le portefeuille égaré.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la garde partagée.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le wifi gratuit.
De la gare à sa chambre d’hôtel, « Les Jours » ont retrouvé les dernières traces de Tiphaine Véron au Japon. Banales, ou presque.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le voisin et les enfants qui jouent.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le voleur de guitare repenti.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le choc latéral.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’entretien disciplinaire.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le déserteur.
Il y a deux ans, la Française était vue à Nikko, au Japon. Depuis, pas d’indices, pas de corps. Rien. « Les Jours » contre-enquêtent.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le groupe de jeunes du lotissement derrière.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, une hôtelière, un chauffeur de taxi et des VTC.
Depuis le décès de Lamine Dieng lors d’une interpellation en 2007, sa sœur consacre sa vie à lutter contre les violences policières.
Marie a été poignardée par son ex-compagnon devant ses enfants. Qui ont pu être pris en charge dans le cadre du « protocole féminicide ».
En 2017, Lynda a failli mourir sous les coups de son mari. Le « protocole tentative de féminicide » a alors été enclenché pour elle et ses enfants.
« Les Jours » ont des oreilles, des nouvelles séries… et un humour lamentable. Chaque mois, on vous raconte ce qui se passe à la rédac.
« Les Jours » enquêtent sur le racisme, les violences policières, et celles et ceux qui en sont victimes au quotidien.
Frappée et menacée de mort par son mari, Nathalie veut porter plainte. Alors l’Usap a fait venir la police à l’hôpital. Récit.
Que sont-ils devenus ? Tout change et rien ne bouge. Entre deux gardes à vue, l’agriculteur a créé chez lui une communauté Emmaüs.
Tout le monde a vu la vidéo : le 1er mai dernier à Paris, un policier a frappé un manifestant. Il a été jugé ce jeudi.
Info « Les Jours ». Une confrontation s’est tenue lundi dans l’affaire de corruption qui implique des policiers parisiens.
En 2017, le policier Nicolas D. a tué son voisin de bureau Raphaël B. en manipulant son arme. Un accident inexpliqué jugé ce lundi.
Un an après le début du mouvement, « Les Jours » retrouvent Élodie et Jacky, du rond-point de Voreppe : désillusion et mobilisation.
Nicolas C. était jugé vendredi pour avoir insulté des collègues motards, fin septembre, alors qu’il manifestait sur les Champs-Élysées.
Notre campagne de recrutement d’abonnés s’achève le 31 octobre. Nous avons un mois pour assurer notre pérennité. Avec vous.
Info « Les Jours ». L’IGPN a entendu en juillet cet Égyptien incarcéré pour détention de cocaïne, sur la foi d’un PV douteux.
Nuits d’ivresse, bagarres, faits divers… Les policiers sont de gros pourvoyeurs de patients à Saint-Denis. Les soignants font avec.
La trêve après le meurtre a fait long feu. Les cités de Saint-Denis s’affrontent de nouveau et les moyens manquent toujours.
Le 18 juillet 2018, « Le Monde » révélait les turpitudes du chargé de mission de l’Élysée. Retour sur un an de scandales.
Agression sexuelle ou maladresse ? Ce jeudi, un brigadier était jugé à Paris pour un contact physique ambigu avec une subordonnée.
Dans l’affaire de corruption à la BAC du XVIIIe, cinq policiers du même groupe sont poursuivis. L’enquête devra répartir les rôles.
Pourquoi, à son retour de vacances, Luigi n’a-t-il pu réintégrer le centre où il était placé ? Il est mort quelques jours plus tard.
Diaporama sonore. Près de Bure, « Pivoine » est militant, agriculteur… et sous contrôle judiciaire. Il détaille sa vie quotidienne.
Pression des forces de l’ordre, procès à outrance : toute contestation est criminalisée, dénonce la Ligue des droits de l’homme.
Info « Les Jours ». Sept personnes sont désormais poursuivies dans cette affaire de corruption et de trafic de stupéfiants.
Dans ce quartier de Paris, les témoignages affluent sur les méthodes du policier incarcéré vendredi. Il avait déjà été signalé à l’IGPN.
Info « Les Jours ». Deux policiers de la BAC du XVIIIe arrondissement de Paris mis en examen pour trafic de stups et corruption.
Les services sociaux manquent de tout pour suivre les jeunes en difficulté comme Luigi. Les délais s’allongent, les situations empirent.
Huit mois après la mort de Luigi, l’enquête progresse d’un coup avec la mise en examen de quatre personnes. La famille souffle.
Quelques mois avant sa mort, l’adolescent frôle la délinquance. La justice l’écarte de son quartier de Saint-Denis. Trop tard.
Associé de Mesrine, compagnon de route des Postiches, évadé en série… Assagi, il raconte trente ans de banditisme singulier.
Chéri de ses parents, apprécié de son quartier… Six mois après son décès, « Les Jours » esquissent le portrait de l’adolescent.
Il photographiait des flics dans un rassemblement pour Rémi Fraisse. Un gardien de la paix l’a tabassé, il vient d’être condamné.
Le 17 septembre 2018, un adolescent est tué par une rafale d’AK-47 à Saint-Denis. « Les Jours » mènent l’enquête.
Quiz. Un an après ses exploits de la place de la Contrescarpe, « Les Jours » vous révèlent quel Alexandre se cache en vous.
L’inauguration d’une cellule antisuicides, ce lundi, illustre les efforts de la police nationale pour endiguer le phénomène.
Pour une histoire de famille, deux policiers ont fouillé le Fichier des personnes recherchées. Illégal : ils ont fini au tribunal.
La police et la gendarmerie recensent chaque coup de feu de leurs agents. Mais gardent leurs bases de données secrètes.
Quatre mois après, « Les Jours » retrouvent Alex, Alexia, Alice, Erwan et Gaëlle. De futurs policiers presque en paix avec leur arme.
Depuis les attentats de 2015, les policiers sont plus nombreux à rapporter leur arme chez eux. Un dilemme pour les forces de l’ordre.
Jeudi, un policier et un ancien détenu étaient jugés pour s’être tapé dessus. Le procès a tourné à l’avantage du second.
La cour d’assises de Bordeaux, estimant qu’il avait agi dans les règles, a acquitté le policier qui a tué un homme en 2007.
Avant d’être tué par un policier, Olivier Massonnaud a été pris d’un accès de démence qui accapare les assises de Bordeaux depuis lundi.
À partir de ce lundi, un policier est jugé pour avoir tué un homme en 2007. Un procès rare, aux frontières de la légitime défense.
Les archives de presse racontent le moment où, pour contrer le banditisme, les autorités ont décidé d’armer la police judiciaire.
Ivres, deux policiers parisiens ont molesté un chauffeur et l’un d’eux l’a menacé avec son arme de service. Mais tout a été enregistré.
Devant le Sénat, Alexandre Benalla a refusé de répondre à la plupart des questions, entretenant le flou sur l’affaire.
Les tirs accidentels de policiers, faits divers parfois mortels, révèlent des failles de formation et de sécurité.
Faux document, sésames diplomatiques utilisés frauduleusement vingt fois… Devant le Sénat, l’Élysée balance Alexandre Benalla.
Notre journaliste est distinguée par l’association de lutte contre la corruption pour son enquête sur la justice financière, « À la poursuite de l’argent sale ».
Les deux policiers ont été condamnés à sept ans de prison ferme pour le viol d’une touriste canadienne dans leurs bureaux de la BRI.
Le serial killer, son ex-épouse et leur fils, le flamboyant gang de braqueurs et leurs compagnons de route… Que sont-ils devenus ?
En 2016, une policière tuait accidentellement un collègue à l’entraînement. La justice enquête encore sur ce fait divers inexplicable.
Révélés par « Les Jours », les manquements de la banque en matière de financement du terrorisme lui valent une amende astronomique.
Fin 2018, un terrain lui appartenant intéressait particulièrement les enquêteurs. Ce jeudi, il aurait avoué le meurtre d’Estelle Mouzin.
Au fort de Montlignon, les formateurs de la police s’entraînent au maniement des armes entre les douves et les remparts.
L’ex-bandit Hellegouarch, dont la femme a été assassinée par le tueur en série Fourniret, se confie en exclusivité aux « Jours ».
Masse percutante, rechargement tactique, tir côté fort… À l’école de police, on apprend la théorie et la pratique du pistolet.
Procès. Complice consentante de Fourniret ou femme manipulée ? La cour n’a pas tranché. Elle a pris vingt ans, lui perpétuité.
Info « Les Jours ». Mis en examen pour avoir fourni la vidéosurveillance à Benalla et suspendu, le commissaire est muté en Alsace.
Procès. La cour d’assises a tout tenté pour extirper de la mémoire tortueuse de Fourniret le lieu où il a enfoui le cadavre.
Procès. Au deuxième jour, Jean-Pierre Hellegouarch a réclamé que Fourniret paye enfin pour l’assassinat de sa femme.
Procès. Au premier jour, le serial killer est apparu usé, mais stratège dans ses oublis et toujours aussi fasciné par lui-même.
C’est le 30e suicide dans la police cette année. Les forces de l’ordre sont les premières victimes de leur arme de service.
Le 26 juin 2003, une jeune fille s’échappe de sa camionnette. C’est la chute du prédateur. Et la révélation de l’origine de son magot.
Année après année, tous les moments-clés de l’impensable rencontre entre le serial killer et les braqueurs… autour d’un magot.
Depuis quinze ans, gendarmes et policiers français partagent la même arme de service. Portrait du Sig Sauer.
Son ex-codétenu commence à le suspecter d’avoir tué sa femme, le fisc le traque et les Postiches ne trouvent plus leur trésor…
Craintifs, sûrs d’eux… Les policiers ne sont pas égaux devant leur pistolet. Mais ils vivent avec. Voici leurs états d’arme.
En théorie, les policiers savent quand et comment faire usage de leur arme. Mais sur le terrain, c’est une autre histoire.
Fourniret a piégé la femme de son ex-codétenu. Ensemble, ils ont déterré le magot des Postiches. Puis il l’a tuée. Froidement.
Une prison italienne, un hélico, une arrestation et des lingots d’or introuvables : la folle cavale des Postiches prend fin.
Le 16 mai 2007, Jean-Paul V., Philippe M., Ivan I. et Richard C. devaient maintenir l’ordre. Une étudiante a perdu un œil.
« Les Jours » ont eu accès aux lettres dans lesquelles le détenu Fourniret et sa future femme planifient meurtres et viols.
Le 14 janvier 1986, rue du Docteur-Blanche à Paris, l’ultime braquage du gang se termine dans le sang et le caniveau.
La brigade des stups quitte le quai des Orfèvres ; l’immersion du reporter s’achève. Le trafic de drogue, lui, est toujours là.
En cellule, le violeur au comportement curieux s’attire les faveurs d’un braqueur. Récit d’une rencontre qui finira mal.
En garde à vue, le dealer nie en bloc. Sans savoir que, dans la pièce d’à côté, quelqu’un est en train de le balancer.
Cosmopolite, rigolarde et hyperpro, une bande sème la panique dans les banques des beaux quartiers parisiens à partir de 1981.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’altercation à la portière.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’ancienne amie.
Après cinq mois d’enquête, c’est le grand jour : les policiers de la brigade des stups vont arrêter Omar le dealer.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la facture SFR.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la porte de l’immeuble.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les insultes racistes.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le voisin fêtard.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le commerce fermé.
Les enquêteurs de la brigade des stups suivent à la trace le dealer. Mais la filature ne se passe pas comme prévu…
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les personnes alcoolisées.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les intrusions mystérieuses.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le cabinet de l’orthophoniste.
Mains courantes. Menaces, embrouilles et doléances : notre sélection hebdomadaire d’instantanés de commissariat.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’emplacement de parking.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’ex menaçant.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’homme devant l’école.
Entre deux surveillances de dealers, les enquêteurs des stups embarquent le reporter au stand de tir.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la séparation.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le voisin et ses plantations.
Mains courantes. Menaces, embrouilles et doléances : notre sélection hebdomadaire d’instantanés de commissariat.
Chaque samedi, une comédienne lit un épisode des « Jours ». Cette semaine, les carnets du magistrat hanté par l’affaire Grégory.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les contrôleurs.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’homme du métro.
Lors d’une soirée, le reporter en lâche un peu trop sur l’enquête de la brigade des stups, où il est en immersion.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les voisins hostiles.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le cycliste et l’automobiliste.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les enfants qui jouent dans le parc.
Date par date, tous les moments-clés du thriller politique et médiatique qui secoue la Macronie.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les sévices à l’école.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’occupation des parties communes.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les mots accrochés.
Incognito, les enquêteurs passent la soirée dans un café pour surveiller Omar, le dealer, et identifier Gencive, son boss.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le prêt disparu.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les nuisances sonores.
Quiz. « Les Jours » vous invitent à jouer l’un des premiers rôles dans la série de l’été. Êtes-vous plutôt Manu ? Alex ? Gégé ?
Au sein d’En marche et auprès de Macron, le rôle du mystérieux agent de sécurité, compagnon de frappe de Benalla, reste flou.
Chaque samedi, un comédien lit un épisode des « Jours ». Cette semaine, des gardiens de la paix rattrapés par des images amateurs.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le sac à dos volé.
À coups de planques et filatures, le groupe Surdoses remonte la piste d’une grande famille de trafiquants de Seine-Saint-Denis.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les nouveaux voisins.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’autre femme.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les coups de poing.
L’affaire Benalla révèle le fonctionnement en circuit fermé des fidèles de Macron… et le rôle inédit de ses conseillers sécurité.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le véhicule à réparer.
Chaque samedi, une comédienne lit un épisode des « Jours ». Cette semaine, l’épopée de Lucienne Goldfarb.
Malgré ce que dit le Président, l’affaire de son ex-chargé de mission est loin d’être terminée : contradictions, flous et bullshits.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le commentaire sur Facebook.
À nouveau entendu à l’Assemblée, le directeur de l’ordre public a a bataillé pour recoller les morceaux de l’affaire Benalla.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le restaurateur violent.
Rencontre avec le professeur Bruno Mégarbane, médecin spécialiste en bad trips et expériences psychotropes mal dosées.
L’affaire Benalla révèle la proximité entre le chargé de mission et les fonctionnaires qui lui auraient remis les images du 1er mai.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le chantier au black.
Le dircab de l’Élysée « assume » la sanction de Benalla, le Président se dit « seul responsable »… La riposte est en marche.
Entendus par la commission d’enquête, le préfet de police de Paris comme le directeur de l’ordre public ont chargé leurs subordonnés.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la compagne virulente.
Au cours de leur audition, Gérard Collomb et Michel Delpuech ont renvoyé la responsabilité de l’affaire Benalla à l’Élysée.
L’Élysée lance la contre-offensive : fuites de propos présidentiels dans la presse et éléments de langage plus ou moins maîtrisés.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le voisin et ses enfants.
Le 1er mai, Alexandre Benalla, un proche de Macron, brutalise deux manifestants. L’Élysée l’a caché : début d’un thriller politique.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le harcèlement au restaurant.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la vie d’adulte.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les tickets-repas.
Les overdoses sont des homicides involontaires. À chaque décès, son enquête. À Paris, c’est le groupe Surdoses qui s’y colle.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la séance d’aquagym.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la place de parking.
Chaque samedi, une comédienne lit un épisode des « Jours ». Cette semaine, le meurtre de Cécile Bloch, 11 ans.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les fausses employées de la CAF.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’autre femme.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le mari irakien.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la copine voleuse.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la séparation.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le faux profil.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le voisin suspicieux.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le mauvais numéro de téléphone.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la pression familiale.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le piratage de données personnelles.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les « étrangers en situation irrégulière ».
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les voisins bruyants.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la vidéo porno.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, les contraventions.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la procédure de mariage.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’héritage.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le formulaire douteux.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le harceleur.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le chien « hurlant ».
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la fille de Facebook.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, le pistolet à eau.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la chaîne en argent.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, la photo volée.
Main courante. Menaces, embrouilles et doléances : aujourd’hui, l’ex-conjointe qui griffe.
« Les Jours » livrent chaque jour un instantané de commissariat. Mais avant, passage par celui de Lille, au service des plaintes.
À Lille, les habitants du boulevard de Metz cohabitent avec les dealers. La police passe mais l’insécurité demeure.
À l’OCLCIFF, Audrey Vandenbussche enquête sur de grosses affaires de corruption. Elle raconte sa vocation et son quotidien.
Les citoyens défendent la procureure anticorruption, bête noire des puissants… et partenaire du Parquet national financier français.
Un an après la violente interpellation du jeune homme, trois des quatre policiers impliqués sont réintégrés ou en voie de l’être.
L’association a distingué ce vendredi ses héros de l’éthique. Et ses antihéros, tel l’ex-ministre Jean-Jacques Urvoas.
Lors de l’audience de rentrée, Éliane Houlette a réaffirmé la stratégie du Parquet national financier : frapper au portefeuille.
La série des « Jours » sur l’affaire Grégory est sortie en librairie ce jeudi. Lecture de l’épisode 1, « Les corbeaux ».
La garde à vue de ce témoin-clé de l’affaire a couru sur plus de trente-trois ans. Elle vient d’être annulée par la cour d’appel de Paris.
Favoritisme, corruption… Les policiers de la répression de la délinquance économique traquent entreprises et élus indélicats.
Entretien. Les policiers de l’OCLCIFF s’occupent des affaires d’argent. « Les Jours » font parler leur patron, Thomas de Ricolfis.
Alexandre T., Jonathan D. et Matthieu F. n’imaginaient pas terminer à la barre. Des images amateurs en ont décidé autrement.
Six ans après avoir demandé l’accès à ses fiches de renseignement, notre journaliste Camille Polloni en sait plus… Ou pas.
Info « Les Jours ». Le parquet de Paris a requis son renvoi devant le tribunal correctionnel, notamment pour blanchiment.
Pendant trente ans, les Jacob n’avaient jamais été inquiétés. C’est par leur arrestation que l’affaire Grégory a rebondi.
Info « Les Jours ». La juridiction a lancé une enquête sur les moyens alloués à la lutte contre la délinquance économique.
« Les Jours » sont allés en cours avec des enquêteurs de la gendarmerie, formés à la lutte contre la délinquance économique.
Pour « Les Jours », l’ex-reporter sort de son silence et revient sur le fiasco médiatico-judiciaire de l’affaire Grégory. (1/2)
Quand ils sont dans le viseur de la justice, les politiques ont une fâcheuse tendance à s’en prendre aux magistrats.
Voisins, extrémistes de droite et macronistes… Les adversaires de l’agriculteur qui aide les réfugiés repassent à l’attaque.
Crise des vocations, manque de moyens : les enquêteurs spécialisés en délinquance financière n’ont pas trop le moral.
« Les Jours » publient le récit exclusif du journaliste français, expulsé dimanche de Turquie après 52 jours de détention.
Les bénévoles de la Roya doivent se débrouiller pour nourrir chaque jour des centaines de migrants coincés en Italie.
Depuis Vintimille, en Italie, les migrants tentent et retentent le passage en France, où ils sont sans cesse refoulés.
Philippe J., patron des BAC de Rennes, est jugé pour avoir frappé un homme lors de son interpellation puis menti sur les faits.
Découragés par la pression des autorités et l’ampleur de la tâche, les habitants de la vallée qui aident les réfugiés doutent.
Le logiciel Anacrim a permis de dessiner la piste d’un complot de famille ayant précédé la mort de Grégory Villemin.
Sarah L., Arthur L. et Julien C. devaient attraper un gamin qui sillonnait en quad une cité, sans casque. Et puis tout a dérapé.
Cédric Herrou s’explique : « J’ai vu des gens en difficulté dans la vallée, j’ai réagi. » Bilan : quatre mois avec sursis.
Julien J. et Julien R., policiers de la brigade des réseaux franciliens, sont jugés pour violences contre un vendeur de maïs.
C’est notamment grâce à ce logiciel, qui a mis en relation les éléments de l’affaire Grégory, que l’enquête a été relancée.
Le durcissement des mesures contre les migrants satisfait les militants d’extrême droite qui s’agitent contre leur présence.
La justice reproche au policier Jean-Hubert A. d’avoir pris à la légère un appel au 17. Une femme de 70 ans est morte.
De 1987 à 1990, il a repris l’enquête. « Les Jours » ont pu consulter les carnets de Maurice Simon, hanté par l’affaire.
Tour de vis dans la vallée de la Roya : 250 migrants ont été interpellés et Cédric Herrou a été placé en garde à vue.
Au tribunal, entre deux affaires ordinaires, on croise aussi des gardiens de la paix. « Les Jours » racontent leurs procès.
Un havre de paix. Une fois sur les terres de Cédric Herrou, les migrants venus d’Italie ne sont pas reconduits à la frontière.
La belle-sœur de Bernard Laroche l’avait impliqué, avant de se rétracter. Ce jeudi, elle a été mise en examen pour enlèvement.
Les policiers d’Aulnay jugent partial le traitement médiatique de l’affaire Théo L. Résultat : ils refusent de s’exprimer.
Après « l’affaire de la matraque », la police municipale d’Aulnay a participé à une opération de com auprès des jeunes.
Des affrontements ont eu lieu avec la police. Hadama Traoré, suivi par « Les Jours », a passé neuf heures en garde à vue.
Malgré l’affaire Théo L., la question des rapports police-population est un non-sujet de la campagne présidentielle.
À Aulnay, les habitants de la cité des 3 000 naviguaient entre peur du FN, vote Mélenchon… et circonspection.
Six semaines après l’agression du jeune homme à Aulnay-sous-Bois, l’enquête ne fait que commencer.
Nouveau-né dans la collection « Les Jours » - Le Seuil : « Le 36, histoires de poulets, d’indics et de tueurs en série », par Patricia Tourancheau.
Comme Théo L. et Mohamed K., Djamel Dib a porté plainte pour des violences policières à Aulnay. Il n’en attend pas grand-chose.
Entretien. Raphaël Pochet et Frédéric Zagli, policiers à la retraite, ont été « délégués police-population » à Aulnay.
En juin, ce brigadier de la BAC a été condamné à quatre mois de prison avec sursis pour avoir frappé un homme lors d’un contrôle.
Après l’affaire Théo L., Hadama Traoré, qui se verrait bien maire d’Aulnay en 2020, a invité des policiers chez lui pour discuter.
Théo L. et les autres. L’affaire fait remonter à la surface des faits plus anciens impliquant des policiers.
Samedi, les manifestants sont venus des deux côtés du périph réclamer « justice pour Théo ». La colère a débordé d’un coup.
Dans la cité de Théo L., les habitants ressentent la police comme une menace quotidienne.
Info « Les Jours ». La plainte d’un homme affirmant avoir été battu en garde à vue a été classée sans suite début janvier. Légalement.
Trente ans après la mort de Cécile Bloch, les policiers refont l’enquête et imaginent ce qu’a pu devenir le Grêlé.
À l’intersection où quatre policiers ont été violemment agressés en octobre s’était développée une lucrative arnaque.
En 2005, près de vingt ans après la mort de Cécile Bloch, les enquêteurs lancent une opération de la dernière chance…
En 2001, quinze ans après la mort de Cécile Bloch, une singulière profileuse belge lance une enquête parallèle.
Quinze ans après le meurtre de Cécile Bloch par le Grêlé, la police intègre une profileuse pour relancer la traque du « serial killer ».
Le projet de loi présenté ce mercredi veut apaiser la colère policière, qui se traduit désormais par une grève du zèle.
En 2001, la crim’ en est sûre, le Grêlé a aussi assassiné une jeune Allemande. Qui a inscrit un nom étrange sur un carnet…
Un soir de juillet 2014, 52 kilos de cocaïne disparaissent des locaux de la PJ parisienne…
En 1997, plus de dix ans après les faits, l’assassin de Cécile Bloch court toujours. La crim’, elle, multiplie les pistes.
Ce vendredi, le tribunal correctionnel de Bobigny a condamné les trois policiers qui ont blessé des manifestants au flashball en 2009 à Montreuil.
En 1996, dix ans après la mort de Cécile Bloch, l’ADN de son assassin est isolé. Enfin un coup de fouet pour l’enquête ?
Un temps porte-parole des policiers en colère, maître Lienard défend cette semaine un flic accusé de blessures par flashball.
En 1994, huit ans après la mort de Cécile Bloch, un homme kidnappe une fillette et la conduit dans une ferme de l’Essonne.
En 1987, un an après le meurtre de Cécile Bloch, les corps d’une jeune Allemande et de son employeur sont retrouvés à Paris.
En ce printemps 1986, l’inspecteur Pasqualini a une intuition : l’assassin de Cécile Bloch est un criminel en série.
Plusieurs témoins ont croisé le suspect numéro 1 du meurtre de Cécile Bloch. La police va pouvoir tirer son portrait-robot.
La colère des policiers de ces dernières semaines s’est constituée sans les syndicats, et parfois même contre eux.
Depuis que deux des leurs ont été blessés le 8 octobre, des policiers ulcérés descendent chaque nuit dans la rue.
Un ex-gendarme s’est suicidé ce mercredi. Son ADN a parlé : il était bien le Grêlé. Retrouvez nos douze épisodes sur ce « cold case ».
Proxénètes étrangers, réseaux sur internet et pénalisation du client : la brigade s’adapte.
Inspirée par les résistants de Vila Autódromo, Ana Paula, à Manguinhos, se bat contre les meurtres commis par la police.
Un tuyau de cette figure de la rue Saint-Denis a permis d’élucider le meurtre d’une policière.
Au boulot, ils écumaient les bars à hôtesses, les backrooms homos et regardaient des films porno.
À l’automne 1968, le 36 enquête sur l’affaire Markovic, ragots et photos truquées de Claude Pompidou à la clé.
Derrière la disparition de l’opposant marocain s’entremêlent flics, truands et la plus grande maquerelle de Paname.
À l’approche des JO, la sécurité s’est gravement détériorée à Rio. Violence et corruption minent les unités de « police pacificatrice ».
Son claque fermé, la taulière dirige un club libertin… sous l’œil protecteur de Roland Dumas.
Prostituée puis proxénète, elle a toujours tuyauté la police. Et peut-être même celle de Vichy…
Le 36 abrite un curieux musée. On y expose des poils pubiens et des godes antédiluviens.
Martine Monteil, l’ex-boss de la brigade, a arrêté la plus grande maquerelle du XXe siècle.
Flic d’abord. Martine Monteil a été la première cheffe du 36, sans avoir « le mot “féministe” tatoué sur le front ».
Grâce à ses indics, le commissaire Féval ramenait de belles affaires au 36. Mais l’un d’entre eux l’a conduit en cabane.
Rubis, 13 Novembre, stars Canal+, gang des postiches et Bigard… La brigade de répression du banditisme a fêté ses 40 ans.
L’incendie d’un véhicule de police, la semaine dernière, a ouvert un boulevard à une communication politique débridée.
Patrick Riou, l’ex-patron de la crim’, raffolait des affaires sensibles, mais pas des pressions politiques.
L’ex-boss de la crim’ a été marqué par son premier meurtre. Et par ses dix ans au cœur d’un service à part au 36.
Arrêté en marge de la manif de jeudi, Théo, 15 ans, a été molesté et insulté par des policiers. Il n’a pas pu porter plainte.
« Les Jours » exhument des photos jamais publiées de Gainsbarre au Quai des Orfèvres, dont il était un pilier.
L’ex-super-flic Michel Neyret a été condamné ce mardi à 30 mois de prison ferme pour corruption. Récit d’un naufrage.
Les manifestants contre la loi travail découvrent – ou retrouvent – les armes de la police. Amélie a porté plainte à l’IGPN pour un nez cassé.
Le verdict est tombé jeudi dans le procès Faïd. Le commandant Maugard raconte comment il a coincé le gang de Creil.
Spécialiste du flic « dans la tourmente », l’avocate Anne-Laure Compoint défend une police old school et flamboyante.
L’identité des policiers qui ont tiré sur l’ennemi public n°1 était cachée depuis 1979. Jean-Louis Fiamenghi en était.
Au Quai des Orfèvres, Jean-Louis Fiamenghi, aujourd’hui reconverti dans le privé, était un flic d’action tendance cow-boy.
La police judiciaire de Paris va quitter le 36 quai des Orfèvres. Un bâtiment historique où repose la mémoire du crime.